L'actualité sur Les Yeux de la momie

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Boogie-Woogie-Lagoon

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Les Yeux de la momie

2020 • livre de Jean-Patrick Manchette

Résumé : « Tous les journalistes sont des menteurs et des putes », rappelle Manchette en conclusion des chroniques de cinéma hebdomadaires qu’il publia dans Charlie hebdo de 1979 à 1982. Rien d’étonnant donc à ce que ses textes – virulents, érudits, ludiques et caustiques – ne ressemblent en rien à des critiques culturelles à visée promotionnelle. Partant de la devise situationniste que « l’Art est mort » et que le chant du cygne du cinéma fut déjà atteint avec "Citizen Kane", Manchette ne dénigre pas pour autant de nouveaux réalisateurs prometteurs (Spielberg, Fassbinder, Carpenter…), voire de gouleyantes séries B. C’est néanmoins à travers ses analyses passionnées de classiques (Lang, Hitchcock, Cassavetes…) qu’il délivre toute la lucidité érudite de son regard sur l’objet cinématographique, vu comme « reflet de notre temps ». Quant à ses détestations, elles donnent lieu à de jubilatoires massacres en règle où l’humour féroce de l’auteur se laisse libre cours (au point de réintituler un temps sa chronique « L’aveugle au pistolet »).

Christophe Altero

a attribué 7/10 au livre

Les Yeux de la momie

2020 • livre de Jean-Patrick Manchette

Résumé : « Tous les journalistes sont des menteurs et des putes », rappelle Manchette en conclusion des chroniques de cinéma hebdomadaires qu’il publia dans Charlie hebdo de 1979 à 1982. Rien d’étonnant donc à ce que ses textes – virulents, érudits, ludiques et caustiques – ne ressemblent en rien à des critiques culturelles à visée promotionnelle. Partant de la devise situationniste que « l’Art est mort » et que le chant du cygne du cinéma fut déjà atteint avec "Citizen Kane", Manchette ne dénigre pas pour autant de nouveaux réalisateurs prometteurs (Spielberg, Fassbinder, Carpenter…), voire de gouleyantes séries B. C’est néanmoins à travers ses analyses passionnées de classiques (Lang, Hitchcock, Cassavetes…) qu’il délivre toute la lucidité érudite de son regard sur l’objet cinématographique, vu comme « reflet de notre temps ». Quant à ses détestations, elles donnent lieu à de jubilatoires massacres en règle où l’humour féroce de l’auteur se laisse libre cours (au point de réintituler un temps sa chronique « L’aveugle au pistolet »).

Miquel

a attribué 5/10 au livre

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Essence-Fondamentale

a attribué 8/10 au livre

Les Yeux de la momie

2020 • livre de Jean-Patrick Manchette

Résumé : « Tous les journalistes sont des menteurs et des putes », rappelle Manchette en conclusion des chroniques de cinéma hebdomadaires qu’il publia dans Charlie hebdo de 1979 à 1982. Rien d’étonnant donc à ce que ses textes – virulents, érudits, ludiques et caustiques – ne ressemblent en rien à des critiques culturelles à visée promotionnelle. Partant de la devise situationniste que « l’Art est mort » et que le chant du cygne du cinéma fut déjà atteint avec "Citizen Kane", Manchette ne dénigre pas pour autant de nouveaux réalisateurs prometteurs (Spielberg, Fassbinder, Carpenter…), voire de gouleyantes séries B. C’est néanmoins à travers ses analyses passionnées de classiques (Lang, Hitchcock, Cassavetes…) qu’il délivre toute la lucidité érudite de son regard sur l’objet cinématographique, vu comme « reflet de notre temps ». Quant à ses détestations, elles donnent lieu à de jubilatoires massacres en règle où l’humour féroce de l’auteur se laisse libre cours (au point de réintituler un temps sa chronique « L’aveugle au pistolet »).

raoulle

a attribué 8/10 au livre

Les Yeux de la momie

2020 • livre de Jean-Patrick Manchette

Résumé : « Tous les journalistes sont des menteurs et des putes », rappelle Manchette en conclusion des chroniques de cinéma hebdomadaires qu’il publia dans Charlie hebdo de 1979 à 1982. Rien d’étonnant donc à ce que ses textes – virulents, érudits, ludiques et caustiques – ne ressemblent en rien à des critiques culturelles à visée promotionnelle. Partant de la devise situationniste que « l’Art est mort » et que le chant du cygne du cinéma fut déjà atteint avec "Citizen Kane", Manchette ne dénigre pas pour autant de nouveaux réalisateurs prometteurs (Spielberg, Fassbinder, Carpenter…), voire de gouleyantes séries B. C’est néanmoins à travers ses analyses passionnées de classiques (Lang, Hitchcock, Cassavetes…) qu’il délivre toute la lucidité érudite de son regard sur l’objet cinématographique, vu comme « reflet de notre temps ». Quant à ses détestations, elles donnent lieu à de jubilatoires massacres en règle où l’humour féroce de l’auteur se laisse libre cours (au point de réintituler un temps sa chronique « L’aveugle au pistolet »).

