Pourquoi une fin aussi faible ? Merde quoi on a droit à une intro sur un match de tennis plus passionnant qu'un Federer Nadal façon grande époque et une histoire qui en découle tout aussi prenante et on finit sur ça ? Merde ! Alors oui c'est bien écrit, on retrouve Benaquista et sa faculté à nous emporter avec des histoires de Monsieur tout le monde, à rendre crédible un encadreur apprenti Sherlock Holmes et un mou du genou en maître du monde ivre. Enfin je me suis fait embarqué comme un gosse à Disney, avec plaisir (marche aussi avec Marc Dutroux), les rebondissements sont présents et bien rythmés. Mais putain ce dernier chapitre.. Est ce que Malavita m'avait laissé ce même sentiment, je ne me souviens pas, mais on pourrait en conclure que contrairement à nombres d'écrivains pour Tonino le plus dur n'est pas la première mais bien la dernière ligne..