L'actualité sur Peuples exposés, peuples figurants
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2012 • livre de Georges Didi-Huberman
Résumé : On s’interroge, dans ce livre, sur la façon dont les peuples sont représentés : question indissolublement esthétique et politique. Les peuples aujourd’hui semblent exposés plus qu’ils ne l’ont jamais été. Ils sont, en réalité, sous-exposés dans l’ombre de leurs mises sous censure ou - pour un résultat d’invisibilité équivalent – sur-exposés dans la lumière artificielle de leurs mises en spectacle. Bref ils sont, comme trop souvent, exposés à disparaître. À partir des exigences formulées par Walter Benjamin (une histoire ne vaut que si elle donne voix aux « sans noms ») ou par Hannah Arendt (une politique ne vaut que si elle fait surgir ne fût-ce qu’une « parcelle d’humanité »), on interroge ici les conditions d’une possible représentation des peuples. Cela passe moins par l’histoire du portrait de groupe hollandais et des « portraits de troupes » totalitaires que par l’attention spécifique accordée aux « petits peuples » par les poètes (Villon, Hugo, Baudelaire par exemple), les peintres (Rembrandt, Goya ou Gustave Courbet), les photographes (Walker Evans, August Sander ou, pour un exemple contemporain, Philippe Bazin). Le cinéma, quant à lui, nomme figurants ces « petits peuples » devant lesquels agissent et s’agitent les « acteurs principaux », les stars comme on dit. D’où que les figurants incarnent un enjeu crucial, historique et politique, du cinéma lui-même, depuis sa naissance – La Sortie des usines Lumière – jusqu’à ses élaborations modernes chez Eisenstein et Rossellini, et bien au-delà encore. Une longue analyse est ici consacrée au travail de Pier Paolo Pasolini, à sa façon de retrouver les « peuples perdus » dans leurs « gestes survivants », selon un processus que permettent d’éclairer les analyses d’Erich Auerbach (pour les formes poétiques), d’Aby Warburg (pour les formes visuelles) et d’Ernesto De Martino (pour les formes sociales). Sans oublier quelques exemples plus contemporains, tel que le film du Chinois Wang Bing intitulé, précisément, L’Homme sans nom. (source : http://www.leseditionsdeminuit.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=2762)
2012 • livre de Georges Didi-Huberman
Résumé : On s’interroge, dans ce livre, sur la façon dont les peuples sont représentés : question indissolublement esthétique et politique. Les peuples aujourd’hui semblent exposés plus qu’ils ne l’ont jamais été. Ils sont, en réalité, sous-exposés dans l’ombre de leurs mises sous censure ou - pour un résultat d’invisibilité équivalent – sur-exposés dans la lumière artificielle de leurs mises en spectacle. Bref ils sont, comme trop souvent, exposés à disparaître. À partir des exigences formulées par Walter Benjamin (une histoire ne vaut que si elle donne voix aux « sans noms ») ou par Hannah Arendt (une politique ne vaut que si elle fait surgir ne fût-ce qu’une « parcelle d’humanité »), on interroge ici les conditions d’une possible représentation des peuples. Cela passe moins par l’histoire du portrait de groupe hollandais et des « portraits de troupes » totalitaires que par l’attention spécifique accordée aux « petits peuples » par les poètes (Villon, Hugo, Baudelaire par exemple), les peintres (Rembrandt, Goya ou Gustave Courbet), les photographes (Walker Evans, August Sander ou, pour un exemple contemporain, Philippe Bazin). Le cinéma, quant à lui, nomme figurants ces « petits peuples » devant lesquels agissent et s’agitent les « acteurs principaux », les stars comme on dit. D’où que les figurants incarnent un enjeu crucial, historique et politique, du cinéma lui-même, depuis sa naissance – La Sortie des usines Lumière – jusqu’à ses élaborations modernes chez Eisenstein et Rossellini, et bien au-delà encore. Une longue analyse est ici consacrée au travail de Pier Paolo Pasolini, à sa façon de retrouver les « peuples perdus » dans leurs « gestes survivants », selon un processus que permettent d’éclairer les analyses d’Erich Auerbach (pour les formes poétiques), d’Aby Warburg (pour les formes visuelles) et d’Ernesto De Martino (pour les formes sociales). Sans oublier quelques exemples plus contemporains, tel que le film du Chinois Wang Bing intitulé, précisément, L’Homme sans nom. (source : http://www.leseditionsdeminuit.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=2762)
2012 • livre de Georges Didi-Huberman
