Cruelle et drôle, la langue unique des tempêtes sous un crâne enfantin du Québec.
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le 12 févr. 2016
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Critiques
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le 12 févr. 2016
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Mailloux est écrit en québécois, ce qui en tant que tel ne gênera pas le lecteur français, une fois acquis que char et flot signifient respectivement voiture et gosse. En revanche, si on voit dans le...
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le 16 avr. 2017
«… ah la vie, disait-elle, ah oui la vie, disaient-elles. » Lire Mailloux, c’est plonger tête la première dans Rabelais, Jarry, Renard et Beckett. Sans oublier Jean-Jacques… C’est du lourd dirait...
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le 10 juin 2016
Pas facile l’enfance québécoise de Jacques Mailloux. Une mère insensible, un père qui rentre de l’usine pour s’abrutir en tétant la bouteille et ne lésine pas sur les taloches, des copains moqueurs...
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le 1 avr. 2016