Quel immonde style d'écriture : des répétitions à n'en plus finir, qui tout en étant passables alourdissent les lamentations stériles de l'auteur (sans blaguer, s'il écrivait avec fluidité et qu'il ne répétait pas constamment les événements de manière futile, les 180 pages tiendraient en 50) et font désespérer le lecteur (est-ce le but ? est-ce ce prétendu humour ? eh bien quelle que soit la réponse, c'est atroce).
Mais le pire, c'est ces "pensais-je" à CHAQUE PUTAIN de phrase, assortis des non-moins casse-burnes "alors que j'entrais dans l'auberge", "alors que j'attendais dans l'auberge"... pensais-je qui amènent ces A-BO-MI-NA-TIONS "[blablaba le monde il est insignifiant blablabla les gens ils sont minables blablabla les socialistes ils veulent le pouvoir blablabla l'autriche et la suisse elles sont oppressantes et moches blablabla Glenn il est plus mieux bien que nous...] AVAIS-JE PENSÉ, PENSAIS-JE" (ou encore "disait-il, pensais-je").
La cosmétique c'est une chose, qu'en est-il du récit en lui-même ? Un cynisme, une misanthropie à deux sous, un caliméro élitiste, des vieux grincheux en somme, des attaques injustes, quelques bonnes idées parfois, noyées dans ce naufrage littéraire. Voilà cette critique n'en est pas une, je suis juste énervé. Navré Leyhane D: