L'actualité sur Le Dimanche de Bouvines

1973 • livre de Georges Duby

Résumé : « 27 juillet 1214. Ce dimanche-là, dans la plaine de Bouvines, le roi de France Philippe Auguste avait affronté malgré lui la coalition redoutable de l'empereur Otton, du comte de Flandre Ferrand et du comte de Boulogne Renaud ; il était, grâce à Dieu, resté le soir maître du champ. L'empereur avait détalé ; les deux comtes rebelles étaient pris... » Le dimanche de Bouvines fut le jour d'une victoire réellement fondatrice, au point d'être restée vivace jusque dans les manuels d'histoire de l'école républicaine. En une seule journée, la monarchie française encore balbutiante et enclose dans des frontières incertaines devait se trouver durablement raffermie. Mais au-delà d'une bataille qui s'inscrit « dans la dynamique d'une histoire du pouvoir », Georges Duby porte un regard neuf sur l'événement, qu'il étudie « en anthropologue », c'est-à-dire en le replaçant dans le système culturel du temps, en ressuscitant les manières de penser et d'agir, la sociologie de la guerre, la fonction militaire, puis en étudiant comment les faits se sont progressivement transformés en légende pour traverser les siècles. Livre magistral qui n'a pas pris une ride depuis sa première publication en 1973, et d'une lecture particulièrement aisée qui le rend accessible au lectorat le plus large, Le dimanche de Bouvines constitue un des meilleurs exemples qui soit du renouveau des études historiques impulsé par Georges Duby.

1973 • livre de Georges Duby

Résumé : « 27 juillet 1214. Ce dimanche-là, dans la plaine de Bouvines, le roi de France Philippe Auguste avait affronté malgré lui la coalition redoutable de l'empereur Otton, du comte de Flandre Ferrand et du comte de Boulogne Renaud ; il était, grâce à Dieu, resté le soir maître du champ. L'empereur avait détalé ; les deux comtes rebelles étaient pris... » Le dimanche de Bouvines fut le jour d'une victoire réellement fondatrice, au point d'être restée vivace jusque dans les manuels d'histoire de l'école républicaine. En une seule journée, la monarchie française encore balbutiante et enclose dans des frontières incertaines devait se trouver durablement raffermie. Mais au-delà d'une bataille qui s'inscrit « dans la dynamique d'une histoire du pouvoir », Georges Duby porte un regard neuf sur l'événement, qu'il étudie « en anthropologue », c'est-à-dire en le replaçant dans le système culturel du temps, en ressuscitant les manières de penser et d'agir, la sociologie de la guerre, la fonction militaire, puis en étudiant comment les faits se sont progressivement transformés en légende pour traverser les siècles. Livre magistral qui n'a pas pris une ride depuis sa première publication en 1973, et d'une lecture particulièrement aisée qui le rend accessible au lectorat le plus large, Le dimanche de Bouvines constitue un des meilleurs exemples qui soit du renouveau des études historiques impulsé par Georges Duby.

1973 • livre de Georges Duby

Résumé : « 27 juillet 1214. Ce dimanche-là, dans la plaine de Bouvines, le roi de France Philippe Auguste avait affronté malgré lui la coalition redoutable de l'empereur Otton, du comte de Flandre Ferrand et du comte de Boulogne Renaud ; il était, grâce à Dieu, resté le soir maître du champ. L'empereur avait détalé ; les deux comtes rebelles étaient pris... » Le dimanche de Bouvines fut le jour d'une victoire réellement fondatrice, au point d'être restée vivace jusque dans les manuels d'histoire de l'école républicaine. En une seule journée, la monarchie française encore balbutiante et enclose dans des frontières incertaines devait se trouver durablement raffermie. Mais au-delà d'une bataille qui s'inscrit « dans la dynamique d'une histoire du pouvoir », Georges Duby porte un regard neuf sur l'événement, qu'il étudie « en anthropologue », c'est-à-dire en le replaçant dans le système culturel du temps, en ressuscitant les manières de penser et d'agir, la sociologie de la guerre, la fonction militaire, puis en étudiant comment les faits se sont progressivement transformés en légende pour traverser les siècles. Livre magistral qui n'a pas pris une ride depuis sa première publication en 1973, et d'une lecture particulièrement aisée qui le rend accessible au lectorat le plus large, Le dimanche de Bouvines constitue un des meilleurs exemples qui soit du renouveau des études historiques impulsé par Georges Duby.

