Non-sens incarné

Deleuze nous annonce prouver la non existence de la logique... Carrément, en ayant pas fait des étude de logique ni même de linguistique. Cela donne le resultat que ça donne mdr cad du blabla sans aucun interêts.

Déja passons sur les moments entiers la ou ce qu'il dit n'a aucun sens pour faire intelectuelle genre :

La forme choreique ou clonique d'une prolifération convulsive en rond, et la forme tétanique ou tonique d'une immobilisation saccadé. p 46

( il y a vraiment des trucs comme ça partout, c'est insupportable il s'écoute parler constament )

Ensuite ne parlons pas des concept que je n'ai pas compris ( sans doute car je suis trop con ) genre ses fameuses série signifiant/signifié ou il disserte dessus en faisant des référence ( il cite jamais du texte logique intéressants directement c'est majoritairement des référence genre comment tu veut que je save si il retranscris bien ou pas ). D'ailleurs c'est étrange de nier la logique avec l'utilisation des logicien genre Russel.

Un de ses grands arguments c'est les paradoxes. Ah il aime cela Gillou les paradoxes surtout ceux de regressement a l'infini. Premièrement je ne vois pas pourquoi un paradoxe prouve quoi que se soit, moi aussi je peux professer des paradoxe : l'homme nait pour mourir. Sa fé réfléchir.

Une pensée philosophique qui veut vraiment eclarer des choses ne peut se complaire dans un language entièrement poétique et métaphorique.

Puis se pensée revient dans quelque sens a un espèce de relativisme ou tout est tout a la fois car ta capté paradoxe.

Surtout que Deleuze ne montre a aucun moment qu'il a ne seraient que des compétence en logique ou linguistique, dans des certains moment on vois clairement qu'il confond les differente utilisation du mot sens :

D'abord, la qualité, affirmation et négation: "Dieu est" et Dieu n'est pas" doivent avoir le même sens, en vertue de l'autonomie du sens par rapport a l'existence du désigné.

Il y a le sens comme ce qui est non absurde et le sens dans une proposition qui est une Idée générale (concept) à laquelle correspond un mot, une expression (objet, sentiment, relation, etc.) ( d'après la dèf du dictionnaire leRobert). Le sens est autonome de la proposition mais la proposition se forme a partir du sens.

Son assertion est quand même assez énorme il faut le dire. Surtout que pour continuer son raisonnement, il s'appuie sur ses assertions qu'il prouve a peine avec quelque métaphore et DES ARGUMENTS BAS2 SUR ALICE AU PAYS DES MERVEILLES qu'elle est la teneur de ses comparaisons ptn.

Bref il ne sais pas vraiment de quoi il parle, il s'écoute parler et métaphorique, j'ai beaucoup de difficulté a comprendre comment des gens les on pris pour de grand intellectuelles, il arrive a impressionner avec de grand concept vide. Pour une meilleurs critique je renvoie au livre de Sokal et Brickmont Impostures intellectuelles qui a le mérite de montrer l'imposture mieux que moi... Tu m'éttone que Deleuze representait du "bavardage sans interêts" pour Chomsky ( qui lui connais un minimun la luinguistique par rapport a notre bon Gilou).

Après une plus longue lecture j'ai l'impression comme disais Onfray que c'est une sorte de philosophie esthetique, ses concepts sont vide et n'ont aucun lien avec le réel : comment établir l'existence de ses pseudo-séries et leur conséquence. Mais il créer quand même des concepts pour exalter sa philosophie et construire une sorte de mythologie appliquer au sens. Comme disais un mec dans les commentaire amazon ce qu'il dit ne peut être réutilisé seulement dans une analyse deuleuzienne ( et encore ), c'est un peu comme Freud mdr...

Comme une sorte d'esoterisme ou il faut essayer de percevoir l'esthetique intelectuelle de ce que l'on dis... Ce point de vue me l'a rendue un peu plus sympathique au final.

Bref c'est un plutot bon créateur de mythe mais un plutot mauvais philosophe.

Au bout de 200 page c'est fini, il n'y a plus aucune logique ( c'est sans doute l'effet recherché ) plus aucune déf. plus aucune explication. Il s'échappe totalement du monde réél, il n'y a pas de tentative de contradiction de son discours. Son chemin de pensée est iredéscriptible. Même si l'on accepte ses affirmations sa philosophie n'a aucun impacte sur la vie réél.

Donc inutile.

Je finirai par vous laissez sur les dernière phrase du bouquin :

L'univocité du sens saisit le langage dans son système complet, exprimant total pour l'unique exprimé, l'événement. Ainsi les valeurs d'humour se distinguent de cel1es de l'ironie : l'humour est l'art des surfaces, du rapport complexe entre les deux surfaces. A partir d'une équivoque

en trop, l'humour construit toure l'univocité. A partir de l'équivoque proprement sexuelle qui clôt toute équivocité, l'humour dégage un Univoque désexualisé, univocité spéculative de l'être et du langage i toute l'organisation secondaire, en un mot '. Il faut imaginer un tiers stoïcien, un tiers Zen, un tiers Carroll: d'une main se masturbant en un geste de trop, de l'autre écrivant sur le sable les paroles magiques de l'événement pur ouvertes

à l'univoque,« Mind- believe- is Essence- Abstract- that is- an Accident- which we- that is say- meant -», faisant ainsi passer l'énergie de la sexualité à l'asexuel pur, ne cessant pourtant pas de demander « qu'est<e qu'une petite fille? », quitte à substituer à cette question le problème d'une œuvre d'art à faire, qui seule y repondra

SA F2 REFLECHIR