Ce recueil de nouvelles sorti en septembre 1916, est le dernier ouvrage publié par Jack London de son vivant (2 mois avant sa mort). La traduction française utilisée pour cette édition date de 1932. Le recueil comporte 8 histoires dans autant de genres différents ; censées rendre hommage à des écrivains du monde entier
La première intitulée " Par les Tortues de Tasmanie " reprend des éléments présents dans un roman de l'écrivain américain Washington Irving. Notamment un des personnages secondaires de cette nouvellle
La seconde s'inspire fortement des récits fantastiques du XIXème siècle ; comme Le Horla de Maupassant, ou les contes de Edgar Allan Poe. Jack London a écrit une nouvelle sur des thèmes qu'il n'apprécie pas du tout. Ça montre la marque d'un grand écrivain
La quatrième (je crois) ; intitulée " Le Génie et la Fée ", s'inspire en partie des Misérables de Victor Hugo puisqu'un ancien bagnard à la rue, se lie d'amitié avec une petite fille l'espace de quelques minutes, puis s'en va
Mais s'il y a une chose à retenir sur ce recueil, c'est que tout le monde dit :
" Jack London ? Ouais l'écrivain des grands espaces sauvages "
La vérité est plutôt du style : " Au delà de décrire des paysages comme J.O Curwood ou Rick Bass, Jack London s'attache simplement à décrire des caractères humains et leurs réactions face à des choses imprévues ou qu'ils ne savent pas gérer. Ex : Les deux dernières nouvelles du recueil... "
(conclusion tirée de la post - face du bouquin)