L'actualité sur Programme de désordre absolu
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2023 • livre de Françoise Vergès
Résumé : La décolonisation du musée occidental universel est impossible, c’est l’argument de départ. Elle est impossible parce que pour que la décolonisation du musée soit accomplie, il faudrait des bouleversements qui remettraient radicalement en cause ses fondements, son fonctionnement, sa structure, sa mission, ses objectifs, et dès lors, pourrions-nous encore parler de musée? Le musée, qui n’a jamais été un espace neutre, protégé des luttes sociales et idéologiques, symbolise la puissance de l’État, la richesse de la nation et son niveau de «civilisation». Dire que cette décolonisation est impossible ne veut pas dire qu’il ne faut pas se battre pour que des amendements, des changements et des transformations de cette institution aient lieu, que des négociations soient entreprises avec les communautés dont des objets sont exposés, répondant ainsi à des exigences de réparation, de restitution et de justice épistémologique et sociale. Françoise Vergès part de cette impossibilité pour penser ce qui serait possible, ce qui remplacerait le musée dans un monde postraciste et postcapitaliste. Car si le programme de la décolonisation est celui d’un «désordre absolu» car il «se propose de changer l’ordre du monde» (Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Maspero, 1961), alors il nous faut imaginer ce qu’est ce programme. S’attaquer à l’ordre de ce monde, c’est s’attaquer à ses institutions.
2023 • livre de Françoise Vergès
Résumé : La décolonisation du musée occidental universel est impossible, c’est l’argument de départ. Elle est impossible parce que pour que la décolonisation du musée soit accomplie, il faudrait des bouleversements qui remettraient radicalement en cause ses fondements, son fonctionnement, sa structure, sa mission, ses objectifs, et dès lors, pourrions-nous encore parler de musée? Le musée, qui n’a jamais été un espace neutre, protégé des luttes sociales et idéologiques, symbolise la puissance de l’État, la richesse de la nation et son niveau de «civilisation». Dire que cette décolonisation est impossible ne veut pas dire qu’il ne faut pas se battre pour que des amendements, des changements et des transformations de cette institution aient lieu, que des négociations soient entreprises avec les communautés dont des objets sont exposés, répondant ainsi à des exigences de réparation, de restitution et de justice épistémologique et sociale. Françoise Vergès part de cette impossibilité pour penser ce qui serait possible, ce qui remplacerait le musée dans un monde postraciste et postcapitaliste. Car si le programme de la décolonisation est celui d’un «désordre absolu» car il «se propose de changer l’ordre du monde» (Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Maspero, 1961), alors il nous faut imaginer ce qu’est ce programme. S’attaquer à l’ordre de ce monde, c’est s’attaquer à ses institutions.
2023 • livre de Françoise Vergès
Résumé : La décolonisation du musée occidental universel est impossible, c’est l’argument de départ. Elle est impossible parce que pour que la décolonisation du musée soit accomplie, il faudrait des bouleversements qui remettraient radicalement en cause ses fondements, son fonctionnement, sa structure, sa mission, ses objectifs, et dès lors, pourrions-nous encore parler de musée? Le musée, qui n’a jamais été un espace neutre, protégé des luttes sociales et idéologiques, symbolise la puissance de l’État, la richesse de la nation et son niveau de «civilisation». Dire que cette décolonisation est impossible ne veut pas dire qu’il ne faut pas se battre pour que des amendements, des changements et des transformations de cette institution aient lieu, que des négociations soient entreprises avec les communautés dont des objets sont exposés, répondant ainsi à des exigences de réparation, de restitution et de justice épistémologique et sociale. Françoise Vergès part de cette impossibilité pour penser ce qui serait possible, ce qui remplacerait le musée dans un monde postraciste et postcapitaliste. Car si le programme de la décolonisation est celui d’un «désordre absolu» car il «se propose de changer l’ordre du monde» (Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Maspero, 1961), alors il nous faut imaginer ce qu’est ce programme. S’attaquer à l’ordre de ce monde, c’est s’attaquer à ses institutions.
2023 • livre de Françoise Vergès
Résumé : La décolonisation du musée occidental universel est impossible, c’est l’argument de départ. Elle est impossible parce que pour que la décolonisation du musée soit accomplie, il faudrait des bouleversements qui remettraient radicalement en cause ses fondements, son fonctionnement, sa structure, sa mission, ses objectifs, et dès lors, pourrions-nous encore parler de musée? Le musée, qui n’a jamais été un espace neutre, protégé des luttes sociales et idéologiques, symbolise la puissance de l’État, la richesse de la nation et son niveau de «civilisation». Dire que cette décolonisation est impossible ne veut pas dire qu’il ne faut pas se battre pour que des amendements, des changements et des transformations de cette institution aient lieu, que des négociations soient entreprises avec les communautés dont des objets sont exposés, répondant ainsi à des exigences de réparation, de restitution et de justice épistémologique et sociale. Françoise Vergès part de cette impossibilité pour penser ce qui serait possible, ce qui remplacerait le musée dans un monde postraciste et postcapitaliste. Car si le programme de la décolonisation est celui d’un «désordre absolu» car il «se propose de changer l’ordre du monde» (Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Maspero, 1961), alors il nous faut imaginer ce qu’est ce programme. S’attaquer à l’ordre de ce monde, c’est s’attaquer à ses institutions.
