L'actualité sur Passer, quoi qu'il en coûte

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Sacha Mostefa Kara
Passer, quoi qu'il en coûte

2017 • livre de Georges Didi-Huberman et Niki Giannari

Résumé : « Apatrides, sans-foyer. Ils sont là. Et ils nous accueillent Généreusement dans leur regard fugitif, nous, les oublieux, les aveugles. Ils passent et ils nous pensent. » (Niki Giannari) « Passer. Passer quoi qu’il en coûte. Plutôt crever que ne pas passer. Passer pour ne pas mourir dans ce territoire maudit et dans sa guerre civile. Avoir fui, avoir tout perdu. Passer pour tenter de vivre ici où la guerre est moins cruelle. Passer pour vivre comme sujets du droit, comme simples citoyens. Peu importe le pays, pourvu que ce soit un État de droit. Passer, donc, pour cesser d’être hors de la loi commune. Dans tous les cas : passer pour vivre. Mais là où vous avez fui les murs clos des caves bombardées, vous avez trouvé une frontière close et des barbelés au camp d’Idomeni. » (Georges Didi-Huberman)

frontb173

a attribué 7/10 au livre

Passer, quoi qu'il en coûte

2017 • livre de Georges Didi-Huberman et Niki Giannari

Résumé : « Apatrides, sans-foyer. Ils sont là. Et ils nous accueillent Généreusement dans leur regard fugitif, nous, les oublieux, les aveugles. Ils passent et ils nous pensent. » (Niki Giannari) « Passer. Passer quoi qu’il en coûte. Plutôt crever que ne pas passer. Passer pour ne pas mourir dans ce territoire maudit et dans sa guerre civile. Avoir fui, avoir tout perdu. Passer pour tenter de vivre ici où la guerre est moins cruelle. Passer pour vivre comme sujets du droit, comme simples citoyens. Peu importe le pays, pourvu que ce soit un État de droit. Passer, donc, pour cesser d’être hors de la loi commune. Dans tous les cas : passer pour vivre. Mais là où vous avez fui les murs clos des caves bombardées, vous avez trouvé une frontière close et des barbelés au camp d’Idomeni. » (Georges Didi-Huberman)

De_Smet_Mathias

Petit à petit, devenir le plus grand didi-hubermanien contemporain ...

Le 3 mai 2023

kelenfer

a attribué 7/10 au livre

Passer, quoi qu'il en coûte

2017 • livre de Georges Didi-Huberman et Niki Giannari

Résumé : « Apatrides, sans-foyer. Ils sont là. Et ils nous accueillent Généreusement dans leur regard fugitif, nous, les oublieux, les aveugles. Ils passent et ils nous pensent. » (Niki Giannari) « Passer. Passer quoi qu’il en coûte. Plutôt crever que ne pas passer. Passer pour ne pas mourir dans ce territoire maudit et dans sa guerre civile. Avoir fui, avoir tout perdu. Passer pour tenter de vivre ici où la guerre est moins cruelle. Passer pour vivre comme sujets du droit, comme simples citoyens. Peu importe le pays, pourvu que ce soit un État de droit. Passer, donc, pour cesser d’être hors de la loi commune. Dans tous les cas : passer pour vivre. Mais là où vous avez fui les murs clos des caves bombardées, vous avez trouvé une frontière close et des barbelés au camp d’Idomeni. » (Georges Didi-Huberman)