L'actualité sur Les Guérillères
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1969 • livre de Monique Wittig
Résumé : Depuis qu'il y a des hommes et qu'ils pensent, ils ont chacun écrit l'histoire dans leur langage : au masculin. « Si les mots qualifiés sont de genre différents, l'adjectif se met au masculin pluriel » (Grévisse). Les Guérillères s'écrivent comme sujet collectif à la troisième personne du féminin pluriel. Dans les lacunes des textes magistraux qu'on nous a donnés à lire jusqu'ici, les bribes d'un autre texte apparaissent, le négatif ou plutôt l'envers des premiers, dévoilant soudain une force et une violence que de longs siècles d'oppression ont rendu explosives.
1969 • livre de Monique Wittig
Résumé : Depuis qu'il y a des hommes et qu'ils pensent, ils ont chacun écrit l'histoire dans leur langage : au masculin. « Si les mots qualifiés sont de genre différents, l'adjectif se met au masculin pluriel » (Grévisse). Les Guérillères s'écrivent comme sujet collectif à la troisième personne du féminin pluriel. Dans les lacunes des textes magistraux qu'on nous a donnés à lire jusqu'ici, les bribes d'un autre texte apparaissent, le négatif ou plutôt l'envers des premiers, dévoilant soudain une force et une violence que de longs siècles d'oppression ont rendu explosives.
1969 • livre de Monique Wittig
Résumé : Depuis qu'il y a des hommes et qu'ils pensent, ils ont chacun écrit l'histoire dans leur langage : au masculin. « Si les mots qualifiés sont de genre différents, l'adjectif se met au masculin pluriel » (Grévisse). Les Guérillères s'écrivent comme sujet collectif à la troisième personne du féminin pluriel. Dans les lacunes des textes magistraux qu'on nous a donnés à lire jusqu'ici, les bribes d'un autre texte apparaissent, le négatif ou plutôt l'envers des premiers, dévoilant soudain une force et une violence que de longs siècles d'oppression ont rendu explosives.
1969 • livre de Monique Wittig
Résumé : Depuis qu'il y a des hommes et qu'ils pensent, ils ont chacun écrit l'histoire dans leur langage : au masculin. « Si les mots qualifiés sont de genre différents, l'adjectif se met au masculin pluriel » (Grévisse). Les Guérillères s'écrivent comme sujet collectif à la troisième personne du féminin pluriel. Dans les lacunes des textes magistraux qu'on nous a donnés à lire jusqu'ici, les bribes d'un autre texte apparaissent, le négatif ou plutôt l'envers des premiers, dévoilant soudain une force et une violence que de longs siècles d'oppression ont rendu explosives.
a attribué 8/10 au livre
et l'a ajouté à sa liste
1969 • livre de Monique Wittig
Résumé : Depuis qu'il y a des hommes et qu'ils pensent, ils ont chacun écrit l'histoire dans leur langage : au masculin. « Si les mots qualifiés sont de genre différents, l'adjectif se met au masculin pluriel » (Grévisse). Les Guérillères s'écrivent comme sujet collectif à la troisième personne du féminin pluriel. Dans les lacunes des textes magistraux qu'on nous a donnés à lire jusqu'ici, les bribes d'un autre texte apparaissent, le négatif ou plutôt l'envers des premiers, dévoilant soudain une force et une violence que de longs siècles d'oppression ont rendu explosives.
Le 25 oct. 2024
1 j'aime
1969 • livre de Monique Wittig
Résumé : Depuis qu'il y a des hommes et qu'ils pensent, ils ont chacun écrit l'histoire dans leur langage : au masculin. « Si les mots qualifiés sont de genre différents, l'adjectif se met au masculin pluriel » (Grévisse). Les Guérillères s'écrivent comme sujet collectif à la troisième personne du féminin pluriel. Dans les lacunes des textes magistraux qu'on nous a donnés à lire jusqu'ici, les bribes d'un autre texte apparaissent, le négatif ou plutôt l'envers des premiers, dévoilant soudain une force et une violence que de longs siècles d'oppression ont rendu explosives.
Le 21 oct. 2024
1 j'aime
a recommandé le livre
, lui a attribué 8/10 et l'a ajouté à sa liste
1969 • livre de Monique Wittig
Résumé : Depuis qu'il y a des hommes et qu'ils pensent, ils ont chacun écrit l'histoire dans leur langage : au masculin. « Si les mots qualifiés sont de genre différents, l'adjectif se met au masculin pluriel » (Grévisse). Les Guérillères s'écrivent comme sujet collectif à la troisième personne du féminin pluriel. Dans les lacunes des textes magistraux qu'on nous a donnés à lire jusqu'ici, les bribes d'un autre texte apparaissent, le négatif ou plutôt l'envers des premiers, dévoilant soudain une force et une violence que de longs siècles d'oppression ont rendu explosives.