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livre de Tom Van Eersel
Résumé : «Si tu me tires dessus, je te tire dessus», annonce le Black Panther Party à la police d'Oakland en 1966. Inscrits dans l'histoire des mouvements d'émancipation noirs américains et partie prenante des luttes de libération des peuples opprimés, les Panthères noires passent de la théorie à l'action. Ils incarnent le réveil de l'homme noir face aux violences physiques et sociales qui l'accablent depuis des siècles. Ni intégrationnistes, ni séparatistes, leur objectif est la Révolution. Ils mettent en place des actions concrètes pour combattre la pauvreté et l'aliénation des populations noires des ghettos. Face à cet appel à renverser l'ordre établi, loin du folklore dans lequel on a voulu les enfermer, le gouvernement décide d'anéantir le Black Panther Party par tous les moyens nécessaires. Cette expérience révolutionnaire, souvent mal connue, reste un modèle pour les opprimés du monde entier. Tom Van Eersel, journaliste et historien, a travaillé deux ans sur le Black Panther Party. De Paris à New York, il a rencontré d'anciens Panthères noires qui lui ont raconté leurs souvenirs et leurs engagements.Extrait du livre:Le BPP au Capitole de Sacramento (2 mai 1967). Le Black Panther Party est, dès ses premiers jours, motivé par un respect des lois en vigueur en Californie. «Huey et Bobby ne sortaient pas dans les rues pour déconner avec la police ; ils y allaient pour dire: "Non, vous n'avez pas le droit de faire ça"» Il s'agit pour eux de faire respecter les droits de la population noire. L'impact de leur apparition sur la scène d'Oakland est d'autant plus fort auprès de la police que cette dernière n'a souvent aucun moyen d'arrêter les Panthères, celles-ci sont dans la légalité. La calme expertise juridique des militants du BPP agace la police et les hommes politiques de Californie. Le sénateur Mulford propose, au début de l'ann
Le 23 mars 2021
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livre de Tom Van Eersel
Résumé : «Si tu me tires dessus, je te tire dessus», annonce le Black Panther Party à la police d'Oakland en 1966. Inscrits dans l'histoire des mouvements d'émancipation noirs américains et partie prenante des luttes de libération des peuples opprimés, les Panthères noires passent de la théorie à l'action. Ils incarnent le réveil de l'homme noir face aux violences physiques et sociales qui l'accablent depuis des siècles. Ni intégrationnistes, ni séparatistes, leur objectif est la Révolution. Ils mettent en place des actions concrètes pour combattre la pauvreté et l'aliénation des populations noires des ghettos. Face à cet appel à renverser l'ordre établi, loin du folklore dans lequel on a voulu les enfermer, le gouvernement décide d'anéantir le Black Panther Party par tous les moyens nécessaires. Cette expérience révolutionnaire, souvent mal connue, reste un modèle pour les opprimés du monde entier. Tom Van Eersel, journaliste et historien, a travaillé deux ans sur le Black Panther Party. De Paris à New York, il a rencontré d'anciens Panthères noires qui lui ont raconté leurs souvenirs et leurs engagements.Extrait du livre:Le BPP au Capitole de Sacramento (2 mai 1967). Le Black Panther Party est, dès ses premiers jours, motivé par un respect des lois en vigueur en Californie. «Huey et Bobby ne sortaient pas dans les rues pour déconner avec la police ; ils y allaient pour dire: "Non, vous n'avez pas le droit de faire ça"» Il s'agit pour eux de faire respecter les droits de la population noire. L'impact de leur apparition sur la scène d'Oakland est d'autant plus fort auprès de la police que cette dernière n'a souvent aucun moyen d'arrêter les Panthères, celles-ci sont dans la légalité. La calme expertise juridique des militants du BPP agace la police et les hommes politiques de Californie. Le sénateur Mulford propose, au début de l'ann
