L'actualité sur Le Vice-Consul
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1966 • livre de Marguerite Duras
Résumé : Si le Vice-Consul recèle une histoire, c'est celle de la mendiante de Calcutta racontée par le narrateur anonyme et par le personnage d'écrivain Peter Morgan. Le personnage de la mendiante revêt une importance particulière puisqu'il est directement issu d'un souvenir réel de l'auteur. Alors qu'elle est encore petite, Marguerite Duras assiste à la vente de son enfant par une mère mendiante. Ce souvenir obsédant constitue « le centre et le cœur »[1] du Vice-consul. Réutilisé dans différentes œuvres, il fonctionne à la manière d'une « cellule génératrice » propice au déclenchement créatif. L'écriture tente ainsi « d'épuiser un inépuisable référent ». Rien d'autre, dans ce texte, ne tient de l'histoire ou du récit. Il s'agit plutôt d'un assemblage de personnages et de situations avec une relative unité de lieu (Calcutta) et de temps (le début de la mousson) très relative.
1966 • livre de Marguerite Duras
Résumé : Si le Vice-Consul recèle une histoire, c'est celle de la mendiante de Calcutta racontée par le narrateur anonyme et par le personnage d'écrivain Peter Morgan. Le personnage de la mendiante revêt une importance particulière puisqu'il est directement issu d'un souvenir réel de l'auteur. Alors qu'elle est encore petite, Marguerite Duras assiste à la vente de son enfant par une mère mendiante. Ce souvenir obsédant constitue « le centre et le cœur »[1] du Vice-consul. Réutilisé dans différentes œuvres, il fonctionne à la manière d'une « cellule génératrice » propice au déclenchement créatif. L'écriture tente ainsi « d'épuiser un inépuisable référent ». Rien d'autre, dans ce texte, ne tient de l'histoire ou du récit. Il s'agit plutôt d'un assemblage de personnages et de situations avec une relative unité de lieu (Calcutta) et de temps (le début de la mousson) très relative.
1966 • livre de Marguerite Duras
Résumé : Si le Vice-Consul recèle une histoire, c'est celle de la mendiante de Calcutta racontée par le narrateur anonyme et par le personnage d'écrivain Peter Morgan. Le personnage de la mendiante revêt une importance particulière puisqu'il est directement issu d'un souvenir réel de l'auteur. Alors qu'elle est encore petite, Marguerite Duras assiste à la vente de son enfant par une mère mendiante. Ce souvenir obsédant constitue « le centre et le cœur »[1] du Vice-consul. Réutilisé dans différentes œuvres, il fonctionne à la manière d'une « cellule génératrice » propice au déclenchement créatif. L'écriture tente ainsi « d'épuiser un inépuisable référent ». Rien d'autre, dans ce texte, ne tient de l'histoire ou du récit. Il s'agit plutôt d'un assemblage de personnages et de situations avec une relative unité de lieu (Calcutta) et de temps (le début de la mousson) très relative.
Le 15 juil. 2024
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Le 25 mai 2024
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1966 • livre de Marguerite Duras
Résumé : Si le Vice-Consul recèle une histoire, c'est celle de la mendiante de Calcutta racontée par le narrateur anonyme et par le personnage d'écrivain Peter Morgan. Le personnage de la mendiante revêt une importance particulière puisqu'il est directement issu d'un souvenir réel de l'auteur. Alors qu'elle est encore petite, Marguerite Duras assiste à la vente de son enfant par une mère mendiante. Ce souvenir obsédant constitue « le centre et le cœur »[1] du Vice-consul. Réutilisé dans différentes œuvres, il fonctionne à la manière d'une « cellule génératrice » propice au déclenchement créatif. L'écriture tente ainsi « d'épuiser un inépuisable référent ». Rien d'autre, dans ce texte, ne tient de l'histoire ou du récit. Il s'agit plutôt d'un assemblage de personnages et de situations avec une relative unité de lieu (Calcutta) et de temps (le début de la mousson) très relative.
1966 • livre de Marguerite Duras
Résumé : Si le Vice-Consul recèle une histoire, c'est celle de la mendiante de Calcutta racontée par le narrateur anonyme et par le personnage d'écrivain Peter Morgan. Le personnage de la mendiante revêt une importance particulière puisqu'il est directement issu d'un souvenir réel de l'auteur. Alors qu'elle est encore petite, Marguerite Duras assiste à la vente de son enfant par une mère mendiante. Ce souvenir obsédant constitue « le centre et le cœur »[1] du Vice-consul. Réutilisé dans différentes œuvres, il fonctionne à la manière d'une « cellule génératrice » propice au déclenchement créatif. L'écriture tente ainsi « d'épuiser un inépuisable référent ». Rien d'autre, dans ce texte, ne tient de l'histoire ou du récit. Il s'agit plutôt d'un assemblage de personnages et de situations avec une relative unité de lieu (Calcutta) et de temps (le début de la mousson) très relative.
Le 24 déc. 2023
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Le 15 déc. 2023
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1966 • livre de Marguerite Duras
Résumé : Si le Vice-Consul recèle une histoire, c'est celle de la mendiante de Calcutta racontée par le narrateur anonyme et par le personnage d'écrivain Peter Morgan. Le personnage de la mendiante revêt une importance particulière puisqu'il est directement issu d'un souvenir réel de l'auteur. Alors qu'elle est encore petite, Marguerite Duras assiste à la vente de son enfant par une mère mendiante. Ce souvenir obsédant constitue « le centre et le cœur »[1] du Vice-consul. Réutilisé dans différentes œuvres, il fonctionne à la manière d'une « cellule génératrice » propice au déclenchement créatif. L'écriture tente ainsi « d'épuiser un inépuisable référent ». Rien d'autre, dans ce texte, ne tient de l'histoire ou du récit. Il s'agit plutôt d'un assemblage de personnages et de situations avec une relative unité de lieu (Calcutta) et de temps (le début de la mousson) très relative.
Le 7 nov. 2023
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Le 7 nov. 2023
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Le 16 oct. 2023
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1966 • livre de Marguerite Duras
Résumé : Si le Vice-Consul recèle une histoire, c'est celle de la mendiante de Calcutta racontée par le narrateur anonyme et par le personnage d'écrivain Peter Morgan. Le personnage de la mendiante revêt une importance particulière puisqu'il est directement issu d'un souvenir réel de l'auteur. Alors qu'elle est encore petite, Marguerite Duras assiste à la vente de son enfant par une mère mendiante. Ce souvenir obsédant constitue « le centre et le cœur »[1] du Vice-consul. Réutilisé dans différentes œuvres, il fonctionne à la manière d'une « cellule génératrice » propice au déclenchement créatif. L'écriture tente ainsi « d'épuiser un inépuisable référent ». Rien d'autre, dans ce texte, ne tient de l'histoire ou du récit. Il s'agit plutôt d'un assemblage de personnages et de situations avec une relative unité de lieu (Calcutta) et de temps (le début de la mousson) très relative.