L'actualité sur Les Passions de l'âme

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gehskdud

a attribué 8/10 au livre

Les Passions de l'âme

1649 • livre de René Descartes

Résumé : Les élans passionnels nous emportent sans nous dire où ni jusqu'où. Comment expliquer ces mouvements "en nous" qui ne sont pas "de nous" ? Proviennent-ils de l'âme ? Sont-ils l'expression psychique d'un mouvement particulier de notre cerveau ? Les passions sont pour Descartes l'impact dans l'âme d'un cours particulier du flux sanguin entre le coeur et une certaine glande cérébrale. La prégnance de la pensée passionnelle qui accapare l'attention et obnubile l'esprit ne s'explique donc pas pour lui "psychiquement" mais en tant qu'effet du corps, effet "neurophysiologique", dirions-nous aujourd'hui.

Koroviev

a attribué 10/10 au livre

Les Passions de l'âme

1649 • livre de René Descartes

Résumé : Les élans passionnels nous emportent sans nous dire où ni jusqu'où. Comment expliquer ces mouvements "en nous" qui ne sont pas "de nous" ? Proviennent-ils de l'âme ? Sont-ils l'expression psychique d'un mouvement particulier de notre cerveau ? Les passions sont pour Descartes l'impact dans l'âme d'un cours particulier du flux sanguin entre le coeur et une certaine glande cérébrale. La prégnance de la pensée passionnelle qui accapare l'attention et obnubile l'esprit ne s'explique donc pas pour lui "psychiquement" mais en tant qu'effet du corps, effet "neurophysiologique", dirions-nous aujourd'hui.

Essence-Fondamentale
Les Passions de l'âme

1649 • livre de René Descartes

Résumé : Les élans passionnels nous emportent sans nous dire où ni jusqu'où. Comment expliquer ces mouvements "en nous" qui ne sont pas "de nous" ? Proviennent-ils de l'âme ? Sont-ils l'expression psychique d'un mouvement particulier de notre cerveau ? Les passions sont pour Descartes l'impact dans l'âme d'un cours particulier du flux sanguin entre le coeur et une certaine glande cérébrale. La prégnance de la pensée passionnelle qui accapare l'attention et obnubile l'esprit ne s'explique donc pas pour lui "psychiquement" mais en tant qu'effet du corps, effet "neurophysiologique", dirions-nous aujourd'hui.

rorosabo

a attribué 7/10 au livre

Les Passions de l'âme

1649 • livre de René Descartes

Résumé : Les élans passionnels nous emportent sans nous dire où ni jusqu'où. Comment expliquer ces mouvements "en nous" qui ne sont pas "de nous" ? Proviennent-ils de l'âme ? Sont-ils l'expression psychique d'un mouvement particulier de notre cerveau ? Les passions sont pour Descartes l'impact dans l'âme d'un cours particulier du flux sanguin entre le coeur et une certaine glande cérébrale. La prégnance de la pensée passionnelle qui accapare l'attention et obnubile l'esprit ne s'explique donc pas pour lui "psychiquement" mais en tant qu'effet du corps, effet "neurophysiologique", dirions-nous aujourd'hui.

Coal

a attribué 7/10 au livre

Les Passions de l'âme

1649 • livre de René Descartes

Résumé : Les élans passionnels nous emportent sans nous dire où ni jusqu'où. Comment expliquer ces mouvements "en nous" qui ne sont pas "de nous" ? Proviennent-ils de l'âme ? Sont-ils l'expression psychique d'un mouvement particulier de notre cerveau ? Les passions sont pour Descartes l'impact dans l'âme d'un cours particulier du flux sanguin entre le coeur et une certaine glande cérébrale. La prégnance de la pensée passionnelle qui accapare l'attention et obnubile l'esprit ne s'explique donc pas pour lui "psychiquement" mais en tant qu'effet du corps, effet "neurophysiologique", dirions-nous aujourd'hui.

rorolili

a attribué 7/10 au livre

Les Passions de l'âme

1649 • livre de René Descartes

Résumé : Les élans passionnels nous emportent sans nous dire où ni jusqu'où. Comment expliquer ces mouvements "en nous" qui ne sont pas "de nous" ? Proviennent-ils de l'âme ? Sont-ils l'expression psychique d'un mouvement particulier de notre cerveau ? Les passions sont pour Descartes l'impact dans l'âme d'un cours particulier du flux sanguin entre le coeur et une certaine glande cérébrale. La prégnance de la pensée passionnelle qui accapare l'attention et obnubile l'esprit ne s'explique donc pas pour lui "psychiquement" mais en tant qu'effet du corps, effet "neurophysiologique", dirions-nous aujourd'hui.