Après L'abandon des prétentions (Fayard, 2017), portrait remarqué d'une prof retraitée inspiré de sa mère, Blandine Rinkel, par ailleurs également membre du groupe Catastrophe, signe un deuxième roman chez Fayard, Le nom secret des choses. Si l'histoire de cette jeune fille qui se cherche encore et qui se retrouve à frayer avec la bourgeoisie parisienne, perdant au passage son identité, semble séduire tout le monde, j'émets pour ma part beaucoup de réserves sur le roman.
Critique complète : http://www.litteratureetculture.com/blandine-rinkel-le-nom-secret-des-choses-critique.html