1973 • livre de Georges Duby

Résumé : « 27 juillet 1214. Ce dimanche-là, dans la plaine de Bouvines, le roi de France Philippe Auguste avait affronté malgré lui la coalition redoutable de l'empereur Otton, du comte de Flandre Ferrand et du comte de Boulogne Renaud ; il était, grâce à Dieu, resté le soir maître du champ. L'empereur avait détalé ; les deux comtes rebelles étaient pris... » Le dimanche de Bouvines fut le jour d'une victoire réellement fondatrice, au point d'être restée vivace jusque dans les manuels d'histoire de l'école républicaine. En une seule journée, la monarchie française encore balbutiante et enclose dans des frontières incertaines devait se trouver durablement raffermie. Mais au-delà d'une bataille qui s'inscrit « dans la dynamique d'une histoire du pouvoir », Georges Duby porte un regard neuf sur l'événement, qu'il étudie « en anthropologue », c'est-à-dire en le replaçant dans le système culturel du temps, en ressuscitant les manières de penser et d'agir, la sociologie de la guerre, la fonction militaire, puis en étudiant comment les faits se sont progressivement transformés en légende pour traverser les siècles. Livre magistral qui n'a pas pris une ride depuis sa première publication en 1973, et d'une lecture particulièrement aisée qui le rend accessible au lectorat le plus large, Le dimanche de Bouvines constitue un des meilleurs exemples qui soit du renouveau des études historiques impulsé par Georges Duby.

1973 • livre de Georges Duby

Résumé : « 27 juillet 1214. Ce dimanche-là, dans la plaine de Bouvines, le roi de France Philippe Auguste avait affronté malgré lui la coalition redoutable de l'empereur Otton, du comte de Flandre Ferrand et du comte de Boulogne Renaud ; il était, grâce à Dieu, resté le soir maître du champ. L'empereur avait détalé ; les deux comtes rebelles étaient pris... » Le dimanche de Bouvines fut le jour d'une victoire réellement fondatrice, au point d'être restée vivace jusque dans les manuels d'histoire de l'école républicaine. En une seule journée, la monarchie française encore balbutiante et enclose dans des frontières incertaines devait se trouver durablement raffermie. Mais au-delà d'une bataille qui s'inscrit « dans la dynamique d'une histoire du pouvoir », Georges Duby porte un regard neuf sur l'événement, qu'il étudie « en anthropologue », c'est-à-dire en le replaçant dans le système culturel du temps, en ressuscitant les manières de penser et d'agir, la sociologie de la guerre, la fonction militaire, puis en étudiant comment les faits se sont progressivement transformés en légende pour traverser les siècles. Livre magistral qui n'a pas pris une ride depuis sa première publication en 1973, et d'une lecture particulièrement aisée qui le rend accessible au lectorat le plus large, Le dimanche de Bouvines constitue un des meilleurs exemples qui soit du renouveau des études historiques impulsé par Georges Duby.

1973 • livre de Georges Duby

Résumé : « 27 juillet 1214. Ce dimanche-là, dans la plaine de Bouvines, le roi de France Philippe Auguste avait affronté malgré lui la coalition redoutable de l'empereur Otton, du comte de Flandre Ferrand et du comte de Boulogne Renaud ; il était, grâce à Dieu, resté le soir maître du champ. L'empereur avait détalé ; les deux comtes rebelles étaient pris... » Le dimanche de Bouvines fut le jour d'une victoire réellement fondatrice, au point d'être restée vivace jusque dans les manuels d'histoire de l'école républicaine. En une seule journée, la monarchie française encore balbutiante et enclose dans des frontières incertaines devait se trouver durablement raffermie. Mais au-delà d'une bataille qui s'inscrit « dans la dynamique d'une histoire du pouvoir », Georges Duby porte un regard neuf sur l'événement, qu'il étudie « en anthropologue », c'est-à-dire en le replaçant dans le système culturel du temps, en ressuscitant les manières de penser et d'agir, la sociologie de la guerre, la fonction militaire, puis en étudiant comment les faits se sont progressivement transformés en légende pour traverser les siècles. Livre magistral qui n'a pas pris une ride depuis sa première publication en 1973, et d'une lecture particulièrement aisée qui le rend accessible au lectorat le plus large, Le dimanche de Bouvines constitue un des meilleurs exemples qui soit du renouveau des études historiques impulsé par Georges Duby.

