C'est bien Bobin, un temps. Quelque chose de lumineux, qui s'arrête cependant à l'auto-satisfaction simple de la lumière. Je finis toujours par y trouver quelque chose d'affecté ou, plus désagréable, une manière de ne pas aller y voir plus loin, d'apprêter l'impossible d'une déprise totale, de s'arranger avec ses désirs de ne pas se donner tout entier. D'une certaine façon, cela sonne comme un échec inconscient de l'être - et donc, en poussant le trait, une forme, très-subtile, très-effacée, de fatuité rémanente. Mais ni plus ni moins que la présente critique, qui ne peut guère mieux. Disons que je n'y vis pas grand chose, et cessais vite de fréquenter le bonhomme pour n'y vivre pas assez :D