Franche rigolade !
Je crois bien que c'est un des Pratchett qui m'a fait le plus rire jusqu'ici ! (Une fois de plus chapeau bas au traducteur, M. Couton !) Je me suis régalé à lire les aventures de Victor, Ginger,...
le 29 nov. 2018
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Bien que n'ayant pas lu la totalité des volumes précédents (j'ai lu "Au Guet" jusqu'à la moitié environ et je ne l'ai pas retrouvé, ni lui, ni "Eric" à la bibliothèque...) j'arrive néanmoins à déterminer que ce volume des annales du disque monde forme une sorte de nouveau tournant dans la saga.
En même temps arrivé au dixième volume, le père Pratchett à dû comprendre qu'il venait de former un monde entier et qu'il aurait du mal à renouveler la formule en ne faisant jamais évoluer son mode à proprement parler. Et c'est donc avec l'apparition du cinéma dans le Disque Monde qu'il décide de faire un livre.
Si j'ai été un poil déçu que l'exécution de l'histoire pourrait aller plus loin dans le côté loufoque de faire du "cinéma d'héroïque fantasy" (ici, on a juste des lutins, des trolls et des nains. Même les magiciens sont exclus...) l'histoire est bien raconté. Alors certes, on ne sort pas du canevas du "héros qui est le seul gars ayant la tête sur les épaules dans un monde qui part dans tous les sens" et de la "catastrophe magique qui arrive et qui est désamorcée sans dégât avant la fin avec des choses chthuluhesque qui tentent de ressortir" mais la formule de ramener des choses modernes dans un monde médieval-fantastique va être plutôt intéressante (même si je sens le "reset bouton" s'appuyer à chaque fin de volume.) Encore une fois, il y a chez Pratchett l'envie d'inverser les rôles ce qui est souvent drôle...
Le lire permet d'introduire ou de planter le caractère de pas mal de personnages haut en couleurs : entre Planteur JMTG qui devient durant le livre une caricature du gros producteur de film, Détritus qui acquiert de la personnalité, Gaspode le chien parlant (accompagné d'une parodie conne de Lassie...) l'université des mages qui a enfin un chef à sa tête qui n'est pas incompétent (et qui est une parodie de Radagast le brun... enfin, tel qu'on le voyait à l'époque...)
Et puis c'est bourré à craquer de références sur le début du cinéma hollywoodien et ça reste quand même très très cool.
Créée
le 30 mars 2016
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