2023 • livre de Françoise Vergès
Résumé : La décolonisation du musée occidental universel est impossible, c’est l’argument de départ. Elle est impossible parce que pour que la décolonisation du musée soit accomplie, il faudrait des bouleversements qui remettraient radicalement en cause ses fondements, son fonctionnement, sa structure, sa mission, ses objectifs, et dès lors, pourrions-nous encore parler de musée? Le musée, qui n’a jamais été un espace neutre, protégé des luttes sociales et idéologiques, symbolise la puissance de l’État, la richesse de la nation et son niveau de «civilisation». Dire que cette décolonisation est impossible ne veut pas dire qu’il ne faut pas se battre pour que des amendements, des changements et des transformations de cette institution aient lieu, que des négociations soient entreprises avec les communautés dont des objets sont exposés, répondant ainsi à des exigences de réparation, de restitution et de justice épistémologique et sociale. Françoise Vergès part de cette impossibilité pour penser ce qui serait possible, ce qui remplacerait le musée dans un monde postraciste et postcapitaliste. Car si le programme de la décolonisation est celui d’un «désordre absolu» car il «se propose de changer l’ordre du monde» (Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Maspero, 1961), alors il nous faut imaginer ce qu’est ce programme. S’attaquer à l’ordre de ce monde, c’est s’attaquer à ses institutions.
2023 • livre de Françoise Vergès
Résumé : La décolonisation du musée occidental universel est impossible, c’est l’argument de départ. Elle est impossible parce que pour que la décolonisation du musée soit accomplie, il faudrait des bouleversements qui remettraient radicalement en cause ses fondements, son fonctionnement, sa structure, sa mission, ses objectifs, et dès lors, pourrions-nous encore parler de musée? Le musée, qui n’a jamais été un espace neutre, protégé des luttes sociales et idéologiques, symbolise la puissance de l’État, la richesse de la nation et son niveau de «civilisation». Dire que cette décolonisation est impossible ne veut pas dire qu’il ne faut pas se battre pour que des amendements, des changements et des transformations de cette institution aient lieu, que des négociations soient entreprises avec les communautés dont des objets sont exposés, répondant ainsi à des exigences de réparation, de restitution et de justice épistémologique et sociale. Françoise Vergès part de cette impossibilité pour penser ce qui serait possible, ce qui remplacerait le musée dans un monde postraciste et postcapitaliste. Car si le programme de la décolonisation est celui d’un «désordre absolu» car il «se propose de changer l’ordre du monde» (Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Maspero, 1961), alors il nous faut imaginer ce qu’est ce programme. S’attaquer à l’ordre de ce monde, c’est s’attaquer à ses institutions.
2023 • livre de Françoise Vergès
Résumé : La décolonisation du musée occidental universel est impossible, c’est l’argument de départ. Elle est impossible parce que pour que la décolonisation du musée soit accomplie, il faudrait des bouleversements qui remettraient radicalement en cause ses fondements, son fonctionnement, sa structure, sa mission, ses objectifs, et dès lors, pourrions-nous encore parler de musée? Le musée, qui n’a jamais été un espace neutre, protégé des luttes sociales et idéologiques, symbolise la puissance de l’État, la richesse de la nation et son niveau de «civilisation». Dire que cette décolonisation est impossible ne veut pas dire qu’il ne faut pas se battre pour que des amendements, des changements et des transformations de cette institution aient lieu, que des négociations soient entreprises avec les communautés dont des objets sont exposés, répondant ainsi à des exigences de réparation, de restitution et de justice épistémologique et sociale. Françoise Vergès part de cette impossibilité pour penser ce qui serait possible, ce qui remplacerait le musée dans un monde postraciste et postcapitaliste. Car si le programme de la décolonisation est celui d’un «désordre absolu» car il «se propose de changer l’ordre du monde» (Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Maspero, 1961), alors il nous faut imaginer ce qu’est ce programme. S’attaquer à l’ordre de ce monde, c’est s’attaquer à ses institutions.