Résumé : On s’interroge, dans ce livre, sur la façon dont les peuples sont représentés : question indissolublement esthétique et politique. Les peuples aujourd’hui semblent exposés plus qu’ils ne l’ont jamais été. Ils sont, en réalité, sous-exposés dans l’ombre de leurs mises sous censure ou - pour un résultat d’invisibilité équivalent – sur-exposés dans la lumière artificielle de leurs mises en spectacle. Bref ils sont, comme trop souvent, exposés à disparaître. À partir des exigences formulées par Walter Benjamin (une histoire ne vaut que si elle donne voix aux « sans noms ») ou par Hannah Arendt (une politique ne vaut que si elle fait surgir ne fût-ce qu’une « parcelle d’humanité »), on interroge ici les conditions d’une possible représentation des peuples. Cela passe moins par l’histoire du portrait de groupe hollandais et des « portraits de troupes » totalitaires que par l’attention spécifique accordée aux « petits peuples » par les poètes (Villon, Hugo, Baudelaire par exemple), les peintres (Rembrandt, Goya ou Gustave Courbet), les photographes (Walker Evans, August Sander ou, pour un exemple contemporain, Philippe Bazin). Le cinéma, quant à lui, nomme figurants ces « petits peuples » devant lesquels agissent et s’agitent les « acteurs principaux », les stars comme on dit. D’où que les figurants incarnent un enjeu crucial, historique et politique, du cinéma lui-même, depuis sa naissance – La Sortie des usines Lumière – jusqu’à ses élaborations modernes chez Eisenstein et Rossellini, et bien au-delà encore. Une longue analyse est ici consacrée au travail de Pier Paolo Pasolini, à sa façon de retrouver les « peuples perdus » dans leurs « gestes survivants », selon un processus que permettent d’éclairer les analyses d’Erich Auerbach (pour les formes poétiques), d’Aby Warburg (pour les formes visuelles) et d’Ernesto De Martino (pour les formes sociales). Sans oublier quelques exemples plus contemporains, tel que le film du Chinois Wang Bing intitulé, précisément, L’Homme sans nom. (source : http://www.leseditionsdeminuit.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=2762)
2012 • livre de Georges Didi-Huberman
Résumé : On s’interroge, dans ce livre, sur la façon dont les peuples sont représentés : question indissolublement esthétique et politique. Les peuples aujourd’hui semblent exposés plus qu’ils ne l’ont jamais été. Ils sont, en réalité, sous-exposés dans l’ombre de leurs mises sous censure ou - pour un résultat d’invisibilité équivalent – sur-exposés dans la lumière artificielle de leurs mises en spectacle. Bref ils sont, comme trop souvent, exposés à disparaître. À partir des exigences formulées par Walter Benjamin (une histoire ne vaut que si elle donne voix aux « sans noms ») ou par Hannah Arendt (une politique ne vaut que si elle fait surgir ne fût-ce qu’une « parcelle d’humanité »), on interroge ici les conditions d’une possible représentation des peuples. Cela passe moins par l’histoire du portrait de groupe hollandais et des « portraits de troupes » totalitaires que par l’attention spécifique accordée aux « petits peuples » par les poètes (Villon, Hugo, Baudelaire par exemple), les peintres (Rembrandt, Goya ou Gustave Courbet), les photographes (Walker Evans, August Sander ou, pour un exemple contemporain, Philippe Bazin). Le cinéma, quant à lui, nomme figurants ces « petits peuples » devant lesquels agissent et s’agitent les « acteurs principaux », les stars comme on dit. D’où que les figurants incarnent un enjeu crucial, historique et politique, du cinéma lui-même, depuis sa naissance – La Sortie des usines Lumière – jusqu’à ses élaborations modernes chez Eisenstein et Rossellini, et bien au-delà encore. Une longue analyse est ici consacrée au travail de Pier Paolo Pasolini, à sa façon de retrouver les « peuples perdus » dans leurs « gestes survivants », selon un processus que permettent d’éclairer les analyses d’Erich Auerbach (pour les formes poétiques), d’Aby Warburg (pour les formes visuelles) et d’Ernesto De Martino (pour les formes sociales). Sans oublier quelques exemples plus contemporains, tel que le film du Chinois Wang Bing intitulé, précisément, L’Homme sans nom. (source : http://www.leseditionsdeminuit.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=2762)
2012 • livre de Georges Didi-Huberman
Résumé : On s’interroge, dans ce livre, sur la façon dont les peuples sont représentés : question indissolublement esthétique et politique. Les peuples aujourd’hui semblent exposés plus qu’ils ne l’ont jamais été. Ils sont, en réalité, sous-exposés dans l’ombre de leurs mises sous censure ou - pour un résultat d’invisibilité équivalent – sur-exposés dans la lumière artificielle de leurs mises en spectacle. Bref ils sont, comme trop souvent, exposés à disparaître. À partir des exigences formulées par Walter Benjamin (une histoire ne vaut que si elle donne voix aux « sans noms ») ou par Hannah Arendt (une politique ne vaut que si elle fait surgir ne fût-ce qu’une « parcelle d’humanité »), on interroge ici les conditions d’une possible représentation des peuples. Cela passe moins par l’histoire du portrait de groupe hollandais et des « portraits de troupes » totalitaires que par l’attention spécifique accordée aux « petits peuples » par les poètes (Villon, Hugo, Baudelaire par exemple), les peintres (Rembrandt, Goya ou Gustave Courbet), les photographes (Walker Evans, August Sander ou, pour un exemple contemporain, Philippe Bazin). Le cinéma, quant à lui, nomme figurants ces « petits peuples » devant lesquels agissent et s’agitent les « acteurs principaux », les stars comme on dit. D’où que les figurants incarnent un enjeu crucial, historique et politique, du cinéma lui-même, depuis sa naissance – La Sortie des usines Lumière – jusqu’à ses élaborations modernes chez Eisenstein et Rossellini, et bien au-delà encore. Une longue analyse est ici consacrée au travail de Pier Paolo Pasolini, à sa façon de retrouver les « peuples perdus » dans leurs « gestes survivants », selon un processus que permettent d’éclairer les analyses d’Erich Auerbach (pour les formes poétiques), d’Aby Warburg (pour les formes visuelles) et d’Ernesto De Martino (pour les formes sociales). Sans oublier quelques exemples plus contemporains, tel que le film du Chinois Wang Bing intitulé, précisément, L’Homme sans nom. (source : http://www.leseditionsdeminuit.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=2762)
