La famille de Léna a dû fuir ville et amis après le départ du grand-frère, Ivan, pour la Syrie et de la diffusion d’une vidéo où il revendique un massacre commis au nom du Djihad.
Quatre ans plus tard, Léna reçoit une lettre de son frère lui donnant rendez-vous dans un lieu connu d’eux seuls. Pleine d’espoir et d’appréhension elle décide de s’y rendre, quitte à mentir à ses parents …
Benoit Severac, à travers ce récit, donne la parole aux familles de djihadistes ; un aspect rarement évoqué par les médias. Le lecteur partage alors la souffrance, les doutes, les interrogations et les angoisses de ces familles, le temps d’une lecture.