Alors que les deux manifestes d’introduction pouvaient laisser craindre un discours trop incantatoire, abusant du recours à l’énumération, le « programme de désordre absolu » brandi par Françoise Vergès prend corps à grand renforts d’analyses ciblées, de récits de crises et d’exemples de démarches pratiques. Ce livre fournit une lecture précise et synthétique à même d’éclairer des notions et des arguments souvent bombardés sans contextualisation, mais ici amplement fondés.
Le 8 sept. 2024
2023 • livre de Françoise Vergès
Résumé : La décolonisation du musée occidental universel est impossible, c’est l’argument de départ. Elle est impossible parce que pour que la décolonisation du musée soit accomplie, il faudrait des bouleversements qui remettraient radicalement en cause ses fondements, son fonctionnement, sa structure, sa mission, ses objectifs, et dès lors, pourrions-nous encore parler de musée? Le musée, qui n’a jamais été un espace neutre, protégé des luttes sociales et idéologiques, symbolise la puissance de l’État, la richesse de la nation et son niveau de «civilisation». Dire que cette décolonisation est impossible ne veut pas dire qu’il ne faut pas se battre pour que des amendements, des changements et des transformations de cette institution aient lieu, que des négociations soient entreprises avec les communautés dont des objets sont exposés, répondant ainsi à des exigences de réparation, de restitution et de justice épistémologique et sociale. Françoise Vergès part de cette impossibilité pour penser ce qui serait possible, ce qui remplacerait le musée dans un monde postraciste et postcapitaliste. Car si le programme de la décolonisation est celui d’un «désordre absolu» car il «se propose de changer l’ordre du monde» (Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Maspero, 1961), alors il nous faut imaginer ce qu’est ce programme. S’attaquer à l’ordre de ce monde, c’est s’attaquer à ses institutions.
2023 • livre de Françoise Vergès
Résumé : La décolonisation du musée occidental universel est impossible, c’est l’argument de départ. Elle est impossible parce que pour que la décolonisation du musée soit accomplie, il faudrait des bouleversements qui remettraient radicalement en cause ses fondements, son fonctionnement, sa structure, sa mission, ses objectifs, et dès lors, pourrions-nous encore parler de musée? Le musée, qui n’a jamais été un espace neutre, protégé des luttes sociales et idéologiques, symbolise la puissance de l’État, la richesse de la nation et son niveau de «civilisation». Dire que cette décolonisation est impossible ne veut pas dire qu’il ne faut pas se battre pour que des amendements, des changements et des transformations de cette institution aient lieu, que des négociations soient entreprises avec les communautés dont des objets sont exposés, répondant ainsi à des exigences de réparation, de restitution et de justice épistémologique et sociale. Françoise Vergès part de cette impossibilité pour penser ce qui serait possible, ce qui remplacerait le musée dans un monde postraciste et postcapitaliste. Car si le programme de la décolonisation est celui d’un «désordre absolu» car il «se propose de changer l’ordre du monde» (Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Maspero, 1961), alors il nous faut imaginer ce qu’est ce programme. S’attaquer à l’ordre de ce monde, c’est s’attaquer à ses institutions.
2023 • livre de Françoise Vergès
Résumé : La décolonisation du musée occidental universel est impossible, c’est l’argument de départ. Elle est impossible parce que pour que la décolonisation du musée soit accomplie, il faudrait des bouleversements qui remettraient radicalement en cause ses fondements, son fonctionnement, sa structure, sa mission, ses objectifs, et dès lors, pourrions-nous encore parler de musée? Le musée, qui n’a jamais été un espace neutre, protégé des luttes sociales et idéologiques, symbolise la puissance de l’État, la richesse de la nation et son niveau de «civilisation». Dire que cette décolonisation est impossible ne veut pas dire qu’il ne faut pas se battre pour que des amendements, des changements et des transformations de cette institution aient lieu, que des négociations soient entreprises avec les communautés dont des objets sont exposés, répondant ainsi à des exigences de réparation, de restitution et de justice épistémologique et sociale. Françoise Vergès part de cette impossibilité pour penser ce qui serait possible, ce qui remplacerait le musée dans un monde postraciste et postcapitaliste. Car si le programme de la décolonisation est celui d’un «désordre absolu» car il «se propose de changer l’ordre du monde» (Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Maspero, 1961), alors il nous faut imaginer ce qu’est ce programme. S’attaquer à l’ordre de ce monde, c’est s’attaquer à ses institutions.
