“Avant on jouait au Monopoly, aujourd'hui on joue aux jeux vidéo”
En trois heures de lecture, j'ai un peu mieux compris d'où je venais.
Pourquoi les jeux vidéo m'ont plu tout gamin.
Pourquoi j'aimais jouer avec mon père.
Pourquoi j'aimais jouer avec mon frangin.
Pourquoi j'aimais attendre sous la fenêtre de mon voisin à 8h du matin le samedi alors qu'il neige dehors, juste pour continuer nos parties de Tetris à 2 sur le banc du parc de la résidence.
Pourquoi mon cerveau turbine à 100 à l'heure dès qu'il s'agit de résoudre un problème.
Pourquoi appréhender une situation inconnue se présente comme un défi plutôt qu'un frein.
L'auteur s'efforce d'expliquer les capacités des jeux à créer des univers imaginaires, des lieux de projection, des lieux de socialisation et d'expression … et même, de transmission.
La transmission, passage raté de la génération de nos parents, rejetant plutôt qu'acceptant ce média qui va plus vite qu'eux.