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Résumé : «Si tu me tires dessus, je te tire dessus», annonce le Black Panther Party à la police d'Oakland en 1966. Inscrits dans l'histoire des mouvements d'émancipation noirs américains et partie prenante des luttes de libération des peuples opprimés, les Panthères noires passent de la théorie à l'action. Ils incarnent le réveil de l'homme noir face aux violences physiques et sociales qui l'accablent depuis des siècles. Ni intégrationnistes, ni séparatistes, leur objectif est la Révolution. Ils mettent en place des actions concrètes pour combattre la pauvreté et l'aliénation des populations noires des ghettos. Face à cet appel à renverser l'ordre établi, loin du folklore dans lequel on a voulu les enfermer, le gouvernement décide d'anéantir le Black Panther Party par tous les moyens nécessaires. Cette expérience révolutionnaire, souvent mal connue, reste un modèle pour les opprimés du monde entier. Tom Van Eersel, journaliste et historien, a travaillé deux ans sur le Black Panther Party. De Paris à New York, il a rencontré d'anciens Panthères noires qui lui ont raconté leurs souvenirs et leurs engagements.Extrait du livre:Le BPP au Capitole de Sacramento (2 mai 1967). Le Black Panther Party est, dès ses premiers jours, motivé par un respect des lois en vigueur en Californie. «Huey et Bobby ne sortaient pas dans les rues pour déconner avec la police ; ils y allaient pour dire: "Non, vous n'avez pas le droit de faire ça"» Il s'agit pour eux de faire respecter les droits de la population noire. L'impact de leur apparition sur la scène d'Oakland est d'autant plus fort auprès de la police que cette dernière n'a souvent aucun moyen d'arrêter les Panthères, celles-ci sont dans la légalité. La calme expertise juridique des militants du BPP agace la police et les hommes politiques de Californie. Le sénateur Mulford propose, au début de l'ann
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Résumé : «Si tu me tires dessus, je te tire dessus», annonce le Black Panther Party à la police d'Oakland en 1966. Inscrits dans l'histoire des mouvements d'émancipation noirs américains et partie prenante des luttes de libération des peuples opprimés, les Panthères noires passent de la théorie à l'action. Ils incarnent le réveil de l'homme noir face aux violences physiques et sociales qui l'accablent depuis des siècles. Ni intégrationnistes, ni séparatistes, leur objectif est la Révolution. Ils mettent en place des actions concrètes pour combattre la pauvreté et l'aliénation des populations noires des ghettos. Face à cet appel à renverser l'ordre établi, loin du folklore dans lequel on a voulu les enfermer, le gouvernement décide d'anéantir le Black Panther Party par tous les moyens nécessaires. Cette expérience révolutionnaire, souvent mal connue, reste un modèle pour les opprimés du monde entier. Tom Van Eersel, journaliste et historien, a travaillé deux ans sur le Black Panther Party. De Paris à New York, il a rencontré d'anciens Panthères noires qui lui ont raconté leurs souvenirs et leurs engagements.Extrait du livre:Le BPP au Capitole de Sacramento (2 mai 1967). Le Black Panther Party est, dès ses premiers jours, motivé par un respect des lois en vigueur en Californie. «Huey et Bobby ne sortaient pas dans les rues pour déconner avec la police ; ils y allaient pour dire: "Non, vous n'avez pas le droit de faire ça"» Il s'agit pour eux de faire respecter les droits de la population noire. L'impact de leur apparition sur la scène d'Oakland est d'autant plus fort auprès de la police que cette dernière n'a souvent aucun moyen d'arrêter les Panthères, celles-ci sont dans la légalité. La calme expertise juridique des militants du BPP agace la police et les hommes politiques de Californie. Le sénateur Mulford propose, au début de l'ann
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Résumé : «Si tu me tires dessus, je te tire dessus», annonce le Black Panther Party à la police d'Oakland en 1966. Inscrits dans l'histoire des mouvements d'émancipation noirs américains et partie prenante des luttes de libération des peuples opprimés, les Panthères noires passent de la théorie à l'action. Ils incarnent le réveil de l'homme noir face aux violences physiques et sociales qui l'accablent depuis des siècles. Ni intégrationnistes, ni séparatistes, leur objectif est la Révolution. Ils mettent en place des actions concrètes pour combattre la pauvreté et l'aliénation des populations noires des ghettos. Face à cet appel à renverser l'ordre établi, loin du folklore dans lequel on a voulu les enfermer, le gouvernement décide d'anéantir le Black Panther Party par tous les moyens nécessaires. Cette expérience révolutionnaire, souvent mal connue, reste un modèle pour les opprimés du monde entier. Tom Van Eersel, journaliste et historien, a travaillé deux ans sur le Black Panther Party. De Paris à New York, il a rencontré d'anciens Panthères noires qui lui ont raconté leurs souvenirs et leurs engagements.Extrait du livre:Le BPP au Capitole de Sacramento (2 mai 1967). Le Black Panther Party est, dès ses premiers jours, motivé par un respect des lois en vigueur en Californie. «Huey et Bobby ne sortaient pas dans les rues pour déconner avec la police ; ils y allaient pour dire: "Non, vous n'avez pas le droit de faire ça"» Il s'agit pour eux de faire respecter les droits de la population noire. L'impact de leur apparition sur la scène d'Oakland est d'autant plus fort auprès de la police que cette dernière n'a souvent aucun moyen d'arrêter les Panthères, celles-ci sont dans la légalité. La calme expertise juridique des militants du BPP agace la police et les hommes politiques de Californie. Le sénateur Mulford propose, au début de l'ann
