Critique de Protocole gouvernante par Charybde2
La baby-sitter et le motard qui viennent, inexorablement… Un inquiétant tour de force de fantastique politique servi par une écriture méticuleuse. Sur le blog Charybde 27 :
Par
le 3 mai 2020
2 j'aime
La lecture de ce premier roman de Guillaume Lavenant est hypnotique. On lit un protocole destiné à la nouvelle gouvernante d'un couple qui doit s'occuper d'une jeune fille qui se nomme Elena. Il a été écrit par une certaine Lewis, tout a été pensé, anticipé à la minute près, chacun son rôle, chacun sa place pour accomplir une mission d'une grande ampleur. Le "vous" utilisé tout au long du protocole donne l'envie incommensurable de continuer à découvrir ce qui est prévu par ce club énigmatique. L'emploi du futur donne cet aspect incroyable que l'improvisation n'existe pas et ne peut pas exister si on veut changer le monde, avoir un impact sur le déroulement des évènements. J'ai apprécié ce roman par son originalité dans la forme, il manque peut-être une explication de pourquoi tout ça!...
Créée
le 26 déc. 2019
Critique lue 314 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Protocole gouvernante
La baby-sitter et le motard qui viennent, inexorablement… Un inquiétant tour de force de fantastique politique servi par une écriture méticuleuse. Sur le blog Charybde 27 :
Par
le 3 mai 2020
2 j'aime
La lecture de ce premier roman de Guillaume Lavenant est hypnotique. On lit un protocole destiné à la nouvelle gouvernante d'un couple qui doit s'occuper d'une jeune fille qui se nomme Elena. Il a...
Par
le 26 déc. 2019
1 j'aime
Un récit à la seconde personne du pluriel. Un vouvoiement perpétuel. Singularité que je n’avais encore jamais eu le plaisir de croiser lors d’une lecture. C’est déroutant au début, mais on s’y fait...
le 14 août 2019
1 j'aime
Du même critique
La lecture de ce premier roman de Guillaume Lavenant est hypnotique. On lit un protocole destiné à la nouvelle gouvernante d'un couple qui doit s'occuper d'une jeune fille qui se nomme Elena. Il a...
Par
le 26 déc. 2019
1 j'aime
Un joli récit d’Audren sur l’émancipation et la notion de liberté. Les illustrations en noir et blanc, douces et naïves, ont un côté fantasque qui rappelle « Alice aux pays des Merveilles » de Lewis...
Par
le 21 déc. 2019
1 j'aime
Alaa El Aswany, dans ce roman polyphonique, nous emmène au Caire dans les années 40. Ses personnages gravitent autour de l'Automobile Club, un lieu hautement symbolique représentant à la fois la...
Par
le 21 déc. 2019
1 j'aime