L'actualité sur Les Filles du feu
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1854 • livre de Gérard de Nerval
Résumé : Nerval lui-même qualifiait ce recueil de "descente aux enfers". Texte aux accents ésotériques souvent obscurs, Aurélia ressuscite le mythe d'Orphée en une succession de rêves prophétiques et de délires visuels dont les surréalistes devaient faire leur miel. Dans "son petit habit brun de toiles d'araignées", Nerval côtoie sans cesse la folie et, cas unique en littérature, s'y abandonne humblement, en toute lucidité. Même Rimbaud n'ira guère plus loin. Écrivant comme sous la dictée de forces surnaturelles, dans un style haletant, précipité (il se suicidera peu de temps après), le poète se dépouille sans regrets de tous les artifices du réel. Le rêve seul peut répondre à ses questions hallucinées. Images apocalyptiques, cris déchirants ("L'univers est dans la nuit"), Nerval, au fil d'errances sans soleil, cherche à la fois les fantômes de sa mère et de son amour disparus. Il crée pour finir un chef-d'oeuvre unique, une étoile solitaire, et trouve là l'immortalité tant désirée.
1854 • livre de Gérard de Nerval
Résumé : Nerval lui-même qualifiait ce recueil de "descente aux enfers". Texte aux accents ésotériques souvent obscurs, Aurélia ressuscite le mythe d'Orphée en une succession de rêves prophétiques et de délires visuels dont les surréalistes devaient faire leur miel. Dans "son petit habit brun de toiles d'araignées", Nerval côtoie sans cesse la folie et, cas unique en littérature, s'y abandonne humblement, en toute lucidité. Même Rimbaud n'ira guère plus loin. Écrivant comme sous la dictée de forces surnaturelles, dans un style haletant, précipité (il se suicidera peu de temps après), le poète se dépouille sans regrets de tous les artifices du réel. Le rêve seul peut répondre à ses questions hallucinées. Images apocalyptiques, cris déchirants ("L'univers est dans la nuit"), Nerval, au fil d'errances sans soleil, cherche à la fois les fantômes de sa mère et de son amour disparus. Il crée pour finir un chef-d'oeuvre unique, une étoile solitaire, et trouve là l'immortalité tant désirée.
1854 • livre de Gérard de Nerval
Résumé : Nerval lui-même qualifiait ce recueil de "descente aux enfers". Texte aux accents ésotériques souvent obscurs, Aurélia ressuscite le mythe d'Orphée en une succession de rêves prophétiques et de délires visuels dont les surréalistes devaient faire leur miel. Dans "son petit habit brun de toiles d'araignées", Nerval côtoie sans cesse la folie et, cas unique en littérature, s'y abandonne humblement, en toute lucidité. Même Rimbaud n'ira guère plus loin. Écrivant comme sous la dictée de forces surnaturelles, dans un style haletant, précipité (il se suicidera peu de temps après), le poète se dépouille sans regrets de tous les artifices du réel. Le rêve seul peut répondre à ses questions hallucinées. Images apocalyptiques, cris déchirants ("L'univers est dans la nuit"), Nerval, au fil d'errances sans soleil, cherche à la fois les fantômes de sa mère et de son amour disparus. Il crée pour finir un chef-d'oeuvre unique, une étoile solitaire, et trouve là l'immortalité tant désirée.
1854 • livre de Gérard de Nerval
Résumé : Nerval lui-même qualifiait ce recueil de "descente aux enfers". Texte aux accents ésotériques souvent obscurs, Aurélia ressuscite le mythe d'Orphée en une succession de rêves prophétiques et de délires visuels dont les surréalistes devaient faire leur miel. Dans "son petit habit brun de toiles d'araignées", Nerval côtoie sans cesse la folie et, cas unique en littérature, s'y abandonne humblement, en toute lucidité. Même Rimbaud n'ira guère plus loin. Écrivant comme sous la dictée de forces surnaturelles, dans un style haletant, précipité (il se suicidera peu de temps après), le poète se dépouille sans regrets de tous les artifices du réel. Le rêve seul peut répondre à ses questions hallucinées. Images apocalyptiques, cris déchirants ("L'univers est dans la nuit"), Nerval, au fil d'errances sans soleil, cherche à la fois les fantômes de sa mère et de son amour disparus. Il crée pour finir un chef-d'oeuvre unique, une étoile solitaire, et trouve là l'immortalité tant désirée.
