Le début du roman a de quoi surprendre. Que fait cet étrange jeune homme ? Pourquoi poursuit-il un pigeon avec tant d'acharnement, allant jusqu'à grimper sur un toit ?
L'ouvrage soulève de nombreuses questions, qu'il ne résout pas totalement à la fin de son récit. Et c'est sans doute là que se situe le charme du royaume des Devins, véritable mille-feuille d'énigmes, de péripéties et de personnages. Ce charme pourrait aussi être un écueil pour certains lectures : les personnages sont nombreux, presque trop pour les apprivoiser réellement, et certains remplissent des offices similaires. Mais le fait même qu'ils ne soient qu'esquissés contribue ici à l'atmosphère du roman.
Ma critique détaillée sur le site des Chroniques de l'Imaginaire.