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Die fröhliche Wissenschaft, la gaya scienza
1882 • livre de Friedrich Nietzsche
Résumé : Interroger le fanatisme de la vérité qui gouverne la philosophie, reconnaître la vie seule pour source de toute valeur, l'indépendance pour la vertu suprême du philosophe, et rechercher une réconciliation inédite de l'art et de la science : tel est pour Nietzsche le sens du gai savoir. Publié en 1882, réédité et augmenté en 1887, cet ouvrage met en oeuvre les principaux thèmes de la pensée de Nietzsche, dont celui de l'éternel retour, qu'il introduit ici pour la première fois. L'auteur y déploie le projet d'une guérison de l'humanité, d'un regain de force et d'amour de la vie : « suprême espérance » qui ne saurait se conquérir que dans la douleur... et dans l'ivresse.
Le 15 oct. 2023
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Die fröhliche Wissenschaft, la gaya scienza
1882 • livre de Friedrich Nietzsche
Résumé : Interroger le fanatisme de la vérité qui gouverne la philosophie, reconnaître la vie seule pour source de toute valeur, l'indépendance pour la vertu suprême du philosophe, et rechercher une réconciliation inédite de l'art et de la science : tel est pour Nietzsche le sens du gai savoir. Publié en 1882, réédité et augmenté en 1887, cet ouvrage met en oeuvre les principaux thèmes de la pensée de Nietzsche, dont celui de l'éternel retour, qu'il introduit ici pour la première fois. L'auteur y déploie le projet d'une guérison de l'humanité, d'un regain de force et d'amour de la vie : « suprême espérance » qui ne saurait se conquérir que dans la douleur... et dans l'ivresse.
ta lecture communique "souterrainement" avec celle de polo, comme je lui ai indiqué - Nietzsche est l'âme damnée du wokisme - hé hé hé
Le 15 oct. 2023
ahah oui, le pauvre serait sans doute un peu déçu de la surhumanité contemporaine
Le 15 oct. 2023
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“« Car vivre à la chasse au profit contraint continuellement à dépenser son esprit jusqu'à épuisement à force de constamment dissimuler, donner le change et prendre de vitesse : la véritable vertu ...”
Et quelle est la solution dans la lutte géopolitique contre la Chine ? L'Europe qui était à la ramasse ces dernières décennies s'est vue aspirée ses cerveaux par les USA. Faut croire que beaucoup préfèrent y travailler. Une solution serait de changer de système économique (type mutuelliste ou distributiste), mais une révolution ne paraît pas réaliste en l'état. L'exploitation type compétition/recherche du profit/vitesse est propre au système capitaliste, en attendant, avec le développement techn...
Le 26 nov. 2023
Je ne crois pas que Marx ait tort lorsqu'il prône l'accélération du capitalisme (et du développement des forces productives) pour produire sa propre négation, mais est-ce que cela mènera vraiment au communisme ou à un modèle socio-économique plus désirable et à une libération du temps libre, ou plutôt à un effondrement, nul ne peut le savoir, à moins de réellement croire que le marxisme serait "scientifique". Cependant, je ne vois pas d'autre solution pour dépasser le système actuel, donc par le...
Le 26 nov. 2023
À ajouter aussi le très large développement du tertiaire et de la "FIRE economy" (largement parasite d'après certains économistes) en défaveur des forces productives et de l'industrie en Occident, au cours de ces dernières décennies (quoique les choses semblent se retourner depuis peu). Je pense que c'est un vrai problème, qui va avec la prolifération des "bullshit jobs" (voir David Graeber). Quand je parle d'accélérer, j'entends le développement des forces productives, pas des emplois improduct...
Le 26 nov. 2023
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“« Pensées — Les pensées sont les ombres de nos sensations — toujours plus sombres, plus vides, plus simples que celles-ci. » (p. 202)”
la citation d'althusser dans le livre que cite amplement polo ces derniers jours rappelle beaucoup ça à part ça je ne me souviens plus pourquoi je considérais althusser comme un crétin, mais j'avais sûrement de bonnes raisons (en lisant "lire le capital") - sûrement !
Le 15 oct. 2023
“« Maintenant seulement je te crois guéri : car est guéri celui qui a oublié. » (p. 36)”
Lançons une tournée de concerts "Alzheimer for peace"... Je sais pas où ira l'argent par contre . La ligue pour les métaux lourds ?
