La langue est travaillée à l’extrême , le sujet semble parfaitement maîtrisé dans les moindres détails, le choix narratif des changements de scènes continuels contribue à montrer l’abime entre l’aristocratie hors sol et les réalités du pays en 1830. L’entrée de Thiers en politique très intéressante.
L’auteur est un historien doublé d’un grand écrivain à la langue puissamment évocatrice.
Mais mon intérêt n’allait pas jusqu’au détails des parures, des meubles, des étoffes, … que l’auteur se plaît à mêler à son récit. Ce qui a rendu la lecture de ce roman difficile pour moi. C’est la raison de la note qui n’est pas excellente. Quelqu’un de plus curieux que moi à ce sujet pourrait même juger qu’il s’agit là d’une autre qualité du livre que je n’ai pas su appréciée.