A l’occasion du salon de l’Iris Noir en Poche, j’ai eu la chance de coanimer deux tables rondes en compagnie de ma copine Nathalie, blogueuse également (www.meslecturesdudimanche.com) dont l’un des thèmes étaient : Au centre de l’intrigue ou dans l’ombre, les femmes sont le cœur ! Les participants étaient Rosalie Lowie, Emmanuelle Faguer, Mathieu Lecerf et Nicolas Leclerc.
Pour bien préparer cette table ronde, j’ai donc mis mes lectures à jour pour chacun des auteurs présents. C’est ainsi que j’ai pu découvrir le premier roman d’Emmanuelle Faguer : « Les désobéissantes », paru l’an passé aux Editions Harper Collins, (le format poche est déjà disponible aussi chez Harper Collins dans la collection Poche).
Si vous avez l’habitude de lire la quatrième de couverture avant d’entamer ce livre, sachez d’ores- et-déjà qu’il ne reflète que très peu ce que vous allez découvrir. En effet, ce résumé pourrait vous laisser assez froid ou réticent et pourtant, ce livre recèle de nombreuses qualités !
C’est ainsi que j’ai trouvé : la quatrième de couverture était bien loin de l’essence du roman. L’histoire est bien plus attractive et addictive que ce qu’il laisse présupposer. C’est pourquoi je ne dévoilerai pas plus de l’histoire… Mais n’ayez pas peur, c’est extrêmement meilleur que ce qui y est énoncé.
Les mystères entourant la mort du virtuose du piano, Marcus Solar, et de sa dame de confiance, sont nombreux et très recherchés.A aucun moment du polar, on ne s’ennuie car l’histoire est portée par une écriture fluide et addictive. Pour un premier roman, l’autrice, Emmanuelle Faguer, a placé la barre très haut !
J’ai vraiment tout adoré dans ce livre : le suspens, l’histoire, les personnages, … Bref, un excellent moment de lecture que je ne peux que vivement vous conseiller !