Et si Aristote n'était pas né...
Deuxième tome : Les joueurs du Non-A
La quête d'identité prend un nouveau tournant.
Changement de décor, de la guerre diplomatique en quasi-huis clos dans un vaisseau. Deux voire trois narrateurs et narrations se mêlent. On croit comprendre, mais les fins sont toujours plus étonnantes qu'il n'y paraît.
Pour une fois le personnage auquel on s'attache est probablement celui qui est le plus lâche et le plus faible. Sans que cela nuise à son importance.
Tome très différents du précédent et qui, malgré tout joue à mélanger nos catégories de jugement. Qui est "je"? Un individu a t'il réellement une importance quelconque dans le déroulement des événements, même narratifs? Il plaît par son aspect guerre des consciences, des traditions, des temps et des volontés. Les tractations sont de haute volée, toujours sans y paraître.
Les jeux sont faits ! Qui gagnera la partie?
(ceci est la suite de la critique du tome 1 et est suivie de la critique du tome 3)