1973 • livre de Georges Duby

Résumé : « 27 juillet 1214. Ce dimanche-là, dans la plaine de Bouvines, le roi de France Philippe Auguste avait affronté malgré lui la coalition redoutable de l'empereur Otton, du comte de Flandre Ferrand et du comte de Boulogne Renaud ; il était, grâce à Dieu, resté le soir maître du champ. L'empereur avait détalé ; les deux comtes rebelles étaient pris... » Le dimanche de Bouvines fut le jour d'une victoire réellement fondatrice, au point d'être restée vivace jusque dans les manuels d'histoire de l'école républicaine. En une seule journée, la monarchie française encore balbutiante et enclose dans des frontières incertaines devait se trouver durablement raffermie. Mais au-delà d'une bataille qui s'inscrit « dans la dynamique d'une histoire du pouvoir », Georges Duby porte un regard neuf sur l'événement, qu'il étudie « en anthropologue », c'est-à-dire en le replaçant dans le système culturel du temps, en ressuscitant les manières de penser et d'agir, la sociologie de la guerre, la fonction militaire, puis en étudiant comment les faits se sont progressivement transformés en légende pour traverser les siècles. Livre magistral qui n'a pas pris une ride depuis sa première publication en 1973, et d'une lecture particulièrement aisée qui le rend accessible au lectorat le plus large, Le dimanche de Bouvines constitue un des meilleurs exemples qui soit du renouveau des études historiques impulsé par Georges Duby.

1973 • livre de Georges Duby

Résumé : « 27 juillet 1214. Ce dimanche-là, dans la plaine de Bouvines, le roi de France Philippe Auguste avait affronté malgré lui la coalition redoutable de l'empereur Otton, du comte de Flandre Ferrand et du comte de Boulogne Renaud ; il était, grâce à Dieu, resté le soir maître du champ. L'empereur avait détalé ; les deux comtes rebelles étaient pris... » Le dimanche de Bouvines fut le jour d'une victoire réellement fondatrice, au point d'être restée vivace jusque dans les manuels d'histoire de l'école républicaine. En une seule journée, la monarchie française encore balbutiante et enclose dans des frontières incertaines devait se trouver durablement raffermie. Mais au-delà d'une bataille qui s'inscrit « dans la dynamique d'une histoire du pouvoir », Georges Duby porte un regard neuf sur l'événement, qu'il étudie « en anthropologue », c'est-à-dire en le replaçant dans le système culturel du temps, en ressuscitant les manières de penser et d'agir, la sociologie de la guerre, la fonction militaire, puis en étudiant comment les faits se sont progressivement transformés en légende pour traverser les siècles. Livre magistral qui n'a pas pris une ride depuis sa première publication en 1973, et d'une lecture particulièrement aisée qui le rend accessible au lectorat le plus large, Le dimanche de Bouvines constitue un des meilleurs exemples qui soit du renouveau des études historiques impulsé par Georges Duby.

1973 • livre de Georges Duby

Résumé : « 27 juillet 1214. Ce dimanche-là, dans la plaine de Bouvines, le roi de France Philippe Auguste avait affronté malgré lui la coalition redoutable de l'empereur Otton, du comte de Flandre Ferrand et du comte de Boulogne Renaud ; il était, grâce à Dieu, resté le soir maître du champ. L'empereur avait détalé ; les deux comtes rebelles étaient pris... » Le dimanche de Bouvines fut le jour d'une victoire réellement fondatrice, au point d'être restée vivace jusque dans les manuels d'histoire de l'école républicaine. En une seule journée, la monarchie française encore balbutiante et enclose dans des frontières incertaines devait se trouver durablement raffermie. Mais au-delà d'une bataille qui s'inscrit « dans la dynamique d'une histoire du pouvoir », Georges Duby porte un regard neuf sur l'événement, qu'il étudie « en anthropologue », c'est-à-dire en le replaçant dans le système culturel du temps, en ressuscitant les manières de penser et d'agir, la sociologie de la guerre, la fonction militaire, puis en étudiant comment les faits se sont progressivement transformés en légende pour traverser les siècles. Livre magistral qui n'a pas pris une ride depuis sa première publication en 1973, et d'une lecture particulièrement aisée qui le rend accessible au lectorat le plus large, Le dimanche de Bouvines constitue un des meilleurs exemples qui soit du renouveau des études historiques impulsé par Georges Duby.

1973 • livre de Georges Duby

Résumé : « 27 juillet 1214. Ce dimanche-là, dans la plaine de Bouvines, le roi de France Philippe Auguste avait affronté malgré lui la coalition redoutable de l'empereur Otton, du comte de Flandre Ferrand et du comte de Boulogne Renaud ; il était, grâce à Dieu, resté le soir maître du champ. L'empereur avait détalé ; les deux comtes rebelles étaient pris... » Le dimanche de Bouvines fut le jour d'une victoire réellement fondatrice, au point d'être restée vivace jusque dans les manuels d'histoire de l'école républicaine. En une seule journée, la monarchie française encore balbutiante et enclose dans des frontières incertaines devait se trouver durablement raffermie. Mais au-delà d'une bataille qui s'inscrit « dans la dynamique d'une histoire du pouvoir », Georges Duby porte un regard neuf sur l'événement, qu'il étudie « en anthropologue », c'est-à-dire en le replaçant dans le système culturel du temps, en ressuscitant les manières de penser et d'agir, la sociologie de la guerre, la fonction militaire, puis en étudiant comment les faits se sont progressivement transformés en légende pour traverser les siècles. Livre magistral qui n'a pas pris une ride depuis sa première publication en 1973, et d'une lecture particulièrement aisée qui le rend accessible au lectorat le plus large, Le dimanche de Bouvines constitue un des meilleurs exemples qui soit du renouveau des études historiques impulsé par Georges Duby.

1973 • livre de Georges Duby

Résumé : « 27 juillet 1214. Ce dimanche-là, dans la plaine de Bouvines, le roi de France Philippe Auguste avait affronté malgré lui la coalition redoutable de l'empereur Otton, du comte de Flandre Ferrand et du comte de Boulogne Renaud ; il était, grâce à Dieu, resté le soir maître du champ. L'empereur avait détalé ; les deux comtes rebelles étaient pris... » Le dimanche de Bouvines fut le jour d'une victoire réellement fondatrice, au point d'être restée vivace jusque dans les manuels d'histoire de l'école républicaine. En une seule journée, la monarchie française encore balbutiante et enclose dans des frontières incertaines devait se trouver durablement raffermie. Mais au-delà d'une bataille qui s'inscrit « dans la dynamique d'une histoire du pouvoir », Georges Duby porte un regard neuf sur l'événement, qu'il étudie « en anthropologue », c'est-à-dire en le replaçant dans le système culturel du temps, en ressuscitant les manières de penser et d'agir, la sociologie de la guerre, la fonction militaire, puis en étudiant comment les faits se sont progressivement transformés en légende pour traverser les siècles. Livre magistral qui n'a pas pris une ride depuis sa première publication en 1973, et d'une lecture particulièrement aisée qui le rend accessible au lectorat le plus large, Le dimanche de Bouvines constitue un des meilleurs exemples qui soit du renouveau des études historiques impulsé par Georges Duby.

1973 • livre de Georges Duby

Résumé : « 27 juillet 1214. Ce dimanche-là, dans la plaine de Bouvines, le roi de France Philippe Auguste avait affronté malgré lui la coalition redoutable de l'empereur Otton, du comte de Flandre Ferrand et du comte de Boulogne Renaud ; il était, grâce à Dieu, resté le soir maître du champ. L'empereur avait détalé ; les deux comtes rebelles étaient pris... » Le dimanche de Bouvines fut le jour d'une victoire réellement fondatrice, au point d'être restée vivace jusque dans les manuels d'histoire de l'école républicaine. En une seule journée, la monarchie française encore balbutiante et enclose dans des frontières incertaines devait se trouver durablement raffermie. Mais au-delà d'une bataille qui s'inscrit « dans la dynamique d'une histoire du pouvoir », Georges Duby porte un regard neuf sur l'événement, qu'il étudie « en anthropologue », c'est-à-dire en le replaçant dans le système culturel du temps, en ressuscitant les manières de penser et d'agir, la sociologie de la guerre, la fonction militaire, puis en étudiant comment les faits se sont progressivement transformés en légende pour traverser les siècles. Livre magistral qui n'a pas pris une ride depuis sa première publication en 1973, et d'une lecture particulièrement aisée qui le rend accessible au lectorat le plus large, Le dimanche de Bouvines constitue un des meilleurs exemples qui soit du renouveau des études historiques impulsé par Georges Duby.