En bref...
L'intention est bonne : parler de la situation au Kurdistan (pauvreté, traffics, violence, assassinats, religion, corruption...), et en particulier, de la situation des femmes au Kurdistan, de leur...
Par
le 23 mars 2015
4 j'aime
Ce bouquin, présent de ma compagne, est une traversée romancée de la dernière tranche de vie de Gustave Courbet. Ce bon vivant que nous avions déjà découvert dans "Proudhon Modèle Courbet", confirme son image et caractère qui semble avoir traversé le dernier siècle. François Dupeyron réussit à merveille à se mettre dans la peau de ce personnage haut en couleurs, dans un style bourru, rythmé, et populaire. Gustave Courbet, se raconte à travers lui, comme un homme profondément humain, entier, imparfait, ivre de vivre - et d'alcools - et de liberté. Il nous initie subtilement au réalisme de Courbet, invitation réussie, puisque je n'ai qu'une envie maintenant, c'est de retourner voir des expos du peintre, pour y associer des moments du livre. C'est aussi le récit de la fin tragique de La Commune de 1871, et des conséquences de celle-ci sur le destin de Gustave Courbet. Néanmoins, l'envie de se baigner nu-e-s dans la Loue, aux abords d'Ornans, y survit car on y trouvera peut-être, l'origine du monde...
Créée
le 11 juin 2015
Critique lue 196 fois
Du même critique
L'intention est bonne : parler de la situation au Kurdistan (pauvreté, traffics, violence, assassinats, religion, corruption...), et en particulier, de la situation des femmes au Kurdistan, de leur...
Par
le 23 mars 2015
4 j'aime
Je n'avais jamais rien lu sur la révolution française. Je n'avais jamais lu de livre d'histoire. En fait, je lis peu. Et pourtant, j'ai dévoré ce bouquin. Eric Hazan m'a semblé avoir fait un travail...
Par
le 2 avr. 2013
4 j'aime
S'il devait y avoir un représentant du "roman noir", ce serait sans doute un roman de James Ellroy. Enfin, je dis ça, mais c'est le premier que je lis. En tous cas, j'ai été frappé par le pessimisme...
Par
le 21 mars 2014
3 j'aime
1