Hervé D'Incognito

a recommandé le livre

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Les Yeux de la momie

2020 • livre de Jean-Patrick Manchette

Résumé : « Tous les journalistes sont des menteurs et des putes », rappelle Manchette en conclusion des chroniques de cinéma hebdomadaires qu’il publia dans Charlie hebdo de 1979 à 1982. Rien d’étonnant donc à ce que ses textes – virulents, érudits, ludiques et caustiques – ne ressemblent en rien à des critiques culturelles à visée promotionnelle. Partant de la devise situationniste que « l’Art est mort » et que le chant du cygne du cinéma fut déjà atteint avec "Citizen Kane", Manchette ne dénigre pas pour autant de nouveaux réalisateurs prometteurs (Spielberg, Fassbinder, Carpenter…), voire de gouleyantes séries B. C’est néanmoins à travers ses analyses passionnées de classiques (Lang, Hitchcock, Cassavetes…) qu’il délivre toute la lucidité érudite de son regard sur l’objet cinématographique, vu comme « reflet de notre temps ». Quant à ses détestations, elles donnent lieu à de jubilatoires massacres en règle où l’humour féroce de l’auteur se laisse libre cours (au point de réintituler un temps sa chronique « L’aveugle au pistolet »).

Mat21

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Les Yeux de la momie

2020 • livre de Jean-Patrick Manchette

Résumé : « Tous les journalistes sont des menteurs et des putes », rappelle Manchette en conclusion des chroniques de cinéma hebdomadaires qu’il publia dans Charlie hebdo de 1979 à 1982. Rien d’étonnant donc à ce que ses textes – virulents, érudits, ludiques et caustiques – ne ressemblent en rien à des critiques culturelles à visée promotionnelle. Partant de la devise situationniste que « l’Art est mort » et que le chant du cygne du cinéma fut déjà atteint avec "Citizen Kane", Manchette ne dénigre pas pour autant de nouveaux réalisateurs prometteurs (Spielberg, Fassbinder, Carpenter…), voire de gouleyantes séries B. C’est néanmoins à travers ses analyses passionnées de classiques (Lang, Hitchcock, Cassavetes…) qu’il délivre toute la lucidité érudite de son regard sur l’objet cinématographique, vu comme « reflet de notre temps ». Quant à ses détestations, elles donnent lieu à de jubilatoires massacres en règle où l’humour féroce de l’auteur se laisse libre cours (au point de réintituler un temps sa chronique « L’aveugle au pistolet »).

jfburp

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Les Yeux de la momie

2020 • livre de Jean-Patrick Manchette

Résumé : « Tous les journalistes sont des menteurs et des putes », rappelle Manchette en conclusion des chroniques de cinéma hebdomadaires qu’il publia dans Charlie hebdo de 1979 à 1982. Rien d’étonnant donc à ce que ses textes – virulents, érudits, ludiques et caustiques – ne ressemblent en rien à des critiques culturelles à visée promotionnelle. Partant de la devise situationniste que « l’Art est mort » et que le chant du cygne du cinéma fut déjà atteint avec "Citizen Kane", Manchette ne dénigre pas pour autant de nouveaux réalisateurs prometteurs (Spielberg, Fassbinder, Carpenter…), voire de gouleyantes séries B. C’est néanmoins à travers ses analyses passionnées de classiques (Lang, Hitchcock, Cassavetes…) qu’il délivre toute la lucidité érudite de son regard sur l’objet cinématographique, vu comme « reflet de notre temps ». Quant à ses détestations, elles donnent lieu à de jubilatoires massacres en règle où l’humour féroce de l’auteur se laisse libre cours (au point de réintituler un temps sa chronique « L’aveugle au pistolet »).

mfl

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Les Yeux de la momie

2020 • livre de Jean-Patrick Manchette

Résumé : « Tous les journalistes sont des menteurs et des putes », rappelle Manchette en conclusion des chroniques de cinéma hebdomadaires qu’il publia dans Charlie hebdo de 1979 à 1982. Rien d’étonnant donc à ce que ses textes – virulents, érudits, ludiques et caustiques – ne ressemblent en rien à des critiques culturelles à visée promotionnelle. Partant de la devise situationniste que « l’Art est mort » et que le chant du cygne du cinéma fut déjà atteint avec "Citizen Kane", Manchette ne dénigre pas pour autant de nouveaux réalisateurs prometteurs (Spielberg, Fassbinder, Carpenter…), voire de gouleyantes séries B. C’est néanmoins à travers ses analyses passionnées de classiques (Lang, Hitchcock, Cassavetes…) qu’il délivre toute la lucidité érudite de son regard sur l’objet cinématographique, vu comme « reflet de notre temps ». Quant à ses détestations, elles donnent lieu à de jubilatoires massacres en règle où l’humour féroce de l’auteur se laisse libre cours (au point de réintituler un temps sa chronique « L’aveugle au pistolet »).

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Léo Corroyer

a attribué 8/10 au livre

Les Yeux de la momie

2020 • livre de Jean-Patrick Manchette

Résumé : « Tous les journalistes sont des menteurs et des putes », rappelle Manchette en conclusion des chroniques de cinéma hebdomadaires qu’il publia dans Charlie hebdo de 1979 à 1982. Rien d’étonnant donc à ce que ses textes – virulents, érudits, ludiques et caustiques – ne ressemblent en rien à des critiques culturelles à visée promotionnelle. Partant de la devise situationniste que « l’Art est mort » et que le chant du cygne du cinéma fut déjà atteint avec "Citizen Kane", Manchette ne dénigre pas pour autant de nouveaux réalisateurs prometteurs (Spielberg, Fassbinder, Carpenter…), voire de gouleyantes séries B. C’est néanmoins à travers ses analyses passionnées de classiques (Lang, Hitchcock, Cassavetes…) qu’il délivre toute la lucidité érudite de son regard sur l’objet cinématographique, vu comme « reflet de notre temps ». Quant à ses détestations, elles donnent lieu à de jubilatoires massacres en règle où l’humour féroce de l’auteur se laisse libre cours (au point de réintituler un temps sa chronique « L’aveugle au pistolet »).