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Résumé : «Si tu me tires dessus, je te tire dessus», annonce le Black Panther Party à la police d'Oakland en 1966. Inscrits dans l'histoire des mouvements d'émancipation noirs américains et partie prenante des luttes de libération des peuples opprimés, les Panthères noires passent de la théorie à l'action. Ils incarnent le réveil de l'homme noir face aux violences physiques et sociales qui l'accablent depuis des siècles. Ni intégrationnistes, ni séparatistes, leur objectif est la Révolution. Ils mettent en place des actions concrètes pour combattre la pauvreté et l'aliénation des populations noires des ghettos. Face à cet appel à renverser l'ordre établi, loin du folklore dans lequel on a voulu les enfermer, le gouvernement décide d'anéantir le Black Panther Party par tous les moyens nécessaires. Cette expérience révolutionnaire, souvent mal connue, reste un modèle pour les opprimés du monde entier. Tom Van Eersel, journaliste et historien, a travaillé deux ans sur le Black Panther Party. De Paris à New York, il a rencontré d'anciens Panthères noires qui lui ont raconté leurs souvenirs et leurs engagements.Extrait du livre:Le BPP au Capitole de Sacramento (2 mai 1967). Le Black Panther Party est, dès ses premiers jours, motivé par un respect des lois en vigueur en Californie. «Huey et Bobby ne sortaient pas dans les rues pour déconner avec la police ; ils y allaient pour dire: "Non, vous n'avez pas le droit de faire ça"» Il s'agit pour eux de faire respecter les droits de la population noire. L'impact de leur apparition sur la scène d'Oakland est d'autant plus fort auprès de la police que cette dernière n'a souvent aucun moyen d'arrêter les Panthères, celles-ci sont dans la légalité. La calme expertise juridique des militants du BPP agace la police et les hommes politiques de Californie. Le sénateur Mulford propose, au début de l'ann
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Résumé : «Si tu me tires dessus, je te tire dessus», annonce le Black Panther Party à la police d'Oakland en 1966. Inscrits dans l'histoire des mouvements d'émancipation noirs américains et partie prenante des luttes de libération des peuples opprimés, les Panthères noires passent de la théorie à l'action. Ils incarnent le réveil de l'homme noir face aux violences physiques et sociales qui l'accablent depuis des siècles. Ni intégrationnistes, ni séparatistes, leur objectif est la Révolution. Ils mettent en place des actions concrètes pour combattre la pauvreté et l'aliénation des populations noires des ghettos. Face à cet appel à renverser l'ordre établi, loin du folklore dans lequel on a voulu les enfermer, le gouvernement décide d'anéantir le Black Panther Party par tous les moyens nécessaires. Cette expérience révolutionnaire, souvent mal connue, reste un modèle pour les opprimés du monde entier. Tom Van Eersel, journaliste et historien, a travaillé deux ans sur le Black Panther Party. De Paris à New York, il a rencontré d'anciens Panthères noires qui lui ont raconté leurs souvenirs et leurs engagements.Extrait du livre:Le BPP au Capitole de Sacramento (2 mai 1967). Le Black Panther Party est, dès ses premiers jours, motivé par un respect des lois en vigueur en Californie. «Huey et Bobby ne sortaient pas dans les rues pour déconner avec la police ; ils y allaient pour dire: "Non, vous n'avez pas le droit de faire ça"» Il s'agit pour eux de faire respecter les droits de la population noire. L'impact de leur apparition sur la scène d'Oakland est d'autant plus fort auprès de la police que cette dernière n'a souvent aucun moyen d'arrêter les Panthères, celles-ci sont dans la légalité. La calme expertise juridique des militants du BPP agace la police et les hommes politiques de Californie. Le sénateur Mulford propose, au début de l'ann