L'actualité sur Le Sujet dans le tableau
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Pas mal de questions de méthodo intéressantes abordées pour un projet d'iconographie analytique (mais en fait c'est de l'iconologie analytique et du figural), enfin c'est dans le sillage de Damisch mais sans convoquer Warburg contrairement aux concepts freudiens omniprésents. Après ça reste quand même très intéressé par retrouver la patte de l'auteur dans le tableau et on sent que c'est très années 90 en ce sens qu'aujourd'hui on favoriserait plutôt une vie autonome des images, peut-être est-ce ...
Le 7 août 2023
1997 • livre de Daniel Arasse
Résumé : La question de l'intimité du rapport entre les oeuvres et leurs auteurs ou commanditaires se pose, à la Renaissance, de manière cruciale : l'expression individuelle de l'artiste devient en effet à cette époque un facteur reconnu - et apprécié - dans la genèse et la forme des oeuvres d'art. Le Sujet dans le tableau propose sept études de cas où un emploi analytique de l'iconographie permet de distinguer comment, en s'appropriant le sujet (manifeste) de son oeuvre par le trouble qu'il introduit dans son énoncé, l'artiste ou le commanditaire y marque sa présence comme celle du sujet (latent) de son énonciation. Qu'en a-t-il été de Michel-Ange et de son Moise ? de Titien dans son Allégorie de la Prudence ? de Giovanni Bellini dans sa Dérision de Noé ? Mais aussi de Mantegna dans ses signatures ou du prince Frédéric de Montefeltro dans le désordre du studiolo d'Urbino ? Un champ s'ouvre à l'analyse et à l'interprétation historiques : celui des investissements psychiques ou autres dont les oeuvres de la Renaissance ont été le lieu.
1997 • livre de Daniel Arasse
Résumé : La question de l'intimité du rapport entre les oeuvres et leurs auteurs ou commanditaires se pose, à la Renaissance, de manière cruciale : l'expression individuelle de l'artiste devient en effet à cette époque un facteur reconnu - et apprécié - dans la genèse et la forme des oeuvres d'art. Le Sujet dans le tableau propose sept études de cas où un emploi analytique de l'iconographie permet de distinguer comment, en s'appropriant le sujet (manifeste) de son oeuvre par le trouble qu'il introduit dans son énoncé, l'artiste ou le commanditaire y marque sa présence comme celle du sujet (latent) de son énonciation. Qu'en a-t-il été de Michel-Ange et de son Moise ? de Titien dans son Allégorie de la Prudence ? de Giovanni Bellini dans sa Dérision de Noé ? Mais aussi de Mantegna dans ses signatures ou du prince Frédéric de Montefeltro dans le désordre du studiolo d'Urbino ? Un champ s'ouvre à l'analyse et à l'interprétation historiques : celui des investissements psychiques ou autres dont les oeuvres de la Renaissance ont été le lieu.
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1997 • livre de Daniel Arasse
Résumé : La question de l'intimité du rapport entre les oeuvres et leurs auteurs ou commanditaires se pose, à la Renaissance, de manière cruciale : l'expression individuelle de l'artiste devient en effet à cette époque un facteur reconnu - et apprécié - dans la genèse et la forme des oeuvres d'art. Le Sujet dans le tableau propose sept études de cas où un emploi analytique de l'iconographie permet de distinguer comment, en s'appropriant le sujet (manifeste) de son oeuvre par le trouble qu'il introduit dans son énoncé, l'artiste ou le commanditaire y marque sa présence comme celle du sujet (latent) de son énonciation. Qu'en a-t-il été de Michel-Ange et de son Moise ? de Titien dans son Allégorie de la Prudence ? de Giovanni Bellini dans sa Dérision de Noé ? Mais aussi de Mantegna dans ses signatures ou du prince Frédéric de Montefeltro dans le désordre du studiolo d'Urbino ? Un champ s'ouvre à l'analyse et à l'interprétation historiques : celui des investissements psychiques ou autres dont les oeuvres de la Renaissance ont été le lieu.
Le 28 août 2020
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1997 • livre de Daniel Arasse
Résumé : La question de l'intimité du rapport entre les oeuvres et leurs auteurs ou commanditaires se pose, à la Renaissance, de manière cruciale : l'expression individuelle de l'artiste devient en effet à cette époque un facteur reconnu - et apprécié - dans la genèse et la forme des oeuvres d'art. Le Sujet dans le tableau propose sept études de cas où un emploi analytique de l'iconographie permet de distinguer comment, en s'appropriant le sujet (manifeste) de son oeuvre par le trouble qu'il introduit dans son énoncé, l'artiste ou le commanditaire y marque sa présence comme celle du sujet (latent) de son énonciation. Qu'en a-t-il été de Michel-Ange et de son Moise ? de Titien dans son Allégorie de la Prudence ? de Giovanni Bellini dans sa Dérision de Noé ? Mais aussi de Mantegna dans ses signatures ou du prince Frédéric de Montefeltro dans le désordre du studiolo d'Urbino ? Un champ s'ouvre à l'analyse et à l'interprétation historiques : celui des investissements psychiques ou autres dont les oeuvres de la Renaissance ont été le lieu.
Le 21 avr. 2020
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1997 • livre de Daniel Arasse
Résumé : La question de l'intimité du rapport entre les oeuvres et leurs auteurs ou commanditaires se pose, à la Renaissance, de manière cruciale : l'expression individuelle de l'artiste devient en effet à cette époque un facteur reconnu - et apprécié - dans la genèse et la forme des oeuvres d'art. Le Sujet dans le tableau propose sept études de cas où un emploi analytique de l'iconographie permet de distinguer comment, en s'appropriant le sujet (manifeste) de son oeuvre par le trouble qu'il introduit dans son énoncé, l'artiste ou le commanditaire y marque sa présence comme celle du sujet (latent) de son énonciation. Qu'en a-t-il été de Michel-Ange et de son Moise ? de Titien dans son Allégorie de la Prudence ? de Giovanni Bellini dans sa Dérision de Noé ? Mais aussi de Mantegna dans ses signatures ou du prince Frédéric de Montefeltro dans le désordre du studiolo d'Urbino ? Un champ s'ouvre à l'analyse et à l'interprétation historiques : celui des investissements psychiques ou autres dont les oeuvres de la Renaissance ont été le lieu.
1997 • livre de Daniel Arasse
Résumé : La question de l'intimité du rapport entre les oeuvres et leurs auteurs ou commanditaires se pose, à la Renaissance, de manière cruciale : l'expression individuelle de l'artiste devient en effet à cette époque un facteur reconnu - et apprécié - dans la genèse et la forme des oeuvres d'art. Le Sujet dans le tableau propose sept études de cas où un emploi analytique de l'iconographie permet de distinguer comment, en s'appropriant le sujet (manifeste) de son oeuvre par le trouble qu'il introduit dans son énoncé, l'artiste ou le commanditaire y marque sa présence comme celle du sujet (latent) de son énonciation. Qu'en a-t-il été de Michel-Ange et de son Moise ? de Titien dans son Allégorie de la Prudence ? de Giovanni Bellini dans sa Dérision de Noé ? Mais aussi de Mantegna dans ses signatures ou du prince Frédéric de Montefeltro dans le désordre du studiolo d'Urbino ? Un champ s'ouvre à l'analyse et à l'interprétation historiques : celui des investissements psychiques ou autres dont les oeuvres de la Renaissance ont été le lieu.