J’ai cependant vite perdu l’enchantement. Le procédé m’a semblé perdre son souffle . D’abord un sentiment de phrases, pages inutiles... l’oeil commence à sautiller sur les pages en se demandant où il retrouvera de la véritable matière ... puis j’ai perdu l’intérêt dans les personnages qui ont déjà dévoilé leur totalité au milieu du livre... enfin les didascalies... vous comprendrez si vous le lisez. Schmitt n’est pas Ecco, loin s’en faut et la lectrice n’est pas tenue en grande estime intellectuelle... du Musso qui ne dit pas son nom.