Je dois avouer que j’étais vraiment impatiente de découvrir l’auteur William Gay, qualifié de maître de l’épouvante par certains, et de lire Petite sœur la mort dont le résumé me donnait terriblement envie. Et au début, tout commençait plutôt bien. La préface, très bien écrite par Tom Franklin, nous présente un auteur atypique en dressant un portrait mystérieux et alléchant. Ensuite, le premier chapitre, se déroulant au XVIIIème siècle est lui aussi plein de promesses. L’ambiance gothique, mystérieuse et sombre à souhait, s’installe. L’écriture, atypique et particulière est très travaillée et l’ensemble nous laisse présager un roman glaçant. Et puis, … rien. La suite a été d’un grand ennui pour moi, il ne se passe rien, hormis quelques petits moments où l’auteur nous laisse espérer, par de petites brides d’ambiance sombre, que quelque chose va arriver. Au final, l’attente a été [...]
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