Pareil que pour les jeunes filles. Ici, les masques tombent: l'homme apparaît toujours plus dégueulasse, et la femme n'en sort pas non plus grandie. Mais j'ai expliqué dans la critique du premier tome, et je le développe ici, que c'est parce que le personnage masculin est plus clairvoyant quant à sa propre nature, qu'il apparaît plus immonde. En réalité, tous les personnages, et toutes les natures, c'est-à-dire les deux sexes, apparaissent avec la même perversion égoïste et narcissique. Roman misogyne? Non, roman égalitariste. Comme chez Céline, c'est l'égalité dans l'immondice. La seule qui soit réaliste?