Mon agréable rencontre avec Sanderson se poursuit.
Le monsieur est toujours aussi efficace. J'avais peur que la mort d'un certain personnage dans le tome précédent ne rende ce tome 2 moins attachant, mais je me trompais lourdement.
Les 1000 pages se dévorent tel un paquet de chips. Les intrigues politiques simples mais jamais simplistes savent nous tenir en haleine, la romance entre Elend et Vin ne transpire pas la niaiserie totale.
Ce tome 2 sonne comme le tome de l'introspection pour notre fille des brumes adorée. Vin s’interroge énormément, doute souvent, soupçonne sans cesse et le lecteur fait de même.
La vrai force de Sanderson réside dans sa capacité a créer un univers intriguant, une mythologie fascinante et des personnages attachants.
Typiquement le genre de pavé qui semble ne faire qu'une centaine de pages tellement il se dévore.