Les vaisseaux de l'ouest - Les Monarchies Divines, tome 5
Fiche technique
Auteur :
Paul KearneyGenre : RomanDate de publication (pays d'origine) : Parution France : avril 2007Éditeur :
Éditions du RocherISBN : 9782268061191, 9782268061191Groupe :
Les Monarchies divinesRésumé : «Une nouvelle voix forte et audacieuse dans le monde de la fantasy.» (Robert Silverberg) La confrontation finale est sur le point de débuter : des confins de la terre ont surgi les monstrueux envahisseurs dweomers, à la suite de leur mage suprême et lycanthrope Aruan, devenu chef du triumvirat gouvernant le Second Empire.Des deux côtés montent les bruits de bottes et s'accélèrent les préparatifs. En Normannie, Richard Hawkwood, le marin revenu quinze ans plus tôt de l'expédition désastreuse à l'ouest, se voit confier le commandement de la plus puissante armada jamais organisée pour résister à cette invasion.Pour sa part, Corfe de Torunnie acceptera-t-il d'épouser la jeune Aria, fruit de l'union de son ex-épouse Heria et du sultan d'Aurungabar, et qui pourrait être sa fille ? Odelia l'en presse sur son lit de mort, pour que soit consolidée l'alliance entre les Medruks et les Torunniens.Corfe se prépare à livrer sa dernière bataille contre un ennemi qui, outre sa puissance militaire, fait appel à des créatures abominables et à des maléfices créés de toutes pièces par les Dweomers. Ces derniers vont-ils réussir à reconquérir le continent qui les vit apparaître, plus de cinq siècles auparavant, et à établir un nouvel ordre mondial ?Fresque épique en cinq volumes, écrite d'une plume particulièrement raffinée, Les Monarchies divines raviront tous les amateurs d'une fantasy sombre et ténébreuse.Extrait du livre :14 Forialon, année du Saint 567La nuée de cavaliers martelait le bord de la falaise dans un tourbillon de poussière fauve. Ces jeunes gens chevauchant d'imposantes montures s'arrêtèrent abruptement à quelques centimètres de l'abîme dans un fracas tonitruant. Pendant que leurs chevaux s'ébrouaient, ils laissèrent fuser leurs rires et se débarrassèrent à grandes claques de la saleté qui macula