L'actualité sur Les Bienheureux de la désolation
Les dernières actions
1970 • livre de Hervé Bazin
Résumé : Tristan da Cunha, surnommée l'île de La Désolation, offrait au milieu des tempêtes de l'Atlantique sud une vie rude, très primitive, à ses 264 habitants, lorsqu'en 1961 une éruption volcanique contraignit ceux-ci à se réfugier en Angleterre, où ils découvrirent à la fois les merveilles et les méfaits de la civilisation. Dès 1963, n'y pouvant tenir, ils regagnaient leur village ravagé, sous le cratère encore fumant. On put écrire alors que grand-père disait non à notre société comme allaient le dire cinq ans plus tard, en France, les contestataires de 1968. Très vite pourtant les Tristans se ravisèrent. L'île est aujourd'hui entièrement modernisée. Mais elle l'est dans un esprit très particulier. S'ils ont accepté de la technique ce qui permet de mater une nature hostile, les insulaires refusent de se laisser dominer par elle. Ils demeurent fidèles à leur communauté qu'aèrent, avec le Vent et l'aventure à domicile, une liberté, une égalité, un type de vie où l'entraide chasse la compétition, comme le nécessaire chasse le superflu. Tristan, que son isolement protège, ne fournit pas de leçon, pas d'exemple. Mais ce cas, par ses résonances, déborde l'exception. Tel est le fait divers, peu connu en France, bien qu'il ait outre-Manche défrayé la chronique et passionné les sociologues, qui a inspiré à Hervé Bazin ce roman plein de couleur et de mouvement dont le ton s'apparente à celui d'un conte philosophique qui a l'avantage d'être vrai.
1970 • livre de Hervé Bazin
Résumé : Tristan da Cunha, surnommée l'île de La Désolation, offrait au milieu des tempêtes de l'Atlantique sud une vie rude, très primitive, à ses 264 habitants, lorsqu'en 1961 une éruption volcanique contraignit ceux-ci à se réfugier en Angleterre, où ils découvrirent à la fois les merveilles et les méfaits de la civilisation. Dès 1963, n'y pouvant tenir, ils regagnaient leur village ravagé, sous le cratère encore fumant. On put écrire alors que grand-père disait non à notre société comme allaient le dire cinq ans plus tard, en France, les contestataires de 1968. Très vite pourtant les Tristans se ravisèrent. L'île est aujourd'hui entièrement modernisée. Mais elle l'est dans un esprit très particulier. S'ils ont accepté de la technique ce qui permet de mater une nature hostile, les insulaires refusent de se laisser dominer par elle. Ils demeurent fidèles à leur communauté qu'aèrent, avec le Vent et l'aventure à domicile, une liberté, une égalité, un type de vie où l'entraide chasse la compétition, comme le nécessaire chasse le superflu. Tristan, que son isolement protège, ne fournit pas de leçon, pas d'exemple. Mais ce cas, par ses résonances, déborde l'exception. Tel est le fait divers, peu connu en France, bien qu'il ait outre-Manche défrayé la chronique et passionné les sociologues, qui a inspiré à Hervé Bazin ce roman plein de couleur et de mouvement dont le ton s'apparente à celui d'un conte philosophique qui a l'avantage d'être vrai.
1970 • livre de Hervé Bazin
Résumé : Tristan da Cunha, surnommée l'île de La Désolation, offrait au milieu des tempêtes de l'Atlantique sud une vie rude, très primitive, à ses 264 habitants, lorsqu'en 1961 une éruption volcanique contraignit ceux-ci à se réfugier en Angleterre, où ils découvrirent à la fois les merveilles et les méfaits de la civilisation. Dès 1963, n'y pouvant tenir, ils regagnaient leur village ravagé, sous le cratère encore fumant. On put écrire alors que grand-père disait non à notre société comme allaient le dire cinq ans plus tard, en France, les contestataires de 1968. Très vite pourtant les Tristans se ravisèrent. L'île est aujourd'hui entièrement modernisée. Mais elle l'est dans un esprit très particulier. S'ils ont accepté de la technique ce qui permet de mater une nature hostile, les insulaires refusent de se laisser dominer par elle. Ils demeurent fidèles à leur communauté qu'aèrent, avec le Vent et l'aventure à domicile, une liberté, une égalité, un type de vie où l'entraide chasse la compétition, comme le nécessaire chasse le superflu. Tristan, que son isolement protège, ne fournit pas de leçon, pas d'exemple. Mais ce cas, par ses résonances, déborde l'exception. Tel est le fait divers, peu connu en France, bien qu'il ait outre-Manche défrayé la chronique et passionné les sociologues, qui a inspiré à Hervé Bazin ce roman plein de couleur et de mouvement dont le ton s'apparente à celui d'un conte philosophique qui a l'avantage d'être vrai.
