L'actualité sur Lettres choisies de la famille Brontë

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Lettres choisies de la famille Brontë

livre de Collectif

Résumé : Si les œuvres des sœurs Brontë sont connues de tous, il n'en va pas de même pour leur correspondance, a fortiori en France où elle n'avait pas encore été traduite. Le présent recueil réunit plus de trois cents lettres de cette famille hors norme. Celles de Charlotte à son amie Ellen Nussey ou à ses éditeurs londoniens, tantôt véhémentes, tantôt mélancoliques, sont d'une humilité extrême. Durant sa courte existence, Charlotte s'éloigne rarement de la cure de Haworth où elle veille tour à tour son frère et ses sœurs dans leurs derniers instants. De ces deuils, la jeune femme, qui ne place jamais l'art au-dessus de la vie, laisse des témoignages d'une grande pudeur. S'ajoutent à cet autoportrait non prémédité les lettres de son frère Branwell, où transparaît la déchéance d'un esprit prometteur ; celles d'Emily, plus rares et d'une austérité caractéristique ; celles d'Anne, en forme de professions de foi ; et, enfin, celles de leur père, qui révèlent une tendresse et un humour inattendus, bien loin des traits sévères sous lesquels il est souvent dépeint.

tontongateau
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Résumé : Si les œuvres des sœurs Brontë sont connues de tous, il n'en va pas de même pour leur correspondance, a fortiori en France où elle n'avait pas encore été traduite. Le présent recueil réunit plus de trois cents lettres de cette famille hors norme. Celles de Charlotte à son amie Ellen Nussey ou à ses éditeurs londoniens, tantôt véhémentes, tantôt mélancoliques, sont d'une humilité extrême. Durant sa courte existence, Charlotte s'éloigne rarement de la cure de Haworth où elle veille tour à tour son frère et ses sœurs dans leurs derniers instants. De ces deuils, la jeune femme, qui ne place jamais l'art au-dessus de la vie, laisse des témoignages d'une grande pudeur. S'ajoutent à cet autoportrait non prémédité les lettres de son frère Branwell, où transparaît la déchéance d'un esprit prometteur ; celles d'Emily, plus rares et d'une austérité caractéristique ; celles d'Anne, en forme de professions de foi ; et, enfin, celles de leur père, qui révèlent une tendresse et un humour inattendus, bien loin des traits sévères sous lesquels il est souvent dépeint.

Sasha44
Lettres choisies de la famille Brontë

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Résumé : Si les œuvres des sœurs Brontë sont connues de tous, il n'en va pas de même pour leur correspondance, a fortiori en France où elle n'avait pas encore été traduite. Le présent recueil réunit plus de trois cents lettres de cette famille hors norme. Celles de Charlotte à son amie Ellen Nussey ou à ses éditeurs londoniens, tantôt véhémentes, tantôt mélancoliques, sont d'une humilité extrême. Durant sa courte existence, Charlotte s'éloigne rarement de la cure de Haworth où elle veille tour à tour son frère et ses sœurs dans leurs derniers instants. De ces deuils, la jeune femme, qui ne place jamais l'art au-dessus de la vie, laisse des témoignages d'une grande pudeur. S'ajoutent à cet autoportrait non prémédité les lettres de son frère Branwell, où transparaît la déchéance d'un esprit prometteur ; celles d'Emily, plus rares et d'une austérité caractéristique ; celles d'Anne, en forme de professions de foi ; et, enfin, celles de leur père, qui révèlent une tendresse et un humour inattendus, bien loin des traits sévères sous lesquels il est souvent dépeint.

AudreyMario
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Résumé : Si les œuvres des sœurs Brontë sont connues de tous, il n'en va pas de même pour leur correspondance, a fortiori en France où elle n'avait pas encore été traduite. Le présent recueil réunit plus de trois cents lettres de cette famille hors norme. Celles de Charlotte à son amie Ellen Nussey ou à ses éditeurs londoniens, tantôt véhémentes, tantôt mélancoliques, sont d'une humilité extrême. Durant sa courte existence, Charlotte s'éloigne rarement de la cure de Haworth où elle veille tour à tour son frère et ses sœurs dans leurs derniers instants. De ces deuils, la jeune femme, qui ne place jamais l'art au-dessus de la vie, laisse des témoignages d'une grande pudeur. S'ajoutent à cet autoportrait non prémédité les lettres de son frère Branwell, où transparaît la déchéance d'un esprit prometteur ; celles d'Emily, plus rares et d'une austérité caractéristique ; celles d'Anne, en forme de professions de foi ; et, enfin, celles de leur père, qui révèlent une tendresse et un humour inattendus, bien loin des traits sévères sous lesquels il est souvent dépeint.

Lili76
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Résumé : Si les œuvres des sœurs Brontë sont connues de tous, il n'en va pas de même pour leur correspondance, a fortiori en France où elle n'avait pas encore été traduite. Le présent recueil réunit plus de trois cents lettres de cette famille hors norme. Celles de Charlotte à son amie Ellen Nussey ou à ses éditeurs londoniens, tantôt véhémentes, tantôt mélancoliques, sont d'une humilité extrême. Durant sa courte existence, Charlotte s'éloigne rarement de la cure de Haworth où elle veille tour à tour son frère et ses sœurs dans leurs derniers instants. De ces deuils, la jeune femme, qui ne place jamais l'art au-dessus de la vie, laisse des témoignages d'une grande pudeur. S'ajoutent à cet autoportrait non prémédité les lettres de son frère Branwell, où transparaît la déchéance d'un esprit prometteur ; celles d'Emily, plus rares et d'une austérité caractéristique ; celles d'Anne, en forme de professions de foi ; et, enfin, celles de leur père, qui révèlent une tendresse et un humour inattendus, bien loin des traits sévères sous lesquels il est souvent dépeint.

elabrot
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Résumé : Si les œuvres des sœurs Brontë sont connues de tous, il n'en va pas de même pour leur correspondance, a fortiori en France où elle n'avait pas encore été traduite. Le présent recueil réunit plus de trois cents lettres de cette famille hors norme. Celles de Charlotte à son amie Ellen Nussey ou à ses éditeurs londoniens, tantôt véhémentes, tantôt mélancoliques, sont d'une humilité extrême. Durant sa courte existence, Charlotte s'éloigne rarement de la cure de Haworth où elle veille tour à tour son frère et ses sœurs dans leurs derniers instants. De ces deuils, la jeune femme, qui ne place jamais l'art au-dessus de la vie, laisse des témoignages d'une grande pudeur. S'ajoutent à cet autoportrait non prémédité les lettres de son frère Branwell, où transparaît la déchéance d'un esprit prometteur ; celles d'Emily, plus rares et d'une austérité caractéristique ; celles d'Anne, en forme de professions de foi ; et, enfin, celles de leur père, qui révèlent une tendresse et un humour inattendus, bien loin des traits sévères sous lesquels il est souvent dépeint.