L'actualité sur Qu'est ce que le fascisme ?
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Le 17 oct. 2023
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Les livres qui changent la vision du monde
et
1961 • livre de Maurice Bardèche
Résumé : "En proclamant « je suis un écrivain fasciste », Maurice Bardèche cherchait sans doute à provoquer ; mais, au-delà, il définit parfaitement ce qu'il est en réalité : fasciste, certes, mais surtout écrivain. Il appartient à la catégorie des intellectuels qui, à l'instar de Brasillach, furent fascinés par la « mise en scène » du fascisme, par les décors qu'il dressait, par le spectacle de la joie, de la santé, du bonheur d'un peuple. Sans se préoccuper de la réalité, ils crurent trouver dans ce fascisme l'incarnation de toutes les valeurs, de toutes les « images » que les lectures de leur enfance ou que les cours d'Histoire romancée de leurs maîtres leur avaient appris à connaître et à aimer : l'idéal de chevalerie, l'exaltation des héros courageux, fidèles et bons, la promotion de rapports humains, francs et loyaux, la vision d'une société hiérarchisée mais harmonieuses. Toutes leurs désillusions viendront de la confrontation du songe avec la dure réalité politique du fascisme. Maurice Bardèche s'accroche pourtant à son rêve, imputant les résultats « imparfaits » du fascisme italien et du nazisme allemand aux seules « circonstances », et tente de cerner ce qu'il appelle son « utopie fasciste » en dessinant, dans ses livres, les images vivantes, colorées et artificielles de son idéal social et humain ; lorsqu'il aborde, parfois, le domaine du politique, on sent bien — sans doute le sent-il aussi — qu'il n'y est pas à sa place." Ghislaine Desbuissons
1961 • livre de Maurice Bardèche
Résumé : "En proclamant « je suis un écrivain fasciste », Maurice Bardèche cherchait sans doute à provoquer ; mais, au-delà, il définit parfaitement ce qu'il est en réalité : fasciste, certes, mais surtout écrivain. Il appartient à la catégorie des intellectuels qui, à l'instar de Brasillach, furent fascinés par la « mise en scène » du fascisme, par les décors qu'il dressait, par le spectacle de la joie, de la santé, du bonheur d'un peuple. Sans se préoccuper de la réalité, ils crurent trouver dans ce fascisme l'incarnation de toutes les valeurs, de toutes les « images » que les lectures de leur enfance ou que les cours d'Histoire romancée de leurs maîtres leur avaient appris à connaître et à aimer : l'idéal de chevalerie, l'exaltation des héros courageux, fidèles et bons, la promotion de rapports humains, francs et loyaux, la vision d'une société hiérarchisée mais harmonieuses. Toutes leurs désillusions viendront de la confrontation du songe avec la dure réalité politique du fascisme. Maurice Bardèche s'accroche pourtant à son rêve, imputant les résultats « imparfaits » du fascisme italien et du nazisme allemand aux seules « circonstances », et tente de cerner ce qu'il appelle son « utopie fasciste » en dessinant, dans ses livres, les images vivantes, colorées et artificielles de son idéal social et humain ; lorsqu'il aborde, parfois, le domaine du politique, on sent bien — sans doute le sent-il aussi — qu'il n'y est pas à sa place." Ghislaine Desbuissons
1961 • livre de Maurice Bardèche
Résumé : "En proclamant « je suis un écrivain fasciste », Maurice Bardèche cherchait sans doute à provoquer ; mais, au-delà, il définit parfaitement ce qu'il est en réalité : fasciste, certes, mais surtout écrivain. Il appartient à la catégorie des intellectuels qui, à l'instar de Brasillach, furent fascinés par la « mise en scène » du fascisme, par les décors qu'il dressait, par le spectacle de la joie, de la santé, du bonheur d'un peuple. Sans se préoccuper de la réalité, ils crurent trouver dans ce fascisme l'incarnation de toutes les valeurs, de toutes les « images » que les lectures de leur enfance ou que les cours d'Histoire romancée de leurs maîtres leur avaient appris à connaître et à aimer : l'idéal de chevalerie, l'exaltation des héros courageux, fidèles et bons, la promotion de rapports humains, francs et loyaux, la vision d'une société hiérarchisée mais harmonieuses. Toutes leurs désillusions viendront de la confrontation du songe avec la dure réalité politique du fascisme. Maurice Bardèche s'accroche pourtant à son rêve, imputant les résultats « imparfaits » du fascisme italien et du nazisme allemand aux seules « circonstances », et tente de cerner ce qu'il appelle son « utopie fasciste » en dessinant, dans ses livres, les images vivantes, colorées et artificielles de son idéal social et humain ; lorsqu'il aborde, parfois, le domaine du politique, on sent bien — sans doute le sent-il aussi — qu'il n'y est pas à sa place." Ghislaine Desbuissons