“Un peu déçue. Sur un thème fascinant ( pourquoi refuser les avantages de la " civilisation"?) le roman est décousu et campe approximativement trop de personnages. ”
Le 10 janv. 2023
2 j'aime
Le 10 janv. 2023
1 j'aime
a apprécié
du livre
écrite par
a apprécié
du livre
écrite par
“Il est lu par Maria Schneider, une des esclaves de la maison close (un îlot aussi de désolation) dans https://www.senscritique.com/film/la_derobade/491216 ”
1970 • livre de Hervé Bazin
Résumé : Tristan da Cunha, surnommée l'île de La Désolation, offrait au milieu des tempêtes de l'Atlantique sud une vie rude, très primitive, à ses 264 habitants, lorsqu'en 1961 une éruption volcanique contraignit ceux-ci à se réfugier en Angleterre, où ils découvrirent à la fois les merveilles et les méfaits de la civilisation. Dès 1963, n'y pouvant tenir, ils regagnaient leur village ravagé, sous le cratère encore fumant. On put écrire alors que grand-père disait non à notre société comme allaient le dire cinq ans plus tard, en France, les contestataires de 1968. Très vite pourtant les Tristans se ravisèrent. L'île est aujourd'hui entièrement modernisée. Mais elle l'est dans un esprit très particulier. S'ils ont accepté de la technique ce qui permet de mater une nature hostile, les insulaires refusent de se laisser dominer par elle. Ils demeurent fidèles à leur communauté qu'aèrent, avec le Vent et l'aventure à domicile, une liberté, une égalité, un type de vie où l'entraide chasse la compétition, comme le nécessaire chasse le superflu. Tristan, que son isolement protège, ne fournit pas de leçon, pas d'exemple. Mais ce cas, par ses résonances, déborde l'exception. Tel est le fait divers, peu connu en France, bien qu'il ait outre-Manche défrayé la chronique et passionné les sociologues, qui a inspiré à Hervé Bazin ce roman plein de couleur et de mouvement dont le ton s'apparente à celui d'un conte philosophique qui a l'avantage d'être vrai.
Je découvre ce livre car il est lu par Maria Schneider dans un film que j'ai (pour l'instant) abandonné aussi https://www.senscritique.com/film/la_derobade/491216
Le 6 juil. 2022
(à ne surtout pas mal prendre car je fais bien pire mais je crois que "à mis interrésser." devrait être "à m'y intéresser" )
Le 6 juil. 2022
1970 • livre de Hervé Bazin
Résumé : Tristan da Cunha, surnommée l'île de La Désolation, offrait au milieu des tempêtes de l'Atlantique sud une vie rude, très primitive, à ses 264 habitants, lorsqu'en 1961 une éruption volcanique contraignit ceux-ci à se réfugier en Angleterre, où ils découvrirent à la fois les merveilles et les méfaits de la civilisation. Dès 1963, n'y pouvant tenir, ils regagnaient leur village ravagé, sous le cratère encore fumant. On put écrire alors que grand-père disait non à notre société comme allaient le dire cinq ans plus tard, en France, les contestataires de 1968. Très vite pourtant les Tristans se ravisèrent. L'île est aujourd'hui entièrement modernisée. Mais elle l'est dans un esprit très particulier. S'ils ont accepté de la technique ce qui permet de mater une nature hostile, les insulaires refusent de se laisser dominer par elle. Ils demeurent fidèles à leur communauté qu'aèrent, avec le Vent et l'aventure à domicile, une liberté, une égalité, un type de vie où l'entraide chasse la compétition, comme le nécessaire chasse le superflu. Tristan, que son isolement protège, ne fournit pas de leçon, pas d'exemple. Mais ce cas, par ses résonances, déborde l'exception. Tel est le fait divers, peu connu en France, bien qu'il ait outre-Manche défrayé la chronique et passionné les sociologues, qui a inspiré à Hervé Bazin ce roman plein de couleur et de mouvement dont le ton s'apparente à celui d'un conte philosophique qui a l'avantage d'être vrai.