C'est plusieurs nouvelles très liées, on pourrait croire à un roman. En réalité c'est le rassemblement de trois recueils de nouvelles de l'écrivain.
On navigue entre fantastique et surréalisme, entre Borgers et Kafka (exactement comme indiqué en 4e de couv). L'auteur y ajoute sa touche personnelle sous forme poétique et philosophique. En gros, ça parle de l'impact de la vie urbaine sur les gens et le paradoxal isolement que ça peut causer. A cet égard, j'aurais préféré une couverture reprenant un tableau d'Edward Hopper plutôt que ce paysage bizarroïde !
On le dévore comme c'est court : à peine 120 pages.