Le 9 juin 2023
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1961 • livre de Maurice Bardèche
Résumé : "En proclamant « je suis un écrivain fasciste », Maurice Bardèche cherchait sans doute à provoquer ; mais, au-delà, il définit parfaitement ce qu'il est en réalité : fasciste, certes, mais surtout écrivain. Il appartient à la catégorie des intellectuels qui, à l'instar de Brasillach, furent fascinés par la « mise en scène » du fascisme, par les décors qu'il dressait, par le spectacle de la joie, de la santé, du bonheur d'un peuple. Sans se préoccuper de la réalité, ils crurent trouver dans ce fascisme l'incarnation de toutes les valeurs, de toutes les « images » que les lectures de leur enfance ou que les cours d'Histoire romancée de leurs maîtres leur avaient appris à connaître et à aimer : l'idéal de chevalerie, l'exaltation des héros courageux, fidèles et bons, la promotion de rapports humains, francs et loyaux, la vision d'une société hiérarchisée mais harmonieuses. Toutes leurs désillusions viendront de la confrontation du songe avec la dure réalité politique du fascisme. Maurice Bardèche s'accroche pourtant à son rêve, imputant les résultats « imparfaits » du fascisme italien et du nazisme allemand aux seules « circonstances », et tente de cerner ce qu'il appelle son « utopie fasciste » en dessinant, dans ses livres, les images vivantes, colorées et artificielles de son idéal social et humain ; lorsqu'il aborde, parfois, le domaine du politique, on sent bien — sans doute le sent-il aussi — qu'il n'y est pas à sa place." Ghislaine Desbuissons
1961 • livre de Maurice Bardèche
Résumé : "En proclamant « je suis un écrivain fasciste », Maurice Bardèche cherchait sans doute à provoquer ; mais, au-delà, il définit parfaitement ce qu'il est en réalité : fasciste, certes, mais surtout écrivain. Il appartient à la catégorie des intellectuels qui, à l'instar de Brasillach, furent fascinés par la « mise en scène » du fascisme, par les décors qu'il dressait, par le spectacle de la joie, de la santé, du bonheur d'un peuple. Sans se préoccuper de la réalité, ils crurent trouver dans ce fascisme l'incarnation de toutes les valeurs, de toutes les « images » que les lectures de leur enfance ou que les cours d'Histoire romancée de leurs maîtres leur avaient appris à connaître et à aimer : l'idéal de chevalerie, l'exaltation des héros courageux, fidèles et bons, la promotion de rapports humains, francs et loyaux, la vision d'une société hiérarchisée mais harmonieuses. Toutes leurs désillusions viendront de la confrontation du songe avec la dure réalité politique du fascisme. Maurice Bardèche s'accroche pourtant à son rêve, imputant les résultats « imparfaits » du fascisme italien et du nazisme allemand aux seules « circonstances », et tente de cerner ce qu'il appelle son « utopie fasciste » en dessinant, dans ses livres, les images vivantes, colorées et artificielles de son idéal social et humain ; lorsqu'il aborde, parfois, le domaine du politique, on sent bien — sans doute le sent-il aussi — qu'il n'y est pas à sa place." Ghislaine Desbuissons
1961 • livre de Maurice Bardèche
Résumé : "En proclamant « je suis un écrivain fasciste », Maurice Bardèche cherchait sans doute à provoquer ; mais, au-delà, il définit parfaitement ce qu'il est en réalité : fasciste, certes, mais surtout écrivain. Il appartient à la catégorie des intellectuels qui, à l'instar de Brasillach, furent fascinés par la « mise en scène » du fascisme, par les décors qu'il dressait, par le spectacle de la joie, de la santé, du bonheur d'un peuple. Sans se préoccuper de la réalité, ils crurent trouver dans ce fascisme l'incarnation de toutes les valeurs, de toutes les « images » que les lectures de leur enfance ou que les cours d'Histoire romancée de leurs maîtres leur avaient appris à connaître et à aimer : l'idéal de chevalerie, l'exaltation des héros courageux, fidèles et bons, la promotion de rapports humains, francs et loyaux, la vision d'une société hiérarchisée mais harmonieuses. Toutes leurs désillusions viendront de la confrontation du songe avec la dure réalité politique du fascisme. Maurice Bardèche s'accroche pourtant à son rêve, imputant les résultats « imparfaits » du fascisme italien et du nazisme allemand aux seules « circonstances », et tente de cerner ce qu'il appelle son « utopie fasciste » en dessinant, dans ses livres, les images vivantes, colorées et artificielles de son idéal social et humain ; lorsqu'il aborde, parfois, le domaine du politique, on sent bien — sans doute le sent-il aussi — qu'il n'y est pas à sa place." Ghislaine Desbuissons
