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livre de Alexandre Soljenitsyne
RĂ©sumĂ© : « Quand on dĂ©crit les prisons, on sâattache toujours Ă en noircir les horreurs. Nâest-ce pas encore pire quand il nây a pas dâhorreurs ? Quand lâatroce naĂźt de la grisaille mĂ©thodique des semaines ? Et du fait quâon oublie que la seule vie dont on dispose sur terre est brisĂ©e ? » Pour les zeks, les dĂ©tenus politiques qui peuplent les charachkas, ce premier cercle de lâenfer pĂ©nitentiaire, la notion du temps devient abstraite ; chaque jour, chaque heure, câest la mĂȘme chose, câest le silence, lâennui. Les charachkas, câest oublier quâon est en vie. Sous la plume dâAlexandre Soljenitsyne coulent des souvenirs douloureux. Avec un cynisme brĂ»lant et une violence voilĂ©e, lâauteur dĂ©crit le rĂ©gime concentrationnaire soviĂ©tique en un long cri de rage, celui dâun homme qui nâa jamais cessĂ© de lutter pour la libertĂ©.
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RĂ©sumĂ© : « Quand on dĂ©crit les prisons, on sâattache toujours Ă en noircir les horreurs. Nâest-ce pas encore pire quand il nây a pas dâhorreurs ? Quand lâatroce naĂźt de la grisaille mĂ©thodique des semaines ? Et du fait quâon oublie que la seule vie dont on dispose sur terre est brisĂ©e ? » Pour les zeks, les dĂ©tenus politiques qui peuplent les charachkas, ce premier cercle de lâenfer pĂ©nitentiaire, la notion du temps devient abstraite ; chaque jour, chaque heure, câest la mĂȘme chose, câest le silence, lâennui. Les charachkas, câest oublier quâon est en vie. Sous la plume dâAlexandre Soljenitsyne coulent des souvenirs douloureux. Avec un cynisme brĂ»lant et une violence voilĂ©e, lâauteur dĂ©crit le rĂ©gime concentrationnaire soviĂ©tique en un long cri de rage, celui dâun homme qui nâa jamais cessĂ© de lutter pour la libertĂ©.
Le 9 nov. 2024
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RĂ©sumĂ© : « Quand on dĂ©crit les prisons, on sâattache toujours Ă en noircir les horreurs. Nâest-ce pas encore pire quand il nây a pas dâhorreurs ? Quand lâatroce naĂźt de la grisaille mĂ©thodique des semaines ? Et du fait quâon oublie que la seule vie dont on dispose sur terre est brisĂ©e ? » Pour les zeks, les dĂ©tenus politiques qui peuplent les charachkas, ce premier cercle de lâenfer pĂ©nitentiaire, la notion du temps devient abstraite ; chaque jour, chaque heure, câest la mĂȘme chose, câest le silence, lâennui. Les charachkas, câest oublier quâon est en vie. Sous la plume dâAlexandre Soljenitsyne coulent des souvenirs douloureux. Avec un cynisme brĂ»lant et une violence voilĂ©e, lâauteur dĂ©crit le rĂ©gime concentrationnaire soviĂ©tique en un long cri de rage, celui dâun homme qui nâa jamais cessĂ© de lutter pour la libertĂ©.
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RĂ©sumĂ© : « Quand on dĂ©crit les prisons, on sâattache toujours Ă en noircir les horreurs. Nâest-ce pas encore pire quand il nây a pas dâhorreurs ? Quand lâatroce naĂźt de la grisaille mĂ©thodique des semaines ? Et du fait quâon oublie que la seule vie dont on dispose sur terre est brisĂ©e ? » Pour les zeks, les dĂ©tenus politiques qui peuplent les charachkas, ce premier cercle de lâenfer pĂ©nitentiaire, la notion du temps devient abstraite ; chaque jour, chaque heure, câest la mĂȘme chose, câest le silence, lâennui. Les charachkas, câest oublier quâon est en vie. Sous la plume dâAlexandre Soljenitsyne coulent des souvenirs douloureux. Avec un cynisme brĂ»lant et une violence voilĂ©e, lâauteur dĂ©crit le rĂ©gime concentrationnaire soviĂ©tique en un long cri de rage, celui dâun homme qui nâa jamais cessĂ© de lutter pour la libertĂ©.