merveille
Magnifique histoire en deux temps d'un groupe de jeunes délinquants auquel s’agrège un enfant de la classe moyenne. Ils vont vivre des moments intenses avant de prendre chacun son chemin et de se...
Par
le 10 août 2018
Magnifique histoire en deux temps d'un groupe de jeunes délinquants auquel s’agrège un enfant de la classe moyenne. Ils vont vivre des moments intenses avant de prendre chacun son chemin et de se retrouver pour d'autres tragédies.
C'est très bien écrit, l'histoire est prenante et les personnages ne sont pas manichéens et extrêmement attachants je l'ai lu il y a longtemps mais je garde un souvenir de plaisir de lecture très fort.
Créée
le 10 août 2018
Critique lue 241 fois
D'autres avis sur Les Lois de la frontière
Magnifique histoire en deux temps d'un groupe de jeunes délinquants auquel s’agrège un enfant de la classe moyenne. Ils vont vivre des moments intenses avant de prendre chacun son chemin et de se...
Par
le 10 août 2018
u d'ailleurs, les premières années postfranquistes ont été marquées en Espagne par la libéralisation des moeurs et l'émergence de la movida. Les lois de la frontière, le livre de Javier Cercas,...
le 16 févr. 2017
Un roman étrange qui narre, par le biais de regards de personnes (surtout une) qui l'ont entouré, l'histoire d'un voyou espagnol, depuis la fin des années 70 jusqu'à aujourd'hui. Après une première...
Par
le 24 déc. 2014
Du même critique
compliqué, imbriqué, alambiqué, du grand Will Self! c'est coton de rentrer dedans et d'y comprendre quelque chose mais si on persévère on trouve une histoire très originale et assez politiquement...
Par
le 10 août 2018
Magnifique histoire en deux temps d'un groupe de jeunes délinquants auquel s’agrège un enfant de la classe moyenne. Ils vont vivre des moments intenses avant de prendre chacun son chemin et de se...
Par
le 10 août 2018
L'histoire d'un trouple constitué de divers exemplaires de la jeunesse de droite parisienne, qui n'ont pas fini leur adolescence et pour lesquels je n'ai pas ressenti d'empathie d'aucune sorte, eux...
Par
le 10 août 2018