1961 • livre de Maurice Bardèche
Résumé : "En proclamant « je suis un écrivain fasciste », Maurice Bardèche cherchait sans doute à provoquer ; mais, au-delà, il définit parfaitement ce qu'il est en réalité : fasciste, certes, mais surtout écrivain. Il appartient à la catégorie des intellectuels qui, à l'instar de Brasillach, furent fascinés par la « mise en scène » du fascisme, par les décors qu'il dressait, par le spectacle de la joie, de la santé, du bonheur d'un peuple. Sans se préoccuper de la réalité, ils crurent trouver dans ce fascisme l'incarnation de toutes les valeurs, de toutes les « images » que les lectures de leur enfance ou que les cours d'Histoire romancée de leurs maîtres leur avaient appris à connaître et à aimer : l'idéal de chevalerie, l'exaltation des héros courageux, fidèles et bons, la promotion de rapports humains, francs et loyaux, la vision d'une société hiérarchisée mais harmonieuses. Toutes leurs désillusions viendront de la confrontation du songe avec la dure réalité politique du fascisme. Maurice Bardèche s'accroche pourtant à son rêve, imputant les résultats « imparfaits » du fascisme italien et du nazisme allemand aux seules « circonstances », et tente de cerner ce qu'il appelle son « utopie fasciste » en dessinant, dans ses livres, les images vivantes, colorées et artificielles de son idéal social et humain ; lorsqu'il aborde, parfois, le domaine du politique, on sent bien — sans doute le sent-il aussi — qu'il n'y est pas à sa place." Ghislaine Desbuissons
1961 • livre de Maurice Bardèche
Résumé : "En proclamant « je suis un écrivain fasciste », Maurice Bardèche cherchait sans doute à provoquer ; mais, au-delà, il définit parfaitement ce qu'il est en réalité : fasciste, certes, mais surtout écrivain. Il appartient à la catégorie des intellectuels qui, à l'instar de Brasillach, furent fascinés par la « mise en scène » du fascisme, par les décors qu'il dressait, par le spectacle de la joie, de la santé, du bonheur d'un peuple. Sans se préoccuper de la réalité, ils crurent trouver dans ce fascisme l'incarnation de toutes les valeurs, de toutes les « images » que les lectures de leur enfance ou que les cours d'Histoire romancée de leurs maîtres leur avaient appris à connaître et à aimer : l'idéal de chevalerie, l'exaltation des héros courageux, fidèles et bons, la promotion de rapports humains, francs et loyaux, la vision d'une société hiérarchisée mais harmonieuses. Toutes leurs désillusions viendront de la confrontation du songe avec la dure réalité politique du fascisme. Maurice Bardèche s'accroche pourtant à son rêve, imputant les résultats « imparfaits » du fascisme italien et du nazisme allemand aux seules « circonstances », et tente de cerner ce qu'il appelle son « utopie fasciste » en dessinant, dans ses livres, les images vivantes, colorées et artificielles de son idéal social et humain ; lorsqu'il aborde, parfois, le domaine du politique, on sent bien — sans doute le sent-il aussi — qu'il n'y est pas à sa place." Ghislaine Desbuissons
1961 • livre de Maurice Bardèche
Résumé : "En proclamant « je suis un écrivain fasciste », Maurice Bardèche cherchait sans doute à provoquer ; mais, au-delà, il définit parfaitement ce qu'il est en réalité : fasciste, certes, mais surtout écrivain. Il appartient à la catégorie des intellectuels qui, à l'instar de Brasillach, furent fascinés par la « mise en scène » du fascisme, par les décors qu'il dressait, par le spectacle de la joie, de la santé, du bonheur d'un peuple. Sans se préoccuper de la réalité, ils crurent trouver dans ce fascisme l'incarnation de toutes les valeurs, de toutes les « images » que les lectures de leur enfance ou que les cours d'Histoire romancée de leurs maîtres leur avaient appris à connaître et à aimer : l'idéal de chevalerie, l'exaltation des héros courageux, fidèles et bons, la promotion de rapports humains, francs et loyaux, la vision d'une société hiérarchisée mais harmonieuses. Toutes leurs désillusions viendront de la confrontation du songe avec la dure réalité politique du fascisme. Maurice Bardèche s'accroche pourtant à son rêve, imputant les résultats « imparfaits » du fascisme italien et du nazisme allemand aux seules « circonstances », et tente de cerner ce qu'il appelle son « utopie fasciste » en dessinant, dans ses livres, les images vivantes, colorées et artificielles de son idéal social et humain ; lorsqu'il aborde, parfois, le domaine du politique, on sent bien — sans doute le sent-il aussi — qu'il n'y est pas à sa place." Ghislaine Desbuissons