Pour un gros oui ou pour un non
Pour un oui ou pour un non est une pièce qui se laisse lire. On est intrigué, puis curieux à l'idée de connaître la fin qu'on aimerait repousser encore et encore. Les personnages sont...
Par
le 22 mars 2018
3 j'aime
Pour un oui ou pour un non est une pièce qui se laisse lire. On est intrigué, puis curieux à l'idée de connaître la fin qu'on aimerait repousser encore et encore.
Les personnages sont déshumanisés (H1, H2), pittoresque, avec une dispute dont on oublie rapidement l'essence même.
On est transporter dans les reproches de chacun envers l'autre, on veut prendre parti mais on se délecte sans honte d'être spectateur d'une dispute qui n'a ni queue ni tête. On prend rapidement gout à l'aspect comique, où l'origine de la dispute devient la dispute elle-même.
C'est une courte pièce de théâtre à déguster, à lire et relire pour en découvrir toute les facettes d'un dialogue farfelu où personne ne s'écoute. C'est une oeuvre à découvrir pour un oui ou pour un non.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 22 mars 2018
Critique lue 348 fois
3 j'aime
D'autres avis sur Pour un oui ou pour un non
Pour un oui ou pour un non est une pièce qui se laisse lire. On est intrigué, puis curieux à l'idée de connaître la fin qu'on aimerait repousser encore et encore. Les personnages sont...
Par
le 22 mars 2018
3 j'aime
Une pièce extrêmement forte qui doit sans doute son efficacité à son niveau de concentration et de réduction de l'intrigue. En une vingtaine de pages, Sarraute aborde des sujets profond, avec un...
Par
le 15 nov. 2023
1 j'aime
Par pitié, non.
le 7 déc. 2015
1 j'aime
Du même critique
Après avoir rédigé, Solange te parle et Très intime , Ina Mihalache réalise Autoportrait en chienne quelque temps après l'adoption de sa chienne Truite. Le livre intrigue, c'est le mot. Qui n'a pas...
Par
le 22 mars 2018
1 j'aime
1
Enfin ! Enfin un film d'horreur où on change la trame principale. Les histoires autour des poupées sont généralement redondantes alors qu'ici, on a à faire à un genre nouveau. Les screamers restent...
Par
le 25 mars 2018