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Satyricon liber
livre de Pétrone
Résumé : « J'ai évité la justice, je me suis dérobé à l'arène, j'ai tué mon hôte, et tout cela pour en venir, après tant de coups audacieux, à n'être qu'un mendiant, exilé, abandonné, dans une ville grecque ! Et qui donc m'a condamné à cette solitude ? Un jeune homme souillé de toutes les débauches, qui, de son propre aveu, mérite l'exil, affranchi grâce à ses infamies, que ses infamies ont élevé au rang d'homme de naissance libre, dont la jeunesse se vendait au ticket, qui s'est loué comme femme à ceux-là même qui savaient que c'était un homme. Que dire de l'autre ? Le jour où il aurait dû prendre la toge virile, il a pris la robe ; sa propre mère lui a persuadé de ne pas être un homme, il a fait la femme dans une prison d'esclaves. »
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Résumé : « J'ai évité la justice, je me suis dérobé à l'arène, j'ai tué mon hôte, et tout cela pour en venir, après tant de coups audacieux, à n'être qu'un mendiant, exilé, abandonné, dans une ville grecque ! Et qui donc m'a condamné à cette solitude ? Un jeune homme souillé de toutes les débauches, qui, de son propre aveu, mérite l'exil, affranchi grâce à ses infamies, que ses infamies ont élevé au rang d'homme de naissance libre, dont la jeunesse se vendait au ticket, qui s'est loué comme femme à ceux-là même qui savaient que c'était un homme. Que dire de l'autre ? Le jour où il aurait dû prendre la toge virile, il a pris la robe ; sa propre mère lui a persuadé de ne pas être un homme, il a fait la femme dans une prison d'esclaves. »
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Résumé : « J'ai évité la justice, je me suis dérobé à l'arène, j'ai tué mon hôte, et tout cela pour en venir, après tant de coups audacieux, à n'être qu'un mendiant, exilé, abandonné, dans une ville grecque ! Et qui donc m'a condamné à cette solitude ? Un jeune homme souillé de toutes les débauches, qui, de son propre aveu, mérite l'exil, affranchi grâce à ses infamies, que ses infamies ont élevé au rang d'homme de naissance libre, dont la jeunesse se vendait au ticket, qui s'est loué comme femme à ceux-là même qui savaient que c'était un homme. Que dire de l'autre ? Le jour où il aurait dû prendre la toge virile, il a pris la robe ; sa propre mère lui a persuadé de ne pas être un homme, il a fait la femme dans une prison d'esclaves. »
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“Je recommande l'extraordinaire traduction d'Olivier Sers aux éditions des Belles Lettres. Un coffret CD est aussi disponible avec la même traduction (Frémeaux et associés).”
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Résumé : « J'ai évité la justice, je me suis dérobé à l'arène, j'ai tué mon hôte, et tout cela pour en venir, après tant de coups audacieux, à n'être qu'un mendiant, exilé, abandonné, dans une ville grecque ! Et qui donc m'a condamné à cette solitude ? Un jeune homme souillé de toutes les débauches, qui, de son propre aveu, mérite l'exil, affranchi grâce à ses infamies, que ses infamies ont élevé au rang d'homme de naissance libre, dont la jeunesse se vendait au ticket, qui s'est loué comme femme à ceux-là même qui savaient que c'était un homme. Que dire de l'autre ? Le jour où il aurait dû prendre la toge virile, il a pris la robe ; sa propre mère lui a persuadé de ne pas être un homme, il a fait la femme dans une prison d'esclaves. »