2012 • livre de Georges Didi-Huberman
Résumé : On s’interroge, dans ce livre, sur la façon dont les peuples sont représentés : question indissolublement esthétique et politique. Les peuples aujourd’hui semblent exposés plus qu’ils ne l’ont jamais été. Ils sont, en réalité, sous-exposés dans l’ombre de leurs mises sous censure ou - pour un résultat d’invisibilité équivalent – sur-exposés dans la lumière artificielle de leurs mises en spectacle. Bref ils sont, comme trop souvent, exposés à disparaître. À partir des exigences formulées par Walter Benjamin (une histoire ne vaut que si elle donne voix aux « sans noms ») ou par Hannah Arendt (une politique ne vaut que si elle fait surgir ne fût-ce qu’une « parcelle d’humanité »), on interroge ici les conditions d’une possible représentation des peuples. Cela passe moins par l’histoire du portrait de groupe hollandais et des « portraits de troupes » totalitaires que par l’attention spécifique accordée aux « petits peuples » par les poètes (Villon, Hugo, Baudelaire par exemple), les peintres (Rembrandt, Goya ou Gustave Courbet), les photographes (Walker Evans, August Sander ou, pour un exemple contemporain, Philippe Bazin). Le cinéma, quant à lui, nomme figurants ces « petits peuples » devant lesquels agissent et s’agitent les « acteurs principaux », les stars comme on dit. D’où que les figurants incarnent un enjeu crucial, historique et politique, du cinéma lui-même, depuis sa naissance – La Sortie des usines Lumière – jusqu’à ses élaborations modernes chez Eisenstein et Rossellini, et bien au-delà encore. Une longue analyse est ici consacrée au travail de Pier Paolo Pasolini, à sa façon de retrouver les « peuples perdus » dans leurs « gestes survivants », selon un processus que permettent d’éclairer les analyses d’Erich Auerbach (pour les formes poétiques), d’Aby Warburg (pour les formes visuelles) et d’Ernesto De Martino (pour les formes sociales). Sans oublier quelques exemples plus contemporains, tel que le film du Chinois Wang Bing intitulé, précisément, L’Homme sans nom. (source : http://www.leseditionsdeminuit.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=2762)
2012 • livre de Georges Didi-Huberman
Résumé : On s’interroge, dans ce livre, sur la façon dont les peuples sont représentés : question indissolublement esthétique et politique. Les peuples aujourd’hui semblent exposés plus qu’ils ne l’ont jamais été. Ils sont, en réalité, sous-exposés dans l’ombre de leurs mises sous censure ou - pour un résultat d’invisibilité équivalent – sur-exposés dans la lumière artificielle de leurs mises en spectacle. Bref ils sont, comme trop souvent, exposés à disparaître. À partir des exigences formulées par Walter Benjamin (une histoire ne vaut que si elle donne voix aux « sans noms ») ou par Hannah Arendt (une politique ne vaut que si elle fait surgir ne fût-ce qu’une « parcelle d’humanité »), on interroge ici les conditions d’une possible représentation des peuples. Cela passe moins par l’histoire du portrait de groupe hollandais et des « portraits de troupes » totalitaires que par l’attention spécifique accordée aux « petits peuples » par les poètes (Villon, Hugo, Baudelaire par exemple), les peintres (Rembrandt, Goya ou Gustave Courbet), les photographes (Walker Evans, August Sander ou, pour un exemple contemporain, Philippe Bazin). Le cinéma, quant à lui, nomme figurants ces « petits peuples » devant lesquels agissent et s’agitent les « acteurs principaux », les stars comme on dit. D’où que les figurants incarnent un enjeu crucial, historique et politique, du cinéma lui-même, depuis sa naissance – La Sortie des usines Lumière – jusqu’à ses élaborations modernes chez Eisenstein et Rossellini, et bien au-delà encore. Une longue analyse est ici consacrée au travail de Pier Paolo Pasolini, à sa façon de retrouver les « peuples perdus » dans leurs « gestes survivants », selon un processus que permettent d’éclairer les analyses d’Erich Auerbach (pour les formes poétiques), d’Aby Warburg (pour les formes visuelles) et d’Ernesto De Martino (pour les formes sociales). Sans oublier quelques exemples plus contemporains, tel que le film du Chinois Wang Bing intitulé, précisément, L’Homme sans nom. (source : http://www.leseditionsdeminuit.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=2762)