Les Aventures de David Balfour
Fiche technique
Auteur :
Robert Louis StevensonGenre : RomanDate de publication (pays d'origine) : 1886Parution France : 1905Éditeur :
Éditions du RocherISBN : 9782268058832, 9782268058832Aussi connu sous le nom de : Enlevé !Groupe :
Les Aventures de David BalfourRésumé : Dans la première partie, Enlevé !, le jeune David Balfour se retrouve orphelin et manque de se faire assassiner par son oncle, propriétaire du domaine de Shaws, en ÿcosse.Séquestré par les pirates, Balfour rencontre Alan Breck qui transporte des fonds à des chefs écossais exilés en France. Breck, orgueilleux fuyard qui se prétend «fils de roi», aide David à s'évader. Au terme de l'aventure, David découvre enfin la vérité. Il est le véritable propriétaire du domaine de Shaws. Avec l'aide de son ami, il démasque son oncle et prend possession de ses terres.Dans Catriona, écrit quelques années plus tard, Balfour tente d'obtenir la réhabilitation de Breck le proscrit : notre héros parcourt à nouveau la lande, de fuites éperdues en rendez-vous secrets.Quête inspirée par l'amitié et la fidélité, David Balfour était le roman préféré de Stevenson.Extrait du livre:Extrait :JE COMMENCE le récit de mes aventures à une certaine matinée des premiers jours de juin, l'an de grâce 1751, celle où pour la dernière fois je fermai à double tour la porte de la maison paternelle. Le soleil brillait déjà sur les cimes des montagnes lorsque je descendis la route ; et quand j'atteignis le presbytère, les merles sifflaient dans les lilas du jardin, et la brume qui flottait dans la vallée au lever de l'aurore commençait à se dissiper. M. Campbell, le ministre d'Essendean, m'attendait à la porte de son jardin. L'excellent homme me demanda si j'avais déjeuné. Je lui répondis que je n'avais besoin de rien. Alors il prit ma main entre les siennes, et la mit affectueusement sous son bras. Allons, Davie, mon petit, dit-il, je vais vous accompagner jusqu'au gué, pour vous donner un pas de conduite. Et nous nous mîmes en route silencieusement. ÿtes-vous triste de quitter Essendean ? dit-il après un temps. Ma foi, monsieur, dis-je, si j