En fait ce que j'aime bien dans la lecture de Dustan et ici comme avec Dans ma chambre, c'est qu'à chaque nouveau paragraphe, presque à chaque nouvelle phrase, on découvre un nouveau personnage. La curiosité est constamment piquée, et comment il va être celui là, comment ça va se passer est ce qu'ils vont baiser, etc.
Guillaume Dustan aurait adoré les story times et écrire des threads sur Twitter quand les gays les plus suivis s'adonnaient à ce petit plaisir pour raconter leurs parties de jambes en l'air les plus saugrenues.
Moi ça me serre le cœur quand je sais qu'il a l'âge de mes parents et qu'il est mort il y a de ça 20 ans déjà presque.