L'actualité sur Oblomov
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1859 • livre de Ivan Gontcharov
Résumé : Oblomov, dans le moelleux de sa vieille robe de chambre orientale, est un propriétaire terrien. Un personnage qui laisse passer le temps. Parler de paresse serait trop simple. Oblomov se livre plutôt à une sorte de rêverie utopique et engourdissante. Alors il peut renouer avec les dorlotements de son enfance. Proie facile, il est exploité, grugé, dépouillé par son entourage. Et sa fiancée Olga a bien du mérite à vouloir le sauver. En fait, Oblomov va tout perdre, jusqu’à sa santé. Mais dans une sorte de bonheur léthargique, d’humilité et d’accomplissement accepté du destin. Publié en 1858, le roman de Gontcharov est l’un des plus grands romans de la littérature russe du XIXe siècle. Tour à tour émouvant, drôle, tendre, avec des moments de lyrisme teintés parfois d’érotisme. « Une œuvre capitale », disait Tolstoï. « Servie par un talent éblouissant », ajoutait Dostoïevski.
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1859 • livre de Ivan Gontcharov
Résumé : Oblomov, dans le moelleux de sa vieille robe de chambre orientale, est un propriétaire terrien. Un personnage qui laisse passer le temps. Parler de paresse serait trop simple. Oblomov se livre plutôt à une sorte de rêverie utopique et engourdissante. Alors il peut renouer avec les dorlotements de son enfance. Proie facile, il est exploité, grugé, dépouillé par son entourage. Et sa fiancée Olga a bien du mérite à vouloir le sauver. En fait, Oblomov va tout perdre, jusqu’à sa santé. Mais dans une sorte de bonheur léthargique, d’humilité et d’accomplissement accepté du destin. Publié en 1858, le roman de Gontcharov est l’un des plus grands romans de la littérature russe du XIXe siècle. Tour à tour émouvant, drôle, tendre, avec des moments de lyrisme teintés parfois d’érotisme. « Une œuvre capitale », disait Tolstoï. « Servie par un talent éblouissant », ajoutait Dostoïevski.
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1859 • livre de Ivan Gontcharov
Résumé : Oblomov, dans le moelleux de sa vieille robe de chambre orientale, est un propriétaire terrien. Un personnage qui laisse passer le temps. Parler de paresse serait trop simple. Oblomov se livre plutôt à une sorte de rêverie utopique et engourdissante. Alors il peut renouer avec les dorlotements de son enfance. Proie facile, il est exploité, grugé, dépouillé par son entourage. Et sa fiancée Olga a bien du mérite à vouloir le sauver. En fait, Oblomov va tout perdre, jusqu’à sa santé. Mais dans une sorte de bonheur léthargique, d’humilité et d’accomplissement accepté du destin. Publié en 1858, le roman de Gontcharov est l’un des plus grands romans de la littérature russe du XIXe siècle. Tour à tour émouvant, drôle, tendre, avec des moments de lyrisme teintés parfois d’érotisme. « Une œuvre capitale », disait Tolstoï. « Servie par un talent éblouissant », ajoutait Dostoïevski.
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1859 • livre de Ivan Gontcharov
Résumé : Oblomov, dans le moelleux de sa vieille robe de chambre orientale, est un propriétaire terrien. Un personnage qui laisse passer le temps. Parler de paresse serait trop simple. Oblomov se livre plutôt à une sorte de rêverie utopique et engourdissante. Alors il peut renouer avec les dorlotements de son enfance. Proie facile, il est exploité, grugé, dépouillé par son entourage. Et sa fiancée Olga a bien du mérite à vouloir le sauver. En fait, Oblomov va tout perdre, jusqu’à sa santé. Mais dans une sorte de bonheur léthargique, d’humilité et d’accomplissement accepté du destin. Publié en 1858, le roman de Gontcharov est l’un des plus grands romans de la littérature russe du XIXe siècle. Tour à tour émouvant, drôle, tendre, avec des moments de lyrisme teintés parfois d’érotisme. « Une œuvre capitale », disait Tolstoï. « Servie par un talent éblouissant », ajoutait Dostoïevski.
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1859 • livre de Ivan Gontcharov
Résumé : Oblomov, dans le moelleux de sa vieille robe de chambre orientale, est un propriétaire terrien. Un personnage qui laisse passer le temps. Parler de paresse serait trop simple. Oblomov se livre plutôt à une sorte de rêverie utopique et engourdissante. Alors il peut renouer avec les dorlotements de son enfance. Proie facile, il est exploité, grugé, dépouillé par son entourage. Et sa fiancée Olga a bien du mérite à vouloir le sauver. En fait, Oblomov va tout perdre, jusqu’à sa santé. Mais dans une sorte de bonheur léthargique, d’humilité et d’accomplissement accepté du destin. Publié en 1858, le roman de Gontcharov est l’un des plus grands romans de la littérature russe du XIXe siècle. Tour à tour émouvant, drôle, tendre, avec des moments de lyrisme teintés parfois d’érotisme. « Une œuvre capitale », disait Tolstoï. « Servie par un talent éblouissant », ajoutait Dostoïevski.