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Prélude au génocide
Situé dans un décor idyllique, aux sources du grand fleuve égyptien, Notre-Dame-du-Nil accueille essentiellement des Hutus, filles de militaires, d'hommes politiques, de notables... Mais pour faire...
le 30 oct. 2014
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Entre deux eaux.
Traité superficiel et un brin caricatural de la vie adolescente. Des pimbêches dont j'avais envie de claquer le beignet toutes les deux pages. Une ou deux sortent du lot, mais avec toutes les ficelles cousues de fils blancs qui poussent à la méfiance, à l'ennui, voir au rejet.
Le roman prend de l'épaisseur et de l'intérêt, sort de ses petites chemins balisés où l'on marche sans conviction, avec la gêne d'un petit caillou dans la chaussure, lorsque le conflit Tutsi - Hutu est abordé. La montée soudaine de la violence, et la traque, sont bien foutues (mais, par son sérieux qui ressemble à un travail d'école, il ne surprend pas).
Lecture facile. Point de vue sans risque mais témoignage qui prend du corps dans la dernière partie. L'auteur semble tout traiter avec un manque de profondeur psychologique, sociale et politique, à se demande si elle ne voulait pas faire de son livre une farce absurde et dénonciatrice (comme un Tom Sharpe ou un Tom Robbins par exemple), mais le livre ne prend jamais parti. Le juste milieu, et le Tiède, ça berce tranquillement, sans faire trop de remous.
Le roman prend de l'épaisseur et de l'intérêt, sort de ses petites chemins balisés où l'on marche sans conviction, avec la gêne d'un petit caillou dans la chaussure, lorsque le conflit Tutsi - Hutu est abordé. La montée soudaine de la violence, et la traque, sont bien foutues (mais, par son sérieux qui ressemble à un travail d'école, il ne surprend pas).
Lecture facile. Point de vue sans risque mais témoignage qui prend du corps dans la dernière partie. L'auteur semble tout traiter avec un manque de profondeur psychologique, sociale et politique, à se demande si elle ne voulait pas faire de son livre une farce absurde et dénonciatrice (comme un Tom Sharpe ou un Tom Robbins par exemple), mais le livre ne prend jamais parti. Le juste milieu, et le Tiède, ça berce tranquillement, sans faire trop de remous.
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le 17 avr. 2014
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