Le combat, perdu d'avance, d'ouvriers ces "vivants" qui, instinctivement se battent contre une multinationale, ces "morts", des patrons sans état d’âme, qui ferment leur usine implantée dans une petite ville qui vit grâce à elle.
On peut voir la métaphore dans l'autre sens, ces ouvriers, les "morts" programmés suite à la fermeture de leur usine par des patrons bien "vivants" qui ne semble pas touchés par le décès annoncé de tout ces pauvres gens à la rue du jour au lendemain.
Un drame qui ne laisse pas indifférent.Quand on voit que des familles entières sont touchées comme Rudi et Dallas, en couple, jeunes parents, travaillant tout deux à la "Kos".
Un ouvrage que je recommande chaleureusement, j'en ai été très touchée.