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Résumé : La décolonisation du musée occidental universel est impossible, c’est l’argument de départ. Elle est impossible parce que pour que la décolonisation du musée soit accomplie, il faudrait des bouleversements qui remettraient radicalement en cause ses fondements, son fonctionnement, sa structure, sa mission, ses objectifs, et dès lors, pourrions-nous encore parler de musée? Le musée, qui n’a jamais été un espace neutre, protégé des luttes sociales et idéologiques, symbolise la puissance de l’État, la richesse de la nation et son niveau de «civilisation». Dire que cette décolonisation est impossible ne veut pas dire qu’il ne faut pas se battre pour que des amendements, des changements et des transformations de cette institution aient lieu, que des négociations soient entreprises avec les communautés dont des objets sont exposés, répondant ainsi à des exigences de réparation, de restitution et de justice épistémologique et sociale. Françoise Vergès part de cette impossibilité pour penser ce qui serait possible, ce qui remplacerait le musée dans un monde postraciste et postcapitaliste. Car si le programme de la décolonisation est celui d’un «désordre absolu» car il «se propose de changer l’ordre du monde» (Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Maspero, 1961), alors il nous faut imaginer ce qu’est ce programme. S’attaquer à l’ordre de ce monde, c’est s’attaquer à ses institutions.
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2023 • livre de Françoise Vergès
Résumé : La décolonisation du musée occidental universel est impossible, c’est l’argument de départ. Elle est impossible parce que pour que la décolonisation du musée soit accomplie, il faudrait des bouleversements qui remettraient radicalement en cause ses fondements, son fonctionnement, sa structure, sa mission, ses objectifs, et dès lors, pourrions-nous encore parler de musée? Le musée, qui n’a jamais été un espace neutre, protégé des luttes sociales et idéologiques, symbolise la puissance de l’État, la richesse de la nation et son niveau de «civilisation». Dire que cette décolonisation est impossible ne veut pas dire qu’il ne faut pas se battre pour que des amendements, des changements et des transformations de cette institution aient lieu, que des négociations soient entreprises avec les communautés dont des objets sont exposés, répondant ainsi à des exigences de réparation, de restitution et de justice épistémologique et sociale. Françoise Vergès part de cette impossibilité pour penser ce qui serait possible, ce qui remplacerait le musée dans un monde postraciste et postcapitaliste. Car si le programme de la décolonisation est celui d’un «désordre absolu» car il «se propose de changer l’ordre du monde» (Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Maspero, 1961), alors il nous faut imaginer ce qu’est ce programme. S’attaquer à l’ordre de ce monde, c’est s’attaquer à ses institutions.
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Résumé : La décolonisation du musée occidental universel est impossible, c’est l’argument de départ. Elle est impossible parce que pour que la décolonisation du musée soit accomplie, il faudrait des bouleversements qui remettraient radicalement en cause ses fondements, son fonctionnement, sa structure, sa mission, ses objectifs, et dès lors, pourrions-nous encore parler de musée? Le musée, qui n’a jamais été un espace neutre, protégé des luttes sociales et idéologiques, symbolise la puissance de l’État, la richesse de la nation et son niveau de «civilisation». Dire que cette décolonisation est impossible ne veut pas dire qu’il ne faut pas se battre pour que des amendements, des changements et des transformations de cette institution aient lieu, que des négociations soient entreprises avec les communautés dont des objets sont exposés, répondant ainsi à des exigences de réparation, de restitution et de justice épistémologique et sociale. Françoise Vergès part de cette impossibilité pour penser ce qui serait possible, ce qui remplacerait le musée dans un monde postraciste et postcapitaliste. Car si le programme de la décolonisation est celui d’un «désordre absolu» car il «se propose de changer l’ordre du monde» (Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Maspero, 1961), alors il nous faut imaginer ce qu’est ce programme. S’attaquer à l’ordre de ce monde, c’est s’attaquer à ses institutions.
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Résumé : La décolonisation du musée occidental universel est impossible, c’est l’argument de départ. Elle est impossible parce que pour que la décolonisation du musée soit accomplie, il faudrait des bouleversements qui remettraient radicalement en cause ses fondements, son fonctionnement, sa structure, sa mission, ses objectifs, et dès lors, pourrions-nous encore parler de musée? Le musée, qui n’a jamais été un espace neutre, protégé des luttes sociales et idéologiques, symbolise la puissance de l’État, la richesse de la nation et son niveau de «civilisation». Dire que cette décolonisation est impossible ne veut pas dire qu’il ne faut pas se battre pour que des amendements, des changements et des transformations de cette institution aient lieu, que des négociations soient entreprises avec les communautés dont des objets sont exposés, répondant ainsi à des exigences de réparation, de restitution et de justice épistémologique et sociale. Françoise Vergès part de cette impossibilité pour penser ce qui serait possible, ce qui remplacerait le musée dans un monde postraciste et postcapitaliste. Car si le programme de la décolonisation est celui d’un «désordre absolu» car il «se propose de changer l’ordre du monde» (Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Maspero, 1961), alors il nous faut imaginer ce qu’est ce programme. S’attaquer à l’ordre de ce monde, c’est s’attaquer à ses institutions.
Le 5 août 2023
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