Le duo Eve Ronin et Duncan Pavone de la Brigade Criminelle de Los Angeles est appelé sur une scène de crime assez inhabituelle : la maison qu’occupent Tanya Kenworth avec ses deux enfants et leur chien est retrouvée dans un bain de sang humain. Et aucune trace de ces habitants.
Pour Eve Ronin jeune inspectrice, cette affaire est un baptême du feu, bien qu’elle s’est déjà fait connaître du grand public (et de ses futurs collègues) via les réseaux sociaux en procédant à l’arrestation d’un célèbre acteur ; quant à l’inspecteur Pavone, à quelques semaines de la retraite, il souhaiterait voir cette enquête se terminer aussi vite qu’elle a commencé.
Mais sans corps, l’affaire va s’avérer plus délicate qu’elle n’y paraît. Si la réputation de Ronin n’est plus à faire, elle n’en subit pas moins la pression de ses supérieurs…
Si l’absence de corps donne un plus à l’intrigue, la formule du briscard à quelques semaines de la retraite, gros avec une appétence pour les donuts et la jeune et jolie recrue, ambitieuse et mal aimée de ses collègues a maintes fois été utilisée. Dommage...
Les Anges rouges reste toutefois un bon roman policier, classique avec son côté old-school.
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