Caricatural
J'en suis à la moitié du livre, je le terminerai, mais je ne renouvellerai pas l'expérience avec cet écrivain. Les personnages sont caricaturaux, les situations artificielles et la langue...
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le 1 août 2019
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Nous sommes à Raühnvahl dans une petite vallée des Alpes orientales, à de la fin du Moyen Âge, Marcus II de Saxe prince héritier, âgé de neuf ans, assiste au massacre de son père, de sa mère et sa petite sœur par une troupe de bandits commandée par Agomar et commanditée par Ojsternig le seigneur de Dravocnik. Ojsternig a ordonné de ne laisser personne en vie, le destin a été cruel avec lui, il lui plait d'être cruel avec les autres. Les mines de Dravocnik s'épuisent, les mineurs parlent de Liberté, certains ont pris le maquis avec à leur tête Volod le noir. Ojsternig rêve d'être le nouveau seigneur de Raühnvahl.
Sauvé par Eloisa une petite fille, Marcus II est recueilli par sa mère, Agnete, la sage-femme. Sa seule chance de survivre, c'est de ne plus être qui il est, plus jamais personne ne l'appellera prince. Il doit changer de nom et d' habits, il s'appelle désormais Mickaël.
Luca di Fulvio entraîne le lecteur dans le Moyen Âge, où le système féodal a divisé la société en serfs et en maîtres. le contexte historique est décrit avec précision, il crée un personnage, antihéros qui, a tout perdu sa famille, le pouvoir et son identité, et qui par un parcours initiatique fait d'enseignements et de rencontres va affronter la vie avec courage aidé par Raphaël le vieux sage et Emöke, la folle devenue la sainte.
Si le talent narratif de Luca Di Fluvio reste entier avec un style grandiose et réaliste, un récit ponctué de scènes parfois sanglantes et crues, avec des personnages forts et toujours parsemé de nombreux rebondissements, ce livre est moins convaincant que les précédents, "les enfants de Venise" et surtout le magnifique"Gang des rêves" parfois même il m'a paru un peu long, cette fois-ci la magie n'a pas opéré.
Créée
le 22 avr. 2018
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