Le 10 oct. 2023
Die fröhliche Wissenschaft, la gaya scienza
1882 • livre de Friedrich Nietzsche
Résumé : Interroger le fanatisme de la vérité qui gouverne la philosophie, reconnaître la vie seule pour source de toute valeur, l'indépendance pour la vertu suprême du philosophe, et rechercher une réconciliation inédite de l'art et de la science : tel est pour Nietzsche le sens du gai savoir. Publié en 1882, réédité et augmenté en 1887, cet ouvrage met en oeuvre les principaux thèmes de la pensée de Nietzsche, dont celui de l'éternel retour, qu'il introduit ici pour la première fois. L'auteur y déploie le projet d'une guérison de l'humanité, d'un regain de force et d'amour de la vie : « suprême espérance » qui ne saurait se conquérir que dans la douleur... et dans l'ivresse.
Die fröhliche Wissenschaft, la gaya scienza
1882 • livre de Friedrich Nietzsche
Résumé : Interroger le fanatisme de la vérité qui gouverne la philosophie, reconnaître la vie seule pour source de toute valeur, l'indépendance pour la vertu suprême du philosophe, et rechercher une réconciliation inédite de l'art et de la science : tel est pour Nietzsche le sens du gai savoir. Publié en 1882, réédité et augmenté en 1887, cet ouvrage met en oeuvre les principaux thèmes de la pensée de Nietzsche, dont celui de l'éternel retour, qu'il introduit ici pour la première fois. L'auteur y déploie le projet d'une guérison de l'humanité, d'un regain de force et d'amour de la vie : « suprême espérance » qui ne saurait se conquérir que dans la douleur... et dans l'ivresse.
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1882 • livre de Friedrich Nietzsche
Résumé : Interroger le fanatisme de la vérité qui gouverne la philosophie, reconnaître la vie seule pour source de toute valeur, l'indépendance pour la vertu suprême du philosophe, et rechercher une réconciliation inédite de l'art et de la science : tel est pour Nietzsche le sens du gai savoir. Publié en 1882, réédité et augmenté en 1887, cet ouvrage met en oeuvre les principaux thèmes de la pensée de Nietzsche, dont celui de l'éternel retour, qu'il introduit ici pour la première fois. L'auteur y déploie le projet d'une guérison de l'humanité, d'un regain de force et d'amour de la vie : « suprême espérance » qui ne saurait se conquérir que dans la douleur... et dans l'ivresse.
Die fröhliche Wissenschaft, la gaya scienza
1882 • livre de Friedrich Nietzsche
Résumé : Interroger le fanatisme de la vérité qui gouverne la philosophie, reconnaître la vie seule pour source de toute valeur, l'indépendance pour la vertu suprême du philosophe, et rechercher une réconciliation inédite de l'art et de la science : tel est pour Nietzsche le sens du gai savoir. Publié en 1882, réédité et augmenté en 1887, cet ouvrage met en oeuvre les principaux thèmes de la pensée de Nietzsche, dont celui de l'éternel retour, qu'il introduit ici pour la première fois. L'auteur y déploie le projet d'une guérison de l'humanité, d'un regain de force et d'amour de la vie : « suprême espérance » qui ne saurait se conquérir que dans la douleur... et dans l'ivresse.
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1882 • livre de Friedrich Nietzsche
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1882 • livre de Friedrich Nietzsche
Résumé : Interroger le fanatisme de la vérité qui gouverne la philosophie, reconnaître la vie seule pour source de toute valeur, l'indépendance pour la vertu suprême du philosophe, et rechercher une réconciliation inédite de l'art et de la science : tel est pour Nietzsche le sens du gai savoir. Publié en 1882, réédité et augmenté en 1887, cet ouvrage met en oeuvre les principaux thèmes de la pensée de Nietzsche, dont celui de l'éternel retour, qu'il introduit ici pour la première fois. L'auteur y déploie le projet d'une guérison de l'humanité, d'un regain de force et d'amour de la vie : « suprême espérance » qui ne saurait se conquérir que dans la douleur... et dans l'ivresse.
Die fröhliche Wissenschaft, la gaya scienza
1882 • livre de Friedrich Nietzsche
Résumé : Interroger le fanatisme de la vérité qui gouverne la philosophie, reconnaître la vie seule pour source de toute valeur, l'indépendance pour la vertu suprême du philosophe, et rechercher une réconciliation inédite de l'art et de la science : tel est pour Nietzsche le sens du gai savoir. Publié en 1882, réédité et augmenté en 1887, cet ouvrage met en oeuvre les principaux thèmes de la pensée de Nietzsche, dont celui de l'éternel retour, qu'il introduit ici pour la première fois. L'auteur y déploie le projet d'une guérison de l'humanité, d'un regain de force et d'amour de la vie : « suprême espérance » qui ne saurait se conquérir que dans la douleur... et dans l'ivresse.