L'immeuble des femmes qu'il faut apparemment faire revenir à la raison

Un point pour Jean-Pierre le chat. La quatrième de couverture annonce "un roman vif et tendre [qui] oscille entre humour et gravité [...]. De mon côté, j'y ai vu des tentatives humoristiques plan-plan et des personnages trop peu fouillés. J'y ai vu des descriptions décousues et des dialogues au cours desquels les personnages ne semblent pas capables d'articuler plus de 10 mots à la suite. Enfin, j'ai interrompu la lecture lorsque j'ai compris que, dans cet "immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes", l'homme est omniprésent. C'est là que le malaise commence : chacune de ces femmes ne semble pas heureuse du choix qu'elle a fait, et la narration nous guiderait presque dans le sauvetage de ces âmes damnées, pour voir leurs blessures d'amour pansées et leurs coeurs réchauffés. C'est bien connu, une femme ne peut être heureuse sans un homme à ses côtés (cf. cette citation emblématique : "Une vie sans hommes, c'est une vie sans sel, sans sucre, sans piment, sans miel.") Eurk.


Note : Au-delà de la p.75, j'ai opté pour la technique du saut de page. Progressivement, j'ai sauté un peu plus de pages. Le ton reste malheureusement le même, et la fin est telle que l'on pouvait la prédire.

milengka
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le 18 juil. 2016

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