1854 • livre de Gérard de Nerval
Résumé : Nerval lui-même qualifiait ce recueil de "descente aux enfers". Texte aux accents ésotériques souvent obscurs, Aurélia ressuscite le mythe d'Orphée en une succession de rêves prophétiques et de délires visuels dont les surréalistes devaient faire leur miel. Dans "son petit habit brun de toiles d'araignées", Nerval côtoie sans cesse la folie et, cas unique en littérature, s'y abandonne humblement, en toute lucidité. Même Rimbaud n'ira guère plus loin. Écrivant comme sous la dictée de forces surnaturelles, dans un style haletant, précipité (il se suicidera peu de temps après), le poète se dépouille sans regrets de tous les artifices du réel. Le rêve seul peut répondre à ses questions hallucinées. Images apocalyptiques, cris déchirants ("L'univers est dans la nuit"), Nerval, au fil d'errances sans soleil, cherche à la fois les fantômes de sa mère et de son amour disparus. Il crée pour finir un chef-d'oeuvre unique, une étoile solitaire, et trouve là l'immortalité tant désirée.
1854 • livre de Gérard de Nerval
Résumé : Nerval lui-même qualifiait ce recueil de "descente aux enfers". Texte aux accents ésotériques souvent obscurs, Aurélia ressuscite le mythe d'Orphée en une succession de rêves prophétiques et de délires visuels dont les surréalistes devaient faire leur miel. Dans "son petit habit brun de toiles d'araignées", Nerval côtoie sans cesse la folie et, cas unique en littérature, s'y abandonne humblement, en toute lucidité. Même Rimbaud n'ira guère plus loin. Écrivant comme sous la dictée de forces surnaturelles, dans un style haletant, précipité (il se suicidera peu de temps après), le poète se dépouille sans regrets de tous les artifices du réel. Le rêve seul peut répondre à ses questions hallucinées. Images apocalyptiques, cris déchirants ("L'univers est dans la nuit"), Nerval, au fil d'errances sans soleil, cherche à la fois les fantômes de sa mère et de son amour disparus. Il crée pour finir un chef-d'oeuvre unique, une étoile solitaire, et trouve là l'immortalité tant désirée.
Le 15 août 2024
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1854 • livre de Gérard de Nerval
Résumé : Nerval lui-même qualifiait ce recueil de "descente aux enfers". Texte aux accents ésotériques souvent obscurs, Aurélia ressuscite le mythe d'Orphée en une succession de rêves prophétiques et de délires visuels dont les surréalistes devaient faire leur miel. Dans "son petit habit brun de toiles d'araignées", Nerval côtoie sans cesse la folie et, cas unique en littérature, s'y abandonne humblement, en toute lucidité. Même Rimbaud n'ira guère plus loin. Écrivant comme sous la dictée de forces surnaturelles, dans un style haletant, précipité (il se suicidera peu de temps après), le poète se dépouille sans regrets de tous les artifices du réel. Le rêve seul peut répondre à ses questions hallucinées. Images apocalyptiques, cris déchirants ("L'univers est dans la nuit"), Nerval, au fil d'errances sans soleil, cherche à la fois les fantômes de sa mère et de son amour disparus. Il crée pour finir un chef-d'oeuvre unique, une étoile solitaire, et trouve là l'immortalité tant désirée.
1854 • livre de Gérard de Nerval
Résumé : Nerval lui-même qualifiait ce recueil de "descente aux enfers". Texte aux accents ésotériques souvent obscurs, Aurélia ressuscite le mythe d'Orphée en une succession de rêves prophétiques et de délires visuels dont les surréalistes devaient faire leur miel. Dans "son petit habit brun de toiles d'araignées", Nerval côtoie sans cesse la folie et, cas unique en littérature, s'y abandonne humblement, en toute lucidité. Même Rimbaud n'ira guère plus loin. Écrivant comme sous la dictée de forces surnaturelles, dans un style haletant, précipité (il se suicidera peu de temps après), le poète se dépouille sans regrets de tous les artifices du réel. Le rêve seul peut répondre à ses questions hallucinées. Images apocalyptiques, cris déchirants ("L'univers est dans la nuit"), Nerval, au fil d'errances sans soleil, cherche à la fois les fantômes de sa mère et de son amour disparus. Il crée pour finir un chef-d'oeuvre unique, une étoile solitaire, et trouve là l'immortalité tant désirée.
Picardie (Valois) "Je me représentais un château du temps de Henri IV avec ses toits pointus couverts d’ardoises et sa face rougeâtre aux encoignures dentelées de pierres jaunies, une grande place verte encadrée d’ormes et de tilleuls, dont le soleil couchant perçait le feuillage de ses traits enflammés. Des jeunes filles dansaient en rond sur la pelouse en chantant de vieux airs transmis par leurs mères, et d’un français si naturellement pur que l’on se sentait bien exister dans ce vieux pays ...
Le 3 juin 2024