8
Fin de cycle.
S'il est bien le troisième volume du cycle du Cimetière Des Livres Oubliés, Le Prisonnier Du Ciel marque néanmoins un tournant dans les thèmes abordés par Carlos Ruiz Zafon. Fini le côté fantastique...
Par
le 20 déc. 2012
8 j'aime
6
Donnez moi un sugus!
J'avais adoré l'ombre du vent, moins aimé le jeu de l'ange, et là je suis mitigée. La moitié de l'histoire est géniale, l'autre est niaise.
Je n'aime pas les livres qui se terminent alors rien n'est terminé justement.
On retrouve à nouveau l'écriture de Zafon, avec toutes ses grandes descriptions de la Barcelone des années 40/50, sauf qu'ici pas de partie pseudo fantastiques, on plonge dans le régime autoritaire lié à l'époque du Franquisme et du régime autoritaire. On y retrouve quand même avec plaisir tous les personnages qu'on avait rencontré dans les deux volumes précédents.
Pas besoin forcément de les avoir lus, mais c'est quand même un gros avantage, ça permet de mieux comprendre l'histoire, et surtout de savoir qui est qui par rapport à qui.
Cet opus là est axé sur Fermin Romero de Torres, personnage hyper attachant, avec une histoire personnelle très mystérieuse qui apparait dans les deux tomes précédents.
La magie n'a pas fonctionné avec ce tome là pour moi, (ou en tout cas beaucoup moins), j'ai l'impression qu'il est bâclé et qu'il en faudrait un autre pour vraiment finir cette saga en beauté.
Je n'aime pas les livres qui se terminent alors rien n'est terminé justement.
On retrouve à nouveau l'écriture de Zafon, avec toutes ses grandes descriptions de la Barcelone des années 40/50, sauf qu'ici pas de partie pseudo fantastiques, on plonge dans le régime autoritaire lié à l'époque du Franquisme et du régime autoritaire. On y retrouve quand même avec plaisir tous les personnages qu'on avait rencontré dans les deux volumes précédents.
Pas besoin forcément de les avoir lus, mais c'est quand même un gros avantage, ça permet de mieux comprendre l'histoire, et surtout de savoir qui est qui par rapport à qui.
Cet opus là est axé sur Fermin Romero de Torres, personnage hyper attachant, avec une histoire personnelle très mystérieuse qui apparait dans les deux tomes précédents.
La magie n'a pas fonctionné avec ce tome là pour moi, (ou en tout cas beaucoup moins), j'ai l'impression qu'il est bâclé et qu'il en faudrait un autre pour vraiment finir cette saga en beauté.
7
Écrit par
Créée
le 30 mars 2013
Critique lue 294 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Le Prisonnier du ciel
5
Le prisonnier de son univers ?
Non, Carlos, tu ne t'en tireras pas sur ce coup-là. Si tu avais été un auteur de seconde zone, un Guillaume Musso de corrida, je n'aurais eu qu'à m'en prendre à moi-même. Mais là, j'avais bon espoir...
le 2 août 2014
6 j'aime
1
6
Ai-je raté un épisode?
Serait ce moi qui est un problème? J'ai pu lire de nombreuses critiques ventant, si je peux me permettre, ce "tome". Pour ma part, j'ai apprécié sans pour autant adoré. Le livre nous est vendu comme...
le 25 déc. 2013
3 j'aime
Du même critique
10
Isaac and his mother lived alone...
Avant de commencer je souhaite juste vous informer que j'ai joué plus de 900 heures à binding of isaac, ma critique n'est donc pas objective. Dat fucking game. J'ai à peine jouer une heure que je me...
Par
le 5 nov. 2014
9 j'aime
9
3
Hallelujah
Vraiment nul. Quand on veut faire une série pseudo-historique, c'est important de ne pas faire passer le personnage principal pour une cruche de 18 ans qui ne veut qu'une chose : tomber...
Par
le 17 oct. 2016
7 j'aime
1
3
Ouin ouin je suis seul et riche
Encore une série que je n'ai pas pu m'empêcher de bingewatcher en deux jour (oups)Aucune profondeur, aucun réalisme. C'est clairement gossip girl version quarantenaire qui se veut LGBTQIA+ friendly...
Par
le 9